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Les 101 théories de la motivation

Les 101 théories de la motivation
Doit-on nécessairement être motivé pour consulter ce site ? Qu’est ce que la motivation ? Est-il possible de définir la motivation ? La consultation de ce site ne vous apportera pas forcément de réponse à toutes ces questions mais vous amènera, du moins je l’espère, à vous en poser d’autres... A propos de l’auteur de ce site

La théorie du sentiment d'efficacité personnelle (auto-efficacité) de Bandura (François & Botteman, 2002 ; Carré, 2004) - Bloc notes de Jean Heutte : sérendipité, phronèsis et ataraxie sont les trois mamelles qui nourrissent l'Épicurien de la connaissance Cet article a été mis à jour le 19 mars 2011 La théorie sociale cognitive (TSC) est basée sur la notion d’interaction. Bandura (1986) précise qu’il ne suffit pas de considérer le comportement comme étant fonction des effets réciproques des facteurs personnels et environnementaux les uns sur les autres mais que l’interaction doit être comprise comme un déterminisme réciproque des facteurs personnels, environnementaux et des comportements selon le schéma de la figure 1. Figure 1 : Triade dynamique de la TSC Ainsi, dans cette conception, l’influence de l’environnement sur les comportements reste essentielle, mais à l’inverse de ce qu’on trouve dans les théories behavioristes de l’apprentissage (conditionnements classique et opérant) une place importante est faite aux facteurs cognitifs, ceux-ci pouvant influer à la fois sur le comportement et sur la perception de l’environnement. Le SEP influe positivement sur la performance. BANDURA, A. (1980). BANDURA, A. (1986). Bandura, A., & Wood, R.

Pédagogies de l'autonomie (de l'élève) Empowerment Au plan individuel, Eisen (1994) définit l'empowerment comme la façon par laquelle l'individu accroît ses habiletés favorisant l'estime de soi, la confiance en soi, l'initiative et le contrôle. Certains parlent de processus social de reconnaissance, de promotion et d'habilitation des personnes dans leur capacité à satisfaire leurs besoins, à régler leurs problèmes et à mobiliser les ressources nécessaires de façon à se sentir en contrôle de leur propre vie (Gibson, 1991 p. 359). Les notions de sentiment de compétence personnelle (Zimmerman, 1990), de prise de conscience (Kieffer, 1984) et de motivation à l'action sociale (Rappoport, 1987, Anderson, 1991) y sont de plus associées ACP (approche centrée sur la Personne) quelques principes de fonctionnement d’une approche centrée sur la Personne, ainsi qu’a pu la développer Carl Rogers, relayée en France par André de Peretti : · Les émotions sont constitutives de la Personne · La motivation est conçue comme autonome. Trois facteurs:

3.1. La théorie de l’efficacité personnelle (self-efficacy) de Albert Bandura Cette théorie se situe dans le prolongement du courant sociocognitif de l’apprentissage social (lui même issu du béhaviourisme et du cognitivisme). Elle considère les individus, non pas comme des organismes réactifs et démunis face aux contingences Psychosociologiques, mais comme étant à la fois les produits et les créateurs de leur environnements, comportements et actions. Ces facteurs s’influencent réciproquement et, du coup, enregistrent une dépendance fonctionnelle appelée la causalité triadique réciproque. (Beauchamp, 2008) Les individus sont donc des agents actifs dans le façonnement de leurs vies, ce qui implique du contrôle et de la régulation de leurs actes (le principe d’agentivité). Or, il apparaît que le sentiment d’efficacité personnelle est justement la pierre angulaire du principe d’agentivité humaine, dans le sens de l’exercice de l’individu d’une influence personnelle sur son propre fonctionnement et sur l’environnement (Rondier, 2004). Page suivante : 3.2.

Auto-efficacité : le sentiment d'efficacité personnelle (Bandura, 1977, 1997, 2003) - Bloc-notes de Jean Heutte : sérendipité, phronèsis et atharaxie sont les trois mamelles qui nourrissent l'Épicurien de la connaissance ;-) Article mis à jour le 19 mars 2011 La théorie de l’auto-efficacité de Bandura (1977, 1997, 2003) entre dans le cadre théorique plus large de la théorie sociale cognitive (Bandura, 1986), dénommée ci-après TSC. La TSC stipule que « le fonctionnement humain est le produit d’une interaction dynamique et permanente entre des cognitions, des comportements et des circonstances environnementales. En 1986, il expose ainsi son modèle de « causalité triadique réciproque » : le comportement (C) et les facteurs personnels internes (P) sous forme d’événements cognitifs, émotionnels et biologiques (E) interagissent ensemble de façon réciproque et s’influencent mutuellement ; le comportement (C) et l’environnement (E) interagissent ensemble de façon réciproque et s’influencent mutuellement ; les facteurs personnels internes sous forme d’événements cognitifs, émotionnels et biologiques (E) et l’environnement (E) interagissent ensemble de façon réciproque et s’influencent mutuellement. L’agentivité

Antonin GAUNAND » La théorie d’Herzberg sur la motivation au travail Selon Herzberg, la motivation au travail est liée à deux facteurs, la satisfaction et l'insatisfaction, qui agissent de manière indépendante l'une de l'autre. Les travaux de Frederick Herzberg (1923-2000), psychologue et professeur de management à l’Université de l’Utah, ont porté essentiellement sur la motivation de l’homme au travail. Pour lui, les facteurs de satisfaction au travail ne sont pas les mêmes que les facteurs d’insatisfaction et de mécontentement. Il considère que ces deux facteurs - la satisfaction et l'insatisfaction au travail - agissent de manière indépendante : ainsi, le contraire de la satisfaction n'est pas l'insatisfaction mais l'absence de satisfaction. De la même manière, le contraire de l'insatisfaction est l'absence d'insatisfaction. Les facteurs d’insatisfaction sont relatifs aux conditions de travail. Facteurs d’insatisfaction ou facteurs « d’hygiène » Politique salarialeConditions de travailSalaireSystème de supervisionStatutSécurité du travail

A. Bandura. Auto-efficacité. Le sentiment d’efficacité personnelle 1Albert Bandura est docteur en psychologie et enseigne à l’université de Stanford (Californie). Il est l’auteur de L’Apprentissage social (Mardaga, 1985). 2Depuis les années 80, Albert Bandura s’intéresse au sentiment d’efficacité personnelle. Ce concept s’inscrit dans le cadre de la théorie sociocognitive (théorie issue du béhaviorisme et du cognitivisme). Selon cette théorie, le fonctionnement et le développement psychologique doivent être compris en considérant trois facteurs en interaction : le comportement, l’environnement et la personne. 3Le sentiment d’efficacité personnelle désigne les croyances des individus quant à leurs capacités à réaliser des performances particulières. L’expérience active de maîtrise est une des sources les plus influentes sur la croyance en l’efficacité personnelle car elle est fondée sur la maîtrise personnelle des tâches à effectuer.

Recherche motivation des salariés... Différentes études révèlent une crise de la motivation et de l'engagement au travail en France. Comment inverser la tendance ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gaëlle Picut La rémunération a longtemps été considérée comme l’un des leviers principaux de motivation au travail. Mais les recherches récentes (Daniel H. Pink, Dan Ariely) montrent que la rémunération n’est pas la principale source de motivation, même si bien évidemment elle reste un élément important. « Et croire qu’une augmentation salariale ou une prime va motiver un salarié à long terme est une erreur. De son côté Antoine Morgaut, CEO Europe et Amérique Latine de Robert Walters, confirme que de plus en plus de cadres sont prêts à accepter un salaire moindre en échange d’un poste intéressant, d’une promesse de carrière motivante ou d’une meilleure qualité de vie. « La mobilité géographique en province n’a jamais été aussi forte », a-t-il indiqué. Le coût de la démotivation Décalage entre discours et réalité

Sentiment d’auto-efficacité 1 Définition La manière et les moyens retenus par une personne pour une tâche dépendent de la manière dont elle se sent capable de réaliser une tâche qui soit utile. Bandura (1997, cité par Karsenti et Larose, 2001) a défini le sentiment d'auto-efficacité comme la conviction qu'a un individu d'être capable d'organiser et de réaliser les actions nécessaires à l'accomplissement d'une tâche. La notion de sentiment d'auto-efficacité se partage en sentiment d'efficacité (ou de compétence) (efficacity expectations) qui est la conviction qu'a un individu de sa compétence à réaliser une tâche ou une action dans un contexte donné et en sentiment de la valeur du résultat (outcome expectation) qui reflète le sentiment que les actions réalisées produiront les résultats espérés. D’autre part, pour Bandura, la perception qu’a un individu de ses capacités à exécuter une activité influence et détermine largement son mode de penser, son niveau de motivation et son comportement. 2 Application 3 Références

La formation est elle un facteur de motivation des salariés? (2) Après nous être demandé ce qui pouvait motiver les salariés à aller en formation, voyons si la formation, une fois suivie, peut être un facteur de motivation au travail. Le lien ne va pas de soi: chaque responsable formation, chaque manager, a en tête l’exemple de salariés qui se forment dans une démarche individuelle, s’appuyant sur l’un des motifs d’engagement à se former évoqués la semaine dernière: plaisir d’être en formation, évitement, motif opératoire personnel ou professionnel envisagé en dehors du contexte de l’entreprise actuelle… La formation peut même avoir un effet négatif sur la motivation au travail, si elle paraît inadaptée aux besoins ou à la réalité du contexte, si elle n’est pas suffisamment accompagnée par le management… L’idée que la formation peut avoir un impact positif sur la motivation des salariés au travail, sous entend que ceux ci auront non seulement le projet de se former, mais aussi de transférer leurs acquis de formation en situation de travail.

Des comédiens réinventent l’art de la consultation | Le blog de Olivia Barron Utiliser des acteurs pour apprendre aux praticiens à parler aux patients. Une pratique encore trop rare en France. Un élève-infirmier au chevet de la patiente, jouée par la comédienne Géraldine Dupla. Haute Ecole de La Santé à Lausanne.Guy Stotzer Selon la Sofres, un tiers des français hospitalisés en 2012 sont insatisfaits de la qualité du dialogue avec le personnel médical. Jean-Paul, robot-cobaye à l’école de La Source. Première école laïque pour infirmiers au monde, La Source, à Lausanne, utilise depuis 2004 cette technique dans le cadre de son Laboratoire de pratique simulée. Dans cet hôpital virtuel, chaque élève s’adonne, quatre jours par an, au jeu du patient simulé. « Mme Magnin, 24 ans