background preloader

Institut pour la Protection de la Santé Naturelle

Institut pour la Protection de la Santé Naturelle

"Arrêtons de manger n'importe quoi" - Nutra News «Aliments et santé : ce qu'on vous fait avaler» Les auteurs passent en revue l'existence ou non de validations scientifiques concernant plusieurs «idées reçues» autour de quatre grands thèmes : lait, graisses, sucres/glucides et régimes. Dans la plupart des cas, les auteurs ont travaillé en liaison avec les chercheurs de l'école de santé publique de Harvard (Boston, Massachusetts). Ils ont adopté nombre de leurs préconisations et de leurs critiques, parce qu'à leurs yeux, elles reposent sur la science la moins contestable. Maigrir, après 40 ans, ce n'est pas simplement une question de régime. Ce ne sont que quelques exemples des sujets abordés qui nous incitent à poser la question « Quelle est la valeur des conseils de “bonne santé“ dont certains risquent parfois de faire le lit de l'obésité, du diabète et d'autres maladies chroniques ?»

Aux frontières du réel: le médicament à puce arrive Dès septembre prochain, les premiers médicaments "à puce" comestibles vont débarquer en pharmacie, indique vendredi Le Soir. Ils devraient apparaître dans un premier temps dans les membres du réseau d'officines anglaises Lloydspharmacy mais pourraient arriver en Belgique assez vite. Un signal électrique pour vous avertir "Cette innovation est une micropuce électronique ingérable qui peut être carrément coulée dans le corps même de la pilule que doit prendre un patient. Elle est plus petite qu'un grain de riz et contient d'infimes quantités de magnésium et de cuivre. En les dégradant, les sucs gastriques de l'estomac entraînent la production d'un petit signal électrique", détaille le quotidien. La prise du médicament validée par un patch Un patch, qu'il faut coller sur la peau, conçu par la firme californienne Proteus, captera alors ce signal et validera la prise du médicament. Patients chroniques

Pierre Rabhi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre Rabhi Pierre Rabhi en 2009. Pierre Rabhi, né en 1938 à Kenadsa, en Algérie[1], Rabah Rabhi de son vrai nom (en arabe رابح رابحي le vainqueur)[2],[3], est un essayiste, agriculteur biologiste, romancier et poète français, d'origine algérienne, inventeur du concept « Oasis en tous lieux ». Il défend un mode de société plus respectueux de l'homme et de la terre et soutient le développement de pratiques agricoles respectueuses de l'environnement et préservant les ressources naturelles, l'agroécologie, notamment dans les pays arides[4]. Il est le père de l'ingénieur Vianney Rabhi[5] (l'inventeur du procédé du moteur MCE-5, un dispositif permettant de rendre le taux de compression variable dans les moteurs à pistons) et de Sophie Rabhi-Bouquet (présidente de l'écovillage du Hameau des Buis[6]). Jeunesse algérienne[modifier | modifier le code] Pierre quitte Kenadsa pour Oran avec sa famille d'adoption et y suit deux années d'études secondaires.

Permaculture La permaculture est, à l'origine, une conception de l'agriculture et de l'horticulture durable fondée sur l'observation minutieuse des écosystèmes et des cycles naturels et leur imitation. C'est un mot-valise anglais formé à partir de « permanent (agri)culture » ; en français : « agriculture durable » ou « culture permanente ». Cependant l'expression « agriculture durable » a aujourd'hui pris un sens plus large. Elle a été élaborée dans les années 1970 par le biologiste australien Bill Mollison et son élève David Holmgren. La notion de permaculture a progressivement été étendue à une conception systématique de l'environnement et à une éthique normative définissant des modes de vie et un fonctionnement de la société souhaitables. En Europe, la permaculture est pratiquée aussi bien dans des jardins privés que dans des fermes de taille moyenne. Définition[modifier | modifier le code] Le terme est toutefois utilisé pour désigner la forme d'agriculture basée sur ces principes. Howard T.

