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Opération Famous

Opération Famous

Une éruption sous-marine filmée en direct - Archéo & paléo Les images de l’éruption volcanique la plus profonde jamais filmée – à presque 1.200 mètres- ont été dévoilées pour la première fois jeudi 17 décembre, au congrès annuel de l’Union américaine de géophysique (AGU). C’est un spectacle étonnant d’explosion de bulles de lave, de coulées et de fumées se dispersant dans l’eau glacée, au fond de l’océan Pacifique, quelque part entre les îles Fidji, Tonga et Samoa. Il a été filmé le 5 mai dernier par des chercheurs américains embarqués à bord du vaisseau scientifique Thomas Thompson, sur le volcan sous-marin de West Mata. (Courtesy of the National Science Foundation and the National Oceanic and Atmospheric Administration) La caméra haute définition (mise au point au Woods Hole Oceanographic Institution, E-U) est montée sur le robot télé-opéré Jason, qui a transmis plusieurs dizaines d’heures d’images via un câble de fibre optique. Les chercheurs ont aussi repéré les crevettes qui vivent près de ce volcan, dans un environnement très acide.

Les 50 ans d'une plongée record La Cote des Montres™ le 19 mars 2010 Le bathyscaphe Trieste En 1960, l'expédition dirigée par le lieutenant Don Walsh (USN), accompagné de Jacques Piccard, a atteint pour la première fois dans l'histoire le point le plus profond des océans. Lors de cette plongée dans la fosse des Mariannes, le bathyscaphe Trieste est descendu à une profondeur record de 10 916 mètres avec, fixé sur sa coque, un prototype expérimental Oyster, baptisé Deep Sea Special. Date : 23 janvier 1960 Position : Océan Pacifique : La Fosse des Marianes, à 200 miles approximativement de l'île de Guam Profondeur atteinte : 10 916 mètres, un exploit inégalé à ce jour Découverte scientifique : Une vie marine florissante en l'absence totale de lumière 50 ans plus tard, cette plongée en profondeur dans des eaux inconnues, non seulement reste toujours un record inégalé, mais constitue une étape importante dans l'exploration sous-marine tout en faisant prendre conscience de la nécessité croissante de mieux protéger les océans.

Les trapps de Sibérie : la plus grande extinction de masse de l’histoire que connut la Terre - Paran Les trapps de Sibérie : la plus grande extinction de masse de l’histoire que connut la Terre - Vu 15701 fois. Depuis sa formation il y a plusieurs milliards d’années, la Terre a subi de nombreux cataclysmes. A certaines époques, leur ampleur et leur intensité ont provoqué ce que les scientifiques appellent des extinctions massives, c'est-à-dire des périodes au cours desquelles une proportion significative des espèces animales et végétales présentes sur la Terre ont disparu. La plus massive de ces extinctions s’est produite il y a 250 millions d’années, pendant la période du Permien. Causée par des phénomènes volcaniques d’une intensité inimaginable, elle a provoqué l’éradication brutale de 95% des espèces marines ainsi que celle d’environ 70% des espèces terrestres (faune, flore). Mais paradoxalement, sans cette catastrophe l’espèce humaine n’existerait pas, puisqu’elle a permis une transition entre les formes de vie dominantes. . . . . . . Cependant le massacre n’était pas terminé. .

Géo trouve tout Les dynamiques des parcours sociaux. Temps, territoires, professions. V. Caradec, S. Ertul, J.P. Le laboratoire ESO définit la géographie comme « la discipline spécialisée dans l’analyse de la dimension spatiale des sociétés, s’intéressant à toutes les échelles, du micro au macro -, la dite dimension n’étant pas réduite à la matérialité. » Par conséquent, l’étude des parcours sociaux qui a occupé le colloque de 2010 intitulé « Les parcours sociaux entre nouvelles contraintes et affirmation du sujet », dont il est rendu compte ici, est bien un sujet qui intéresse les géographes. Au cours des années 2000, la place de l’individu s’est affirmée en géographie sociale. « Le sens des espaces et des lieux est d’abord celui qui lui donnent les individus, hommes et femmes, jeunes ou vieux, riches ou pauvres, malades ou bien portants, lorsqu’ils en parlent, s’y déploient et y vivent avec d’autres. » Le parcours social est donc central dans cette approche. Catherine Didier-Fèvre ©Les Clionautes

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