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The Rise of the Sharing Economy

The Rise of the Sharing Economy
Collaborative consumption, peer-to-peer marketplaces, the sharing economy — it's been called a few names by now, but no one is denying that the idea of accessing rather than owning is controversial — and it's taking the Internet by storm. Peer-to-peer marketplaces, of which Airbnb is the beloved poster child, have been popping up for the past few years, but 2011 was an explosive year for the sector. Whether you wanted to borrow or rent someone's apartment, bike, car, parking spot or random household good, you could find a marketplace to do it. This is only the beginning, though; 2012 looks to be a promising year for those involved with the sharing economy. Collaborative consumption services are getting a lot of attention, yes, but I couldn't help but notice that only a small percentage of my contacts — even my super techie friends — have tried any of them. It's All About Value Knodes and SnapGoods founder Ron J. Renting vs. While it's called the "sharing economy," not everything is free.

La consommation collaborative Parmi les nouvelles tendances de consommation qui se sont développées ces dernières années et qui sont favorisées par la crise économique actuelle, la consommation collaborative est certainement l’une des plus intéressantes. Elle a même été citée par le très sérieux Time Magazine comme l’une des dix idées qui vont changer le monde ! Cette forme de consommation peut se manifester de nombreuses manières, puisqu’il peut s’agir de louer, prêter, partager ou encore échanger des biens ou des services, tout en créant de nouvelles formes de lien social. Facilitée par le développement des réseaux sociaux et plus généralement des communautés sur internet, la consommation collaborative est actuellement en plein boom, et touche de nombreux secteurs d’activité. Voici les 3 grands types de consommations collaboratives, ainsi que quelques exemples de sites internet correspondants : Pour en savoir plus :

Sortir à Paris : La folie des burgers à Paris Les burgers tombent de partout et surtout du Camion. Ils se veulent originaux, presque «gastro», jouent le produit et montent la barre très haut. Voici les douze nouveaux qui font courir Paris, nous compris. Le Camion qui fume: 8,5/10 Un foodtruck à l'américaine qui sillonne les rues de Paris depuis novembre Le Camion Qui Fume: un emplacement différent chaque jour.Crédits photo : Louise Bé/Louise Bé/Le Figaro dernier, sur une idée lumineuse de Kristin Frederick, Californienne formée en France (Ferrandi, Apicius). Avouons-le, ce succès exagéré n'est pas immérité car les burgers de Kristin sont copieux et délicieux. Great! Too bad! Désolé, cette vidéo n'est pas disponible sur votre appareil. Le Camion qui fume Itinérant dans Paris, régulièrement au marché Madeleine (VIIIe), à la porte Maillot (XVIe) et au Point Éphémère (Xe). Big Fernand: 8/10 Le lieu. Les burgers. Great! Too bad! Big Fernand 55, rue du Faubourg-Poissonnière, Xe. Maison Mère: 8/10 Le lieu. Les burgers. Great! Too bad! Great!

Usages, mésusages C’est en lisant Paul Ariès (Wikipédia), rédacteur en chef du Sarkophage – notamment La simplicité volontaire contre le mythe de l’abondance -, que j’ai mieux compris les limites qui me chiffonnaient dans la consommation collaborative. Celle-ci nous est souvent présentée sous les atours du partage et du don, alors qu’elle n’en est pas toujours. Le covoiturage et l’autopartage ne sont pas inspirés par une vision altruiste, comme on l’entend trop souvent. Le premier moteur du covoiturage et de l’autopartage n’est pas le partage, mais l’économie. La consommation collaborative… c’est encore de la consommation Le moteur principal de leur motivation ne me semble pas être celui-là décroissance ou du développement durable, comme semblent nous le répéter les argumentaires de tous ces services, mais bien celui de l’hyperconsommation, comme le soulignait le philosophe Gilles Lipovetsky (Wikipédia) dans son essai éponyme. Le principe de partage des services du web 2.0 a bien plusieurs acceptions.

L'émergence de la Consommation collaborative - Economie » How Airbnb.com actually does things that don’t scale and succeed with a scale GuoTime.com After revisiting Andrew Warner’s web interview with Airbnb founders, I signed up on Airbnb.com a few days ago to “admire” its renowned user experiences. I didn’t really plan to rent out my apartment in San Francisco, since I am a die hard “no roommate” kind of guy. I did manage to write a paragraph about apartment, activated the listing along with a few old photos I took for the apartment. Within 10 hours, I got an inquiry from a guy, a few rounds of on site message back and forth, he paid $62 for the night he plan to stay through the site, less than 24 hours after I activated the apartment list, the guy showed up. Guess who he is? A full time employee working for Airbnb.com, the twin brother of the ubiquitous girl in airbnb’s “how it works” video! So, I asked if airbnb requires employee to strictly use the site for travel lodging services. Then I asked if airbnb always assigns employee to visit and stay with new users as much as possible. But I am not convinced.

CommentReparer.com - Apprenez à tout réparer Jeff Jarvis : « Nous pouvons voir les prémisses d’une nouvelle économie basée sur le partage » Méconnu en France il y a encore quelques mois, Jeff Jarvis s’est fait remarqué en mai dernier, lors de la grande messe l’e-G8. Face à un parterre d’entrepreneurs du web encravatés, il interpellait alors Nicolas Sarkozy pour lui demander de prêter une forme de serment d’Hippocrate : « ne pas blesser internet ». Éditorialiste, blogueur sur BuzzMachine.com et directeur du Tow-Knight Center for Entrepreneurial Journalism à l’université de New York, Jeff Jarvis fait parti des gourous du web outre-atlantique. Auteur d’un premier livre, La Méthode Google, il se définit lui-même comme un « optimiste d’internet ». À 57 ans, il publie en France un second ouvrage, Tout nu sur le web, paru en septembre aux États-Unis sous le titre Public Parts. La vie privée est-elle une notion dépassée ? Non, la vie privée est toujours quelques chose de très important. Vous dîtes que vous êtes « public par défaut ». J’ai essayé de définir la vie privée, mais je n’ai pas réussi.

Créer son « Minimum Viable Product » en quelques heures, c’est possible ! Dans le cadre d’un cours que j’anime à HEC sur – évidemment – la création d’entreprise (avec Clément), j’ai eu envie de prouver qu’en quelques heures, il était possible, sans frais, de créer une première version (ou version zéro) d’un service web. La solution : le faire en direct, devant les étudiants… et sans préparation sur le sujet même du service. Image sous licence Creative Commons par Earls37a Nous avons donc, à 8h30 du matin, sollicité notre cinquantaine d’étudiant(e)s pour nous donner des mots-clés qui pourraient déclencher notre réflexion. Une fois notre « nuage de tags » réalisé, nous avons brainstormé un moment, puis avons associé les mots-clés « Expats + idées cadeaux + e-commerce » pour inventer www.travel-basket.com, le premier site qui vous permet de voyager depuis votre salon, avec un panier cadeau provenant d’un pays. Vous rajouteriez une étape ??? En cadeau, les slides de notre présentation, qui est plus un pense-bête qu’une liste parfaite et exhaustive

“Towards a Cooperative, Small scale, Local, P2P Production Future” – back from the OuiShare Summit in Paris « Meedabyte (Italian translation of the post follows here – La traduzione in italiano è disponibile qui) I’m fresh back from the first OuiShare Summit in Paris – that has been held in the wonderful coworking space “La Mutinerie” - where I had the amazing opportunity to gave a talk entitled “Towards a cooperative, small scale, local, p2p production Future” in which I really tried to connect the dots over a bunch of topics, amazing authors and also writings that I’ve done on my own, especially the latest three on the blog. OuiShare initiative was born in Paris during 2010 mostly thanks to the energy and sociablity of Antonin Leonard following the global wave of interest around two seminal books that have been published those days: Rachel Botsman’s and Roo Rogers’ “What’s mine is yours” and Lisa Gansky’s “The Mesh”. The paradigm of cooperation is, indeed, one – probably the only one – credible alternative that our global society should tackle in pursuit of a future of some kind. Like this: Like Loading...

Here's How Brands Should Use Pinterest Imitation may be the sincerest form of flattery, but it could end up costing Pinterest big money. The Samwer brothers have made a career out of creating copycat versions of successful U.S. websites, gaining a big international following, and selling the copycats back to the original for millions. They’ve successfully cloned eBay (with Alando), Zynga (with Plinga), Groupon (with CityDeal) and AirBnB (with Wimdu). With clone Pinspire, they’ve now set their sights on Pinterest. I wrote about the amazing success of Pinterest back in early December. Despite the hype, and perhaps as a testament to the inertia at bigger companies in responding to online shifts, only a handful of brands have jumped on the Pinterest bandwagon. Don’t just pin your own content: people get tired of brands only talking about themselves. In 2011, brands had to learn how to use Google Plus and Instagram and keep track of dozens of other platforms.

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