Introduction [Auschwitz, camp de concentration nazi] « On ne peut pas croire, quand on est un adulte occidental normalement constitué, quand on a reçu une éducation moyenne, quand votre formation vous a donné un petit, mais dur noyau de références humanistes, on ne peut pas croire que des hommes comme vous et moi enfournent d'autres hommes dans la gueule de fours crématoires pour les réduire en cendres, sous prétexte que la forme de leur nez ou la section de leur prépuce les rendent indignes de vivre. On ne peut pas… » Pierre-Olivier Walzer, écrivain suisse, 1997 « ...Comme vous et moi, les responsables d’Auschwitz avaient des narines, une bouche, une voix, une raison humaine, ils pouvaient s'unir, avoir des enfants… » « Comme les Pyramides ou l’Acropole, Auschwitz est le fait, est le signe de l’homme. » « L’image de l’homme est inséparable, désormais, d’une chambre à gaz… » Georges Bataille – 1947 Primo Levi Articles connexes
Introduction, Les années noires 1940-1945 - Pour mémoire - CNDP Plusieurs expressions, qui témoignent de l’évolution de l’historiographie, désignent la période que la France a vécue pendant la Seconde Guerre mondiale. Pendant longtemps, on parle de « l’Occupation », mettant ainsi l’accent sur les Allemands, au détriment de l’action du gouvernement du maréchal Pétain. Suite aux travaux de Robert O. Paxton[1], l’expression « la France de Vichy », qui met en valeur les responsabilités françaises, se généralise. Dans ce dossier, nous lui préférerons celle des « années noires », empruntée au titre du livre de Jean Guéhenno [2], parce que, étant plus neutre quant à l’historiographie, elle permet d’en restituer tous les apports. Auteurs : Evelyne Gayme, professeure d’histoire-géographie, académie de CréteilMathilde Houte-Marguerit, professeur d’histoire-géographie, académie d’Amiens Chargée de mission : Marie-Christine Bonneau-Darmagnac Chef de projet éditorial : Bernard Clouteau Iconographe : Adeline Riou Graphisme/intégration technique/intégration éditoriale :
Les 100 dates de la bataille de Normandie Auschwitz : un laboratoire grandeur nature de l’idéologie nazie Pour célébrer la date anniversaire de la libération du camp, Arte propose le documentaire “Auschwitz Projekt”, qui révèle qu’Auschwitz ne fut pas seulement un camp de concentration mais un gigantesque complexe avec ses usines, mines et exploitations agricoles, ce qui en fit un laboratoire grandeur nature de l'hubris nazie. Arbeit macht frei (le travail rend libre). Le monde entier connaît cette devise d'un cynisme démoniaque surplombant le portail d’Auschwitz qui trône au seuil de l’Anus mundi. Pour célébrer comme chaque année la libération du camp, le 27 janvier 1945, Arte propose un documentaire qui prend en quelque sorte de la hauteur face à ces images ultra célèbres, et nous révèle, cartes et plans aériens à l'appui, qu’Auschwitz ne fut pas seulement un lieu destiné à détruire les “races inférieures” et les ennemis du Reich mais, comme l'évoque le titre du film, un “projet” conçu pour donner corps à la dystopie hitlérienne. Un cauchemar industriel Un puzzle concentrationnaire
L’affiche rouge Vidéo L’affiche rouge Contexte historique Une opération de propagande d’envergure Constitué et organisé entre la fin de l’année 1942 et février 1943, le réseau Manouchian fait partie du groupe de résistance des « Francs-tireurs et partisans – main-d’œuvre immigrée » (F.T.P. Arrêtés en novembre 1943, ses membres sont jugés lors d’un procès qui se déroule devant le tribunal militaire allemand du Grand-Paris, du 17 au 21 février 1944. Réalisée par les services de propagande allemands en France, « Des libérateurs ? Analyse des images L’armée du crime L’image est organisée en trois parties. Six photos (attentats, armes ou destructions) représentent enfin la menace qu’ils constituent à travers certains des attentats qui leur sont reprochés. Interprétation L’ennemi de l’intérieur « L’affiche rouge » entend d’abord présenter les membres du réseau Manouchian comme de dangereux terroristes. L’image insiste aussi sur le fait que cette « armée du crime » est constituée d’étrangers. Bibliographie Liens
Visite virtuelle Ouche L’application offre différentes rubriques et approches interactives du territoire :. L'extermination des Juifs Skip to content L’extermination des Juifs par HG Sempai · 8 janvier 2014 Un pearltrees sur le sujet Shoah, par hg_sempai Une carte de synthèse représentant la système d’extermination mis en place par les nazis au format pdf (genocide_juif) Le système concentrationnaire nazi Une autre carte du système concentrationnaire nazi Une carte montrant l’avancée des Einzatsgruppen sur le front de l’est au format pdf (einzatsgruppen) un diagramme circulaire représentant la répartition géographique et quantitative des victimes juives au format pdf (origine_geo_victimes) L’article sur Auschwitz-Birkenau Étiquettes : 3H1L33H2T3génocideHistoireRecherche par leçonSeconde Guerre mondialeShoah Vous aimerez aussi... 4 réponses Forster Luc dit : 12 avril 2018 à 12 h 59 min Ces documents m’ont été très utile Répondre Première et Seconde Guerres mondiales | Pearltrees 7 décembre 2017 […] It was an historic day and a major turning point in World War Two, one being remembered worldwide on Friday's 70th anniversary. Suivre :
Soldat Léon La Seconde Guerre Mondiale au travers des jeux de société La Seconde Guerre Mondiale est une grande source d’inspiration en matière de jeux de société. La recherche sur BoardGameGeek montre 4125 résultats sur ce thème, dont 3487 wargame. La guerre Définition Un wargame (« jeu de guerre ») est un jeu de stratégie au tour par tour qui vise à reconstituer des batailles fictives ou réelles. Lorsqu’il est historique, le wargame se base sur des batailles et des armées réelles. Historique Le wargame moderne a un peu plus de 200 ans ! Il a été créé par le baron von Reisswitz, et a été présenté en 1811 lors d’une conférence à l’Académie militaire de Berlin. En 1913, H.G Wells invente Little Wars. H.G Wells : Little War (1913) S’opposant à la guerre, Wells dit de son jeu qu’il est « aussi bon que le leur, mais plus sain en raison de sa taille.« . Les wargame de la Seconde Guerre Mondiale Il existe énormément de wargame qui traitent de la Seconde Guerre Mondiale, que ce soit sur l’ensemble du front ou de manière plus localisée. Mémoire 44 Conflict of Heroes
Jumièges en 3D Maison hantée, lieu de torture pendant la seconde guerre mondiale.. Ces édifices secrets de Toulouse Les décennies et les siècles passent, mais les pierres restent bien souvent debout, et avec elle, leurs histoires. Toulouse abrite de nombreux édifices qui ont tous des choses à raconter. Parmi les châteaux et les villas que l’on peut croiser dans la Ville rose, certains valent le coup de s’arrêter. « Petit château de l’horreur », squat et maison hantée En se baladant à Toulouse, on peut ainsi tomber sur le « petit château de l’horreur » au Busca, qui fut le siège de la Gestapo, la police secrète allemande, lors de la seconde guerre mondiale et où des atrocités furent commises. Pour en savoir plus sur ces édifices chargés d’histoire, consultez notre article complet : >> Siège de la Gestapo, lieu hanté… Ces villas et châteaux qui racontent une histoire à Toulouse <<
Piste et Trésor