background preloader

L'e-commerce peut-il fidéliser sur Facebook ? : Le prix, premier facteur de fidélisation

L'e-commerce peut-il fidéliser sur Facebook ? : Le prix, premier facteur de fidélisation
Les internautes ont-ils envie d'un quelconque dialogue avec les sites de vente en ligne sur Facebook ? Olivier Martin, directeur marketing de Webloyalty en doute. S'il ne conteste pas la nécessité de la fidélisation dans l'e-commerce, le directeur marketing de Webloyalty se montre volontiers sceptique quant à l'utilisation des réseaux sociaux comme support de fidélisation pour ces acteurs : "les médias sociaux sont des supports de communication, pas des médias transactionnels". Bien adaptés à la communication de marques "productrices" de produits, ils le seraient donc moins pour les marques "distributrices". "Le prix reste le principal argument qui pousse les internautes à retourner faire un deuxième achat chez un marchand", explique Olivier Martin. Les e-commerçants doivent-ils pour autant bouder les réseaux sociaux ?

Passez de la fidélité transactionnelle à la fidélité émotionnelle « Vous avez plus besoin de vos clients qu’ils n’ont besoin de vous ! ». Quand on aborde le sujet des programmes de fidélité, il est important de se répéter ce ‘mantra’, si évident en théorie. Et pourtant… Force est de constater le décalage entre les ambitions des marques en matière de fidélisation et leurs pratiques. De la fidélité transactionnelle à la fidélité émotionnelle (ou fidélité 2.0) Une grande partie des programmes de fidélité actuels se fonde sur une logique transactionnelle de " earn & burn " où seul l'acte d'achat est récompensé et où les communications relationnelles sont pauvres, voire inexistantes. Exemples de programme 2.0 Certaines entreprises ont déjà adopté des programmes de fidélité 2.0. Prenons l'exemple de Starbucks, qui peut être considéré comme l'un des pionniers de la fidélité 2.0, avec son programme de réduction "Mayor" sur Foursquare, l'une des applications les plus populaires sur le web. Les 5 règles d'or pour passer à la fidélité émotionnelle

Apps on Facebook.com - Développeurs Facebook To drive more traffic to apps on Facebook, we enable various channels that enable new users to discover your app as well as existing users to re-engage with your app. Each channel is designed to help engage users and our algorithms help surface the best content for each user. The current channels include: Newsfeed stories The News Feed is shown immediately to users upon logging into Facebook, making it core to the Facebook experience. Discovery stories Facebook shares stories with friends when a user starts using a new app or first installs a new game. In addition, Facebook also generates aggregated ‘playing’ stories by default. Developers of app associated with more personal behavior such as dating, weight management or pregnancy, can turn these stories off by disabling the social discovery field in the App Dashboard in the ‘Advanced’ tab under the ‘Settings’ section. Publishing stories In addition you can publish content to the stream using the Feed Dialog. User control Timeline Search Page

Les consommateurs choisissent leurs marques habituelles pour acheter de nouveaux produits L'enquête on line Nielsen sur le comportement d'achat de nouveaux produits menée auprès de 29 000 internautes dans 58 pays (*) montre que l'habitude des marques est un critère qui résonne fortement chez les consommateurs à travers le monde. 60 % des consommateurs ayant accès à internet préfèrent acheter des nouveaux produits de leurs marques habituelles plutôt que d'opter pour une nouvelle marque, selon l'enquête menée par Nielsen. Des comportements conservateurs donc qui laissent peu de place pour les nouvelles marques ! "Innover sur des marques établies en qui les consommateurs ont déjà confiance peut s'avérer la plus puissante des stratégies", déclare Rob Wengel, senior vice president, Nielsen Innovation Analytics. Les facteurs clés de succès des nouveaux produits La moitié des consommateurs dans le monde se disent généralement disposés à acheter de nouveaux produits, avec un terrain plus propice à l'essai de nouvelles marques en Amérique du Nord et Moyen-Orient.

Le marketing direct glisse vers le marketing relationnel Les dépenses de marketing direct atteindront 9,2 milliards ou 14 milliards d'euros en 2012 selon le périmètre considéré, soit 30% ou 45% des dépenses de communication totales en France, selon les derniers chiffres annoncés par Xerfi-Precepta. Ainsi, les dépenses en imprimés publicitaires (+2,5% en 2012) auront tiré le marché vers le haut. Celui-ci reste en effet le média de référence de la distribution et du commerce (70% des dépenses en valeur). Le courrier publicitaire aura, lui, fléchi en valeur sous l'effet de la décroissance de l'envoi de catalogues par les vépécistes traditionnels et d'un meilleur ciblage des campagnes par les annonceurs. Les autres éditions publicitaires (prospectus non distribués) et le télémarketing sont également sur le déclin. Du côté des nouveaux médias, la contraction des dépenses d'e-mailing masque un double mouvement. Vers un repli du marché à l'horizon 2015 Les perspectives du marketing direct s'annoncent mitigées à l'horizon 2015. Les défis du secteur

Facebook Open Graph: des applis, pas des boutons ! Cet article est écrit par Julien Chaumond, co-fondateur et CEO de Productism, un réseau social centré sur les produits, et auteur du livre Social commerce. Vous pouvez aussi suivre Julien sur Twitter. Nous parlions de la Timeline il y a quelques semaines, et ça y est, Facebook vient de lancer officiellement l’Open Graph 2.0, sa composante la plus emblématique et la plus innovante. Sauf que… les retours qui sont faits sur cette annonce par pas mal de blogs (y compris Le Figaro) sont un peu à côté de la plaque (ou en tout cas ne sont pas assez clairs) : Facebook n’a PAS lancé des nouveaux boutons Like tels que « Read », « Watch », ou dans le cas du e-commerce, « Want » ou « Buy ». La différence est vraiment majeure : dans le cas du bouton Like, l’internaute doit explicitement cliquer sur un bouton. Il n’y aura donc pas un bouton « Want » ou un bouton « Buy », mais autant de boutons (ou de publications automatiques) que d’applis.

Fiche notion L'e-mail de prospection: les 11 erreurs à éviter - EXPERTISES 1. Opter pour différents noms d'émetteur Il est indispensable de faciliter votre identification par le prospect. Deux possibilités s'offrent à vous: faire apparaître le nom de votre entreprise, qui a le mérite d'être connu, ou bien le vôtre, qui permet d'établir une relation de proximité dès le départ. 2. Lorsque vous envoyez un e-mail pour la première fois, pensez à entrer au préalable le nom et le prénom du destinataire dans la liste de contacts de votre messagerie. L'expert Vincent Fournout, directeur associé et cofondateur de Message Business, éditeur de solutions de communication électronique et d'e-marketing. 3. 15 %, c'est le taux moyen d'ouverture d'un e-mail de prospection en B to B. En revanche, proposer une invitation ou mettre l'accent sur le bénéfice de votre offre favorise l'ouverture de l'e-mail. 4. 5. Ne cherchez pas à réinventer la forme de votre message à chaque envoi. 6. 7. Attention à la tentation de vouloir «faire joli». 8. 9. 10. 11.

Facebook et Open Graph : tout comprendre Facebook, Facebook, Facebook … Pas une semaine ne se passe sans qu’il y ait un changement, un bug ou une nouveauté sur le réseau social et sa plateforme de développement. Voici une liste non exhaustive de ce qu’il s’est passé l’année dernière et de ce qu’il va se passer cette année, en 2012. Un point sur 2011 2011 a été une année marquée par énormément de changements et de nouveautés pour Facebook et sa plateforme de développement. Voici un petit résumé des principales nouveautés et améliorations de Facebook concernant l’année 2011 ainsi que notre avis d’expert sur certaines d’entre elles : Le plugin social de commentaires (Comment Box v2) : L’une des premières évolutions importantes de 2011, concerne le plugin social ‘comment box’ qui a été mis à jour ainsi que son API (jeu d’instructions pour les développeurs) en début d’année, courant février/mars si je ne m’abuse. Cette nouvelle comment box donne la possibilité d’aimer un commentaire, d’y répondre, de visiter le site du commentateur …

L'utilisation des réseaux sociaux dans l'entreprise La transformation digitale a une portée considérable tant pour les entreprises et le monde du travail que pour la société dans son ensemble. Cette révolution numérique est si importante que des spécialistes la comparent à la naissance de l’imprimerie il y a plus de cinq siècles. Dans cette nouvelle ère, les canaux numériques se multiplient et leurs usages montent en puissance. Les réseaux sociaux sont devenus des outils incontournables de communication. Cet article a pour objectif d’apporter aux enseignants de lycée professionnel mais aussi général et technologique des informations sur les différentes utilisations de ces nouveaux médias. Les chiffres des réseaux sociaux en 2018 Source : Que se passe t-il en l’espace de 5 secondes sur le web ? Illustration : Clarisse Declomesnil A l’ère du digital, les entreprises ne peuvent plus faire l’impasse sur la stratégie marketing des réseaux sociaux. 1. Vidéo « internet et médias sociaux.

Stratégie de fidélisation, les articles sur ce thème Google AdWords : le mobile pour tous ? Google oblige désormais les annonceurs à piloter leurs annonces sur mobile et desktop comme un seul et même objet marketing. Implicitement, l'entreprise réserve, pour l'instant, ses formats mobiles premium à ses plus gros clients. Deezer fait sa promotion sur Vine avec la série #Vineception Le site de streaming musical Deezer a fait appel à dix artistes pour dévoiler une série de vidéos Vine illustrant les fonctionnalités du service. Publicité sur Facebook : en vidéo et le vendredi, c'est mieux ! Le récent rapport d'Adobe Digital Index montre que le vendredi est le jour le plus efficace pour la publicité sur les réseaux sociaux, Facebook en tête. L'Oréal fait appel à Sitecore pour parfaire sa relation client digitale L'Oréal fait appel à Sitecore, spécialiste des solutions de relation client digitale, pour créer une plateforme commune à toutes ses marques. InfographieQuels sont les leviers de la fidélité client? Sosh donne la parole à ses clients

L’importance de communiquer pour exister, vendre ET FIDÉLISER ! - Rezo commun... Considérer que la communication n’est utile que pour valoriser l’image de votre entreprise, revient à limiter volontairement le développement de votre activité. Un – trop – grand nombre de TPE et PME estiment que ce n’est pas une nécessité. Que la communication n’est pas directement liée à la croissance économique de l’entreprise. Pourtant, une bonne stratégie de communication est bénéfique. Elle permet de populariser une entreprise auprès d’un nouveau public, dynamiser les ventes, et surtout fidéliser les clients. Une communication adaptée à votre entreprise représente un levier de développement. Exister grâce à une stratégie de communication efficace Marketing et communication sont étroitement liés. Pour autant, exister n’est plus suffisant. Vendre et développer son chiffre d’affaires grâce à la communication Les personnes potentiellement intéressées par votre entreprise sont mieux informées. Généralement, un seul facteur de décision intervient : votre réputation.

- Etude marché, Conseil en stratégie : Marketing, Communication entreprise, Relation client - La Poste entreprise : Le'Hub 80 % des enseignes proposent une carte de fidélité Le chiffre est tiré d’une enquête réalisée l’an dernier par le cabinet de conseil en stratégie Vertone. Sur certains secteurs, comme la beauté et la grande distribution, c’est même 100 % des enseignes étudiées qui ont mis en place un programme de fidélité. « Les dispositifs de fidélisation font partie intégrante du Marketing Mix des annonceurs, » commentent les consultants de Vertone. A l’inverse, parmi les secteurs les plus réfractaires aux programmes de fidélité : les banques et le hard discount. Cette étude fait aussi apparaître que les différences s’estompent entre magasins traditionnels et e-commerce : 78 % des sites marchands proposent un programme de fidélité. 55 % des programmes repose sur une mécanique de cashback Toujours selon le cabinet Vertone, la fidélisation s’opère dans la majorité des cas par un remboursement d’une partie du montant des achats. Seuls 30 % des programmes sont ciblés ou segmentés

7 raisons pour lesquelles les réseaux sociaux au travail peuvent aider les em... Facebooker des propos abusifs, Tweeter des memes inappropriés, Instagrammer des selfies au bureau, …Les entreprises craignent que ces événements inondent leur lieu de travail s’ils permettent aux employés d’utiliser les réseaux sociaux au travail. Malheureusement, pour les entreprises qui interdisent l’utilisation des réseaux sociaux sur le lieu de travail, il est probable que leurs employés l’utilisent, quelle que soit votre stratégie. Selon le centre de recherche Pew, 77% des travailleurs ont déclaré utiliser les réseaux sociaux au travail. Les employeurs devraient limiter le temps et l’énergie consacrés à empêcher les employés de les utiliser. 1- Permet aux employés de faire une pause mentale Dans la majorité des cas, cette raison est la principale pour laquelle les employés utilisent ces réseaux au travail.Prendre une pause mentale occasionnelle au travail ne doit pas être découragé. 2- Permet aux employés d’établir et de soutenir des relations professionnelles Le mot de la fin :

Related: