http://www.youtube.com/watch?v=FbYKQUKasY0
Related: Ch 1 - L’impact de la crise de 1929 : déséquilibres économiques et sociaux • L'impact de la crise de 1929 : déséquilibres économiques et sociauxsans titre Un nouveau témoignage de Guernica Il est à remarquer que chaque fois que les rouges ont commis quelque nouvelle sauvagerie, et Dieu sait s'ils en commettent, leur premier travail est d'en accuser les troupes nationales. Intrigué par les affirmations saugrenues que les séparatistes basques lançaient par T.S.F. au sujet de la destruction de Guernica, j'ai voulu me rendre compte pour nos lecteurs de la véracité des faits que tant la presse de gauche que nos postes d'état de radio se complaisaient à diffuser.Grâce à l'appui des autorités espagnoles et à l'aide de quelques uns de nos confrères français, j'ai pu me rendre compte de ce que suit :Guernica, qui devait être une petite ville d'un millier d'immeubles, est entièrement détruite. C'est un fait, il ne reste plus rien. Jean Dovrec
Histoire et analyse d'images et oeuvres De la violence ouverte à l’affrontement symbolique En février 1934, Paris renoue avec une violence de rue qu’on croyait disparue. Pendant plusieurs semaines, l’espace public devient le terrain de possibles affrontements entre la droite extraparlementaire et les antifascistes. La violence va cependant progressivement céder le pas à des affrontements symboliques et à des démonstrations où chacun s’essaie à montrer sa force pour éviter d’avoir à s’en servir. Cette mutation se précipite après la ratification du pacte d’unité d’action antifasciste par les socialistes et les communistes (juillet 1934). Elle trouve son expression la plus forte dans la puissante manifestation du 14 juillet 1935 convoquée à l’appel des trois partis constitutifs du Front populaire, de la CGT et de la CGTU et de dizaines d’associations.
sans titre Vous avez toujours rêvé d’être embarqué dans les rues de Montmartre à l’époque de la Commune de Paris, d’assister à un meeting de Louise Michel ou encore de débattre avec Adolphe Thiers ? C’est ce que vous propose aujourd’hui les auteurs de Breaking Old News, le podcast historique et humoristique « premier sur l’histoire, dernier sur l’info« . Au programme de cette émission : Reportage embarqué dans les rues de Paris le 18 mars 1871Interview exclusive d’Adolphe Thiers par Sophie Parti-PrisMicro-trottoir de « Guillaume caution de gauche », alias Guillaume MEURICE, pour recueillir le sentiment des Versaillais sur la Commune de ParisEtc. Références Bien qu’humoristique, ce podcast est truffé de références qui vous permettront de réviser votre cours d’histoire avec notamment des éléments sur :
Histoire et analyse d'images et oeuvres Contexte historique Le déclenchement de la crise en France Si la France sembla tout d’abord épargnée par la crise économique qui frappa de plein fouet les États-Unis dès 1929, il n’en alla pas de même au cours des années suivantes : subissant les effets de la dévaluation de la livre sterling survenue en septembre 1931, le pays doit faire face à une baisse des prix et à un ralentissement de la production agricole et industrielle, tandis que réapparaît le déficit budgétaire. Mais la crise revêt un visage différent en France. D’une part, elle s’est manifestée tardivement, car les structures archaïques de l’économie française, fondées sur la petite entreprise, et la faiblesse des investissements étrangers ont permis à la France de demeurer un temps à l’abri du marasme, à la différence des grands pays industriels comme les États-Unis, l’Allemagne ou le Royaume-Uni qui pratiquent un capitalisme à grande échelle. Analyse des images
La crise de 1929 aux États-Unis et en Allemagne Contexte historique Le renversement de la conjoncture boursière La prospérité économique que connaissaient les États-Unis dans l’entre-deux-guerres se renversa brutalement en octobre 1929, lors de la chute spectaculaire des cours de la bourse de New-York, à Wall Street. Le « jeudi noir » 24 octobre, puis le « mardi noir » 29 octobre, des dizaines de millions de titres furent mis en vente sur le marché, sans trouver preneur, ce qui provoqua l’effondrement des cours boursiers, de l’ordre de 30 à 40% au cours du dernier trimestre, puis entraîna la faillite des banques, qui étaient à court d’argent, et la ruine de milliers d’épargnants. Cette crise s’explique, d’une part, par la spéculation excessive autour des valeurs, trop souvent surévaluées, et, d’autre part, par le fait que les agents de change, pressentant que les actionnaires manquaient de garanties suffisantes, se mirent à réclamer de l’argent liquide, et ne reçurent, pour toute réponse, que des ordres de vente massifs.