Droit de propriété sur les semences : l'agro-industrie obtient sa redevance - Brevetage du vivant Après un débat vif, les députés ont voté la loi sur le certificat d’obtention végétale, qui supprime le droit de ressemer librement sa propre récolte sans verser de taxe. Les élus UMP, et le ministre de l’Agriculture, Bruno Le Maire, ont rejeté tous les amendements proposés par l’opposition de gauche. L’industrie semencière peut être satisfaite, tandis que la Confédération paysanne appelle à l’abrogation de la loi, et à son boycott. Photo : source Orge, avoine, blé, pois, trèfle, luzerne… 21 variétés de semences seront soumises à une taxe, la contribution volontaire obligatoire, si l’on veut les replanter (lire notre précédent article à ce sujet). Le débat a pourtant été vif à l’Assemblée. La moitié des agriculteurs français concernés En face, le député UMP Thierry Lazaro, rapporteur de la commission des Affaires économiques, défend le texte avec zèle, aux côtés du ministre de l’Agriculture. « Vous êtes en train de livrer les agriculteurs français aux semenciers. Tout n’est pas terminé.

Se nourir au niveau localement - Site national des AMAP L'autonomie est-elle l'avenir de notre société? Chaque homme doit inventer son chemin... mais est-ce véritablement le cas dans nos sociétés modernes? Perdu dans ses finances incontrôlables, ses productions mondialisées et ses entreprises où l'humain et la nature ne pèsent pas bien lourds, le capitalisme d'aujourd'hui semble s'être laissé piéger par sa complexité et son obsession du profit. Et nous, citoyens-consommateurs, courons chaque jour derrière la consommation, l'épargne, le travail, la sécu, la retraite... Est-ce vraiment la bonne réponse à notre quête personnelle de sens et de bien-être? Est-ce la bonne voie pour pérenniser notre économie et réinventer l'imaginaire de notre avenir collectif? Une solution est en marche qui pourrait résoudre une partie de nos difficultés: l'autonomie. Le royaume des "créateurs-fabricants" C'est aussi le royaume du do-it-yourself, ce mouvement d'individus qui cherchent à tout fabriquer par eux-mêmes. Plus d'indépendance pour un meilleur contrôle des budgets Vers "l'autonomie heureuse"

Les pesticides compromettent la fertilité masculine Fertilité et pesticides : l’association Générations Futures demande au gouvernement d’appliquer le principe de précaution sur les perturbateurs endocriniens. Le dernier bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de l’Institut de veille sanitaire(1) qui est publié ce 21 février passe en revue les études existantes sur : la fertilité du couple, la qualité du sperme ; l’évolution des malformations de l’appareil génital, la fertilité en fonction des expositions professionnelles et le cancer des testicules. Un constat sans appel : le pourcentage de couples sans grossesse après un an sans contraception est actuellement de l’ordre de 15 à 25%, "Ce qui constitue un problème de santé non négligeable", selon le BEH. A cela les scientifiques ajoutent le constat de la baisse de la concentration spermatique, d’une augmentation de malformations génitales chez le garçon (cryptorchidies et hypospadias), d’une augmentation des cas de cancers des testicules depuis 20 ans. Les responsables ? Notes Auteur

Hydroponie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un chercheur de la NASA vérifie les oignons hydroponiques : à sa gauche se trouve de la laitue Bibb et à sa droite des radis. Photo d'un plant de bananier dans le potager hydroponique HydroTown. Récolte de poivrons sur le potager hydroponique HydroTown. Culture hydroponique de tomates (hybrides de Black Macigno), Sardaigne, Italie Variante de culture hydroponique de tomates, sur ballot (hybrides de Black Macigno), Sardaigne, Italie L’hydroponie ou culture hydroponique (ou agriculture hors-sol), du grec πονος (ponos, « le travail » ou « l'effort ») et ὕδωρ (hudōr, « l'eau »), est la culture de plantes réalisée sur un substrat neutre et inerte (de type sable, pouzzolane, billes d'argile, laine de roche etc.). La culture hydroponique est très présente en horticulture et dans la culture forcée de certains légumes sous serre. L'état sanitaire de ces cultures est contrôlé par des pesticides ou produits phytosanitaires.

OGM : ils sont vraiment toxiques C’est le résultat de recherches effectuées par des chercheurs de l’Université de Caen sous l’égide du Pr Séralini. Leurs expériences ont montré que les toxines produites par le maïs génétiquement modifié MON810, entre autres, peuvent considérablement affecter la viabilité des cellules humaines! C’est la première fois qu’on démontre que ces toxines qui devraient être actives uniquement contre les insectes peuvent aussi avoir un effet sur les cellules humaines. Aujourd’hui, des quantités massives de cet herbicide sont pulvérisées sur les cultures de soja génétiquement modifié et ses résidus peuvent être trouvés dans les aliments. Découvrez la vidéo de Terre TV dans laquelle le journaliste Jean-Yves Casgha interviewe le biologiste Robin Mesnage. Like this: J'aime chargement…

Related: