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Nicolas Offenstadt -Il faut distinguer la Mémoire et l'Histoire

Nicolas Offenstadt -Il faut distinguer la Mémoire et l'Histoire
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Mémoire et Histoire Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. L'ouverture du procès de Nuremberg - Vidéo Ina.fr Le crime contre l'humanité, concept créé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale - JusticeInfo.net La notion de crime contre l’humanité, dont le concept a été créé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, est imprescriptible et désigne la violation délibérée des droits fondamentaux d’un individu ou d’un groupe pour des motifs « politiques, philosophiques, raciaux ou religieux ». C’est pour « crimes contre l’humanité » qu’une enquête pénale a été ouverte en France visant le régime de Bachar al-Assad, pour des exactions commises en Syrie entre 2011 et 2013. Incrimination rétroactive, le crime contre l’humanité est le seul crime imprescriptible du droit français, conçu au départ pour juger les auteurs ou complices de la Shoah. Après la guerre en Yougoslavie et le génocide rwandais, le concept a été élargi et défini par la Cour pénale internationale, créée en 2002 et aujourd’hui tribunal permanent chargé de sanctionner ces crimes. Une loi française du 26 décembre 1964 déclare ces crimes imprescriptibles.

14-18, une guerre mondiale : Les mémoires allemandes de la Grande Guerre Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.

Une histoire des mémoires – 3 podcasts – France Culture - Nov 2016 Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.

Quel est le rôle de la Cour pénale internationale ? La Cour Pénale Internationale (CPI) engage des poursuites contre les auteurs présumés d’actes de génocide, de crimes contre l’humanité, de crimes de guerre, de torture, d’exécutions extrajudiciaires et de disparitions forcées. La procureure de la Cour pénale internationale (CPI) – juridiction universelle permanente basée à La Haye (Pays-Bas) - peut engager des enquêtes et des poursuites pour des crimes présumés lorsque les autorités nationales ne peuvent ou ne veulent pas le faire si ces faits ont été commis sur le territoire ou par un ressortissant d’un pays reconnaissant la Cour. La CPI mène des actuellement des enquêtes sur les situations suivantes : Ouganda, en RDC, en RCA, en RCA II, au Darfour (Soudan), Côte d'Ivoire, au Kenya, en Libye, au Mali, en Géorgie, au Burundi et au Bangladesh / Myanmar. Les situations pays suivantes font l’objet de poursuites : Côte d’Ivoire, Darfour (Soudan), Kenya, Libye, Mali, Ouganda, RCA, RDC. Qui peut se retrouver devant la CPI ? Non.

Le temps des réparations (4/4) – Des tribunaux gacaca aux conseils de village : une justice parallèle Cette semaine, Culturesmonde se consacre aux réparations. Nous explorerons les différentes formes de réparation, du crime irréparable de l'esclavage, aux class actions, quand les citoyens poursuivent l'entreprise, en passant par les réparations post-conflit entre dettes de guerre et commémorations. Et ce matin : Rwanda, Afrique du Sud... les systèmes de justice parallèles. Après avoir vécu un terrible génocide, le Rwanda se devait de juger les responsables pour espérer retrouver la paix, reconstruire la société et rétablir le dialogue social. La mise en place du TPIR : Le Tribunal pénal international pour le Rwanda, en novembre 1994, n’était donc qu’un volet de la réponse judicaire, le moins important au regard du nombre de personnes concernées. Créées en 2001, les juridictions Gacaca ont permis de juger la majeure partie des auteurs présumés du génocide en presque 10 ans. Quel bilan peut-on en faire aujourd’hui ? Nous en parlerons avec Sandrine Lefranc . ►►►Le Temps des réparations

Pierre Nora présente son ouvrage Les Lieux de mémoire - 1984 - 2'27 Proposé par Institut national de l’audiovisuel Date de diffusion : 07 déc. 1984 Contexte historique Par Emeline Vanthuyne ( Professeure agrégée d'histoire ) Né à Paris en 1931, Pierre Nora est issu d'une famille de la grande bourgeoisie parisienne. Après son échec au concours de l'Ecole Normale Supérieure, il obtient l'agrégation d'histoire en 1958. Pierre Nora, par ses nombreuses activités, permet d'établir des liens entre le monde de l'édition (chez Gallimard), du journalisme ( au Nouvel Observateur ) et des universitaires de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (où il fait son entrée en 1976). A partir de 1984, il se consacre à une vaste entreprise éditoriale : dans Les Lieux de Mémoire, il ambitionne de recenser les principaux monuments,lieux et symboles qui ont contribué à fonder l'identité française à travers l'histoire. Éclairage média L'émission diffusée le 7 décembre 1984 est ainsi consacrée aux "monuments de la République".

Juger les crimes d'Auschwitz : le procès de Francfort Proposé par Institut national de l’audiovisuel Date de diffusion : 08 mai 1964 Contexte historique Par Emeline Vanthuyne ( Professeure agrégée d'histoire ) Ce reportage, diffusé dans l'émission Cinq Colonnes à la une le 8 mai 1964, revient sur le procès de Francfort, au cours duquel 22 membres de l'administration SS d'Auschwitz-Birkenau doivent alors répondre de leur implication directe dans les crimes commis à l'intérieur du camp principal et des sous-camps. Éclairage média Comme son titre l'indique, l'émission Cinq Colonnes à la une, programme mensuel de 90 minutes, diffusé sur la première chaîne à 20 h 30 entre 1959 et 1968, reprend certaines techniques de la presse écrite.

Annette Wieviorka : « A Nuremberg, les responsables nazis voulaient sauver leur peau » - Geo.fr GEO Histoire : Du 20 novembre 1945 au 1er octobre 1946 s’est tenu à Nuremberg, devant une cour internationale, le procès des responsables du IIIe Reich. De quand peut-on dater la volonté de juger les crimes commis par les nazis ? Annette Wieviorka : Des informations sur les crimes nazis commencent à circuler dès l’occupation de la Pologne en septembre 1939. Et cela s’accentue avec l’invasion de l’URSS en juin 1941. Des rapports parviennent à Londres ou à Washington sur les rafles, le travail forcé, les exécutions… On a dès lors conscience que l’on ne pourra pas traiter la fin de la Seconde Guerre mondiale comme celle de la Première. Qui était le plus réticent à la tenue d’un procès ? Contrairement à ce que l’on pourrait penser, c’est Churchill (et non Staline)qui renâclait à juger les criminels de guerre. Le 18 octobre 1945, une première session a lieu à Berlin, mais le procès proprement dit se tiendra par la suite à Nuremberg. Qui a-t-on retrouvé du côté de l’accusation ? Oui.

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