background preloader

Alexandre Grothendieck

Alexandre Grothendieck
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Alexandre Grothendieck Alexandre Grothendieck en 1970. Il est considéré comme le refondateur de la géométrie algébrique et, à ce titre, comme l'un des plus grands mathématiciens du XXe siècle[4]. Biographie[modifier | modifier le code] Ascendance et enfance[modifier | modifier le code] Sacha Schapiro, son père. Sacha Schapiro, son père[5], également connu sous le nom de Tanaroff, est un anarchiste militant ukrainien né à Novozybkov, ville située aujourd’hui en Russie, dans l'oblast de Briansk. Hanka Grothendieck, sa mère. Étudiant[modifier | modifier le code] À la fin de la guerre, Alexandre retrouve sa mère pour s'installer avec elle à Maisargues près de Montpellier, où ils vivent modestement avec la bourse d'études d'Alexandre ou bien avec des travaux saisonniers comme les vendanges ou encore avec les ménages que fait sa mère[18]. Mathématicien[modifier | modifier le code] Il est attaché de recherche du CNRS de 1950 à 1953. Related:  Mathématiciens (H)فرنسا

Кушнер, Борис Абрамович Борис Абрамович Кушнер (10 декабря 1941(19411210), Красноуральск) — советский и американский математик, поэт, эссеист. Профессор математики Питтсбургского университета. Биография[править | править исходный текст] Родился 10 декабря 1941 года в Красноуральске, куда родители эвакуировались из Москвы, когда немецкие войска придвинулись к советской столице. Отец, Абрам Исаакович, погиб под Сталинградом. В 1943-м году семья вернулась в Москву, где Борис и прожил все годы до эмиграции. В 1989 году эмигрировал в США. Написал воспоминания о временах учёбы на мехмате МГУ[1], о С. Научные интересы[править | править исходный текст] Специалист в области конструктивного анализа. Ссылки[править | править исходный текст] Примечания[править | править исходный текст]

Espace de Minkowski Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Représentation schématique de l'espace de Minkowski, qui montre seulement deux des trois dimensions spatiales. En géométrie et en relativité restreinte, l’espace de Minkowski, du nom de son inventeur Hermann Minkowski, est un espace mathématique, et plus précisément un espace affine pseudo-euclidien à quatre dimensions, modélisant l'espace-temps de la relativité restreinte : les propriétés physiques présentes dans cette théorie correspondent à des propriétés géométriques de cet espace, la réciproque n'étant pas vraie car le réalisme physique n'est pas entièrement décrit par cette géométrisation[1]. Historique[modifier | modifier le code] Structure algébrique[modifier | modifier le code] L'espace de Minkowski étant un espace affine de dimension quatre, il correspond à la donnée d'un point O (l'origine du repère) et d'un espace vectoriel (dit associé) de dimension quatre (sur ou telle que [3], où , on a donc , en écriture matricielle. , on écrit alors

Ensemble convexe Définition[modifier | modifier le code] Définition — Un ensemble C est dit convexe lorsque, pour tous x et y de C, le segment [x, y] est tout entier contenu dans C, c'est-à-dire : Sauf précision explicite, tout ce qui suit concerne le seul contexte des convexes dans des espaces affines (ou vectoriels), pour lesquels la notion de segment est défini comme ci-dessus. On appellera dimension d'un convexe non vide C la dimension du sous-espace affine engendré par C. Exemples[modifier | modifier le code] Propriétés élémentaires et outils fondamentaux[modifier | modifier le code] La définition de la convexité repose, après le choix de deux points quelconques x et y, sur la considération des points du segment [x, y], autrement dit des barycentres à coefficients positifs de ces deux points. Proposition — Un sous-ensemble C d'un espace affine E est convexe (si et) seulement si toute combinaison convexe d'une famille finie de points de C est elle-même dans C. Connexité[modifier | modifier le code]

Simone de Beauvoir Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Beauvoir. Simone de Beauvoir Philosophe occidentale Époque contemporaine Simone de Beauvoir est souvent considérée comme une théoricienne importante du féminisme, et a participé au mouvement de libération des femmes dans les années 1970. Elle a partagé la vie du philosophe Jean-Paul Sartre. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] À quinze ans, son choix est déjà fait, elle sera un écrivain célèbre. La mort de « Zaza » cette même année la plonge dans une grande souffrance. L'enseignante[modifier | modifier le code] Le n°24 de la rue Cels où Simone de Beauvoir habita à plusieurs reprises pendant la guerre. La femme de lettres engagée[modifier | modifier le code] En 1949, elle obtient la consécration en publiant Le Deuxième Sexe. En 1954, elle obtient le prix Goncourt pour Les Mandarins et devient l'un des auteurs les plus lus dans le monde. Théories[modifier | modifier le code]

LE MOTIF COSMOLOGIQUE DE L'HUMANESSENCE Трахтенброт, Борис Авраамович Биография[править | править исходный текст] Борис Трахтенброт родился в бессарабской еврейской земледельческой колонии Бричево (ныне Дондюшанского района Молдавии) в 1921 году в семье Абрама Трахтенбройта, в 1941 году высланного на поселение и принудительные работы в Сибирь.[1] В 1947 году окончил математический факультет Черновицкого университета. В 1950—1958 годах работал в Пензенском педагогическом институте, в 1958—1960 годах — в Пензенском политехническом институте. После переезда в Израиль в декабре 1980 года — профессор отделения точных и компьютерных наук Тель-Авивского университета (с 1991 года — professor emeritus). Б. Публиковаться начал в 1950 году (представлена и доказана теорема неразрешимости Трахтенброта) и тогда же защитил кандидатскую диссертацию в Институте математики Украинской Академии Наук (Киев) по теме «Разрешимость проблем для конечных классов и определения конечных классов» под научным руководством профессора (впоследствии академика) П.

Métrique riemannienne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En géométrie différentielle, les métriques riemanniennes sont la notion de base de la géométrie riemannienne. La première introduction a été donnée par Bernhard Riemann en 1854. Cependant, son article sur le sujet a été publié après sa mort, en 1868. Les métriques riemanniennes sont des familles différentiables de formes quadratiques définies positives. Définitions[modifier | modifier le code] Sur un fibré vectoriel E→M, une métrique riemannienne g est la donnée d'un produit scalaire gx sur chaque fibre Ex qui dépende de manière lisse du point de base x variant dans M. Pour deux fibrés riemanniens (E,g) et (F,g' ) sur M, un morphisme de fibrés riemanniens f:(E,g)→(E,g' ) est un morphisme de fibrés vectoriels f:E→E' tel que, pour tout point x de M, l'application linéaire fx:Ex→Fx est une isométrie linéaire, c'est-à-dire : Exemples[modifier | modifier le code] Existence[modifier | modifier le code] En particulier : Portail de la géométrie

Canonique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia : canonique, sur le Wiktionnaire Le mot canonique est un adjectif d'origine grecque (κανονικός « kanonikos », « relatif aux règles » - κανόνες, « kanones », « les règles ») et latine (canonicus « conforme aux règles, régulier »). Cet adjectif est employé dans plusieurs domaines :

Michel Onfray Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Michel Onfray Philosophe occidental Époque contemporaine Michel Onfray au Théâtre du Rond-Point en 2010. Biographie[modifier | modifier le code] Né d’un père ouvrier agricole[3] et d’une mère femme de ménage[4],[5], Michel Onfray est « pris en charge » de 10 ans à 14 ans dans un pensionnat catholique à Giel dans l'Orne qui fait office d'orphelinat et qu'il décrit comme un lieu de souffrance — « Je fus l'habitant de cette fournaise vicieuse » — dans la préface d'un de ses ouvrages, La Puissance d’exister et, également, de manière courte dans la préface de son Crépuscule d'une idole, l'affabulation freudienne. En 1986, à 27 ans, il soutient une thèse de troisième cycle, intitulée « Les implications éthiques et politiques des pensées négatives de Schopenhauer à Spengler[6],[7] » sous la direction de Simone Goyard-Fabre[8],[9], au centre de philosophie politique et juridique de l'université de Caen[10]. À 28 ans, il frôle la mort lors d'un infarctus.

CHARLES Marcel-Paul Schützenberger Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Marcel-Paul Schützenberger (né le à Paris, mort le à Paris) est un scientifique français. Ses recherches ont d'abord porté sur la médecine et la biologie, mais il est surtout connu pour ses travaux en mathématiques, en informatique théorique et en combinatoire. Il est le fondateur de la combinatoire des mots et un pionnier de la théorie des codes en longueur variable. Marcel-Paul Schützenberger en 1972 Biographie[modifier | modifier le code] Communiste dans ses jeunes années, Marcel-Paul Schützenberger oeuvre dans la résistance pendant la 2ème guerre mondiale. Marcel-Paul Schützenberger fait alors des études accélérées et obtient un doctorat en médecine en 1949. Il enseigne la statistique mathématique, et les mathématiques appliquées à la biologie, à Poitiers, à Paris, à Nancy, entre 1950 et 1955. Il soutient en 1953 une thèse en mathématiques intitulée Contributions aux applications statistiques de la théorie de l'information. du monoïde libre

Rappels mathématiques, compléments d'électrostatique et magnétostatique - Rappels sur les coordonnées polaires, sphériques et cylindriques Le paragraphe précédent nous montre que dans le cas du cercle, il peut être avantageux de travailler dans d'autres systèmes de coordonnées que les cartésiennes orthonormées directes traditionnelles. En fait, nous verrons que les coordonnées cartésiennes servent surtout en physique à traiter les cas généraux, les cas mono-dimensionnels, ou à établir des relations, mais souvent les problèmes étudiés présentent des symétries telles qu'il vaudra mieux se placer en coordonnées de type polaire. À deux dimensions on repère un point par sa distance à l'origine et par l'angle que fait le vecteur avec le vecteur d'une base cartésienne de référence. Dans ce cas on a où est dit vecteur radial, et le vecteur obtenu après une rotation de qui lui est orthogonal est dit vecteur orthoradial, c'est celui que nous avons trouvé par le calcul comme élément de longueur à la question précédente. On obtient ainsi par exemple dans ce système de coordonnées la longueur (ou périmètre) du cercle par intégration. on trouve et de

Calcul des propositions Le calcul des propositions ou calcul propositionnel, (ou encore logique des propositions) fait partie de la logique mathématique. Il a pour objet l'étude des relations logiques entre « propositions »[1] et définit les lois formelles selon lesquelles les propositions complexes sont formées en assemblant des propositions simples au moyen des connecteurs logiques et celles-ci sont enchaînées pour produire des raisonnements valides. Il est un des systèmes formels, piliers de la logique mathématique dont il aide à la formulation des concepts [2]. Il est considéré comme la forme moderne de la logique stoïcienne[3]. Introduction générale[modifier | modifier le code] La notion de proposition a fait l'objet de nombreux débats au cours de l'histoire de la logique ; l'idée consensuelle est qu'une proposition est une construction syntaxique censée parler de vérité. Définition d'une proposition[modifier | modifier le code] Proposition et prédicat[modifier | modifier le code] On se donne un ensemble Les

Jean-Paul Sartre signature Jean-Paul Charles Aymard Sartre [ ʒãpol saχtχ][n 1], né le 21 juin 1905 dans le 16e arrondissement de Paris et mort le 15 avril 1980 dans le 14e arrondissement, est un écrivain et philosophe français, représentant du courant existentialiste, dont l'œuvre et la personnalité ont marqué la vie intellectuelle et politique de la France de 1945 à la fin des années 1970. Jean-Paul Sartre laisse derrière lui une œuvre considérable, sous forme de romans, d'essais, de pièces de théâtre, d'écrits philosophiques ou de biographies. Sa philosophie a marqué l'après-guerre, et il est, avec Albert Camus, un symbole de l'intellectuel engagé. De son engagement dans la résistance en 1941 (engagement mis en doute en raison de son attitude trouble durant l'Occupation[n 3]), jusqu'à sa mort, en 1980, Sartre n'a cessé de défrayer la chronique. Il s'investit en effet sur de nombreux sujets, embrassant avec ferveur les causes qui lui ont semblé justes. Biographie[modifier | modifier le code] — Sartre

Related: