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Quel diplôme obtenir pour travailler dans le webmarketing ?

Quel diplôme obtenir pour travailler dans le webmarketing ?
Malgré la crise, les métiers du web continuent de bien se porter. Les opportunités d’emploi dans ce secteur sont nombreuses. Chef de projet search marketing, webmarketer, webdesigner, community manager, chef de projet facebook marketing… les métiers du web sont multiples et pour la plupart passionnants. S’il y-a encore quelques années, les formations liées au webmarketing se faisaient rares, aujourd’hui avec le développement du business en ligne, les métiers, les formations et les opportunités se sont multipliées. L’Hetic (Montreuil) : Créée en 2002 via l’alliance du groupe ECE (grande école d’ingénieurs) et du CIFAP (formation professionnelle à l’audiovisuel et aux médias), l’HETIC forme des experts managers du web de niveau I dans le domaine de l’économie numérique. EMWEb (Ecole des Métiers du Web – formation à distance) : Cette école est un établissement privé d’enseignement à distance. L’INSEEC : ce groupe d’écoles proposent de nombreuses formations orientées métiers du web.

2011 : taux d'insertion professionnelle des diplômés de l'université Les résultats présentés sont issus de la quatrième enquête nationale sur l’insertion professionnelle des diplômés de l’université réalisée entre décembre 2012 et avril 2013. Celle-ci a porté sur les diplômés 2010 de D.U.T., de licence professionnelle et de master. Elle a pour objet d’évaluer la situation professionnelle, 30 mois après l’obtention du diplôme, des diplômés français issus de la formation initiale, entrés immédiatement et durablement sur le marché de l’emploi après l’obtention de leur diplôme, représentant respectivement 12%, 57% et 39% de l’ensemble des diplômés de chacun de ces diplômes. Cette évaluation est faite au travers de six indicateurs : le taux d’insertion, la part d’emplois de niveau cadre ou profession intermédiaire, la part d’emplois stables, la part d’emplois à temps plein, le salaire net mensuel médian des emplois à temps plein et un salaire brut annuel estimé à partir du salaire net médian.

Zoom sur : le métier de responsable éditorial web Les sites e-commerce ou B2B sont de plus en plus nombreux à avoir compris l’importance de la production de contenus. Beaucoup mêlent aujourd’hui outils de vente et contenus éditoriaux pour mettre en scène et valoriser leurs produits. Ils ont besoin, pour cela, d’avoir dans leur équipe un responsable éditorial web. Le métier de responsable éditorial web Le contenu est roi aujourd’hui sur la Toile : Les sites e-commerce et B2B mettent en place de véritables stratégies de contenus, en cohérence avec leur stratégie globale, afin d’atteindre quatre objectifs principaux : sublimer les produits qu’ils distribuentaméliorer le référencement naturel du siteanimer le site, le rendre plus vivantfédérer une communauté autour du site Le responsable éditorial joue un rôle majeur dans la production de contenus : textes, photos, vidéos, infographies, graphiques… : il est responsable de toute l’animation éditoriale du site. Voici ses différentes missions : Profil requis Crédit photo : Shutterstock

' Pourquoi les étudiants boudent-ils le digital ? ' Le secteur du numérique représente 3,2 % du PIB et 700 000 emplois créés depuis 15 ans (étude Mc Kinsey) et la tendance à la forte croissance du secteur n'est pas prête de faiblir comme en attestent de nombreux indicateurs. Les entreprises (PME, grandes entreprises, à Paris ou en province...) sont de plus en plus nombreuses à se mettre au digital que ce soit seulement pour de la publicité sur le Web, une activité e-commerce, le développement d’une application mobile... En 2011, les ventes en ligne ont dépassé les 37 milliards d'euros, (+ 22 %) et la Fevad estime qu’elles seront supérieures à 70 milliards d’euros en 2015. Or, les acteurs du Web, qu’ils soient prestataires ou annonceurs, font tous le même constat : recruter devient de plus en plus difficile. Pourquoi les étudiants continuent-ils à choisir la pub et la com' au détriment du digital ? Nous avons organisé en mars dernier le 1er job et stage dating. Les métiers du Web, il y en a pour tous les goûts et toutes les compétences !

Over-Graph introduit des Abonnements. Gratuits ou payants. Comment ça marche Parce que vous nous suivez dans l’évolution d’Over-Graph depuis quelques temps, et parce que vous faîtes peut-être partie de nos fidèles utilisateurs, nous tenions à vous présenter notre nouvelle orientation et nos projets d’avenir avec vous. Depuis notre premier prototype début 2013, Over-Graph vous a proposé des dizaines de mises à jours mensuelles, allant de l’intégration d’un nouveau réseau social à une correction mineure d’anomalie remontée par un utilisateur. Vous avez été des dizaines de milliers à l’essayer, l’adopter, voire même le recommander autour de vous, dans sa version autant illimitée que gratuite. Aujourd’hui, ce qui était pour nous l’aventure Over-Graph, est devenu un succès : vous êtes nombreux à utiliser Over-Graph chaque jour, comme outil de travail principal, pour l’animation de vos comptes de réseaux sociaux. En tant qu’éditeur de cette solution, nous devons donner les moyens à Over-Graph de gagner en fiabilité et de vous proposer toujours plus de fonctionnalités.

Gurus, influenceurs,spécialistes : quand la rhétorique fait l'expert À une époque où les experts arpentent les couloirs des chaînes d’information continue pour qui ils sont le Graal et la première pierre indispensable pour permettre de parler sur du vent, où on leur prête des vertus astrologiques sur leur secteur où ils annonceraient la pluie et le beau temps, les experts, gurus, influenceurs sont devenus un pan incontournable de notre société. Pourtant, derrière le masque de ces consultants, coachs ou spécialistes se cachent souvent une rhétorique bien ficelée dont je vais tenter de retranscrire les traits. Après la lecture de ces quelques lignes, je suis certain que vous reconnaîtrez au moins les traits d’une de vos connaissances. La douce incertitude de la communication : de l’ignorance à l’expertise de la rhétorique. Le téléphone sonne. Ce scénario, tout « expert » ou chercheur l’a expérimenté au moins une fois durant sa carrière. Parce que le journaliste qui vous demande une interview sait comment introduire la conversation. L’expert s’aime.

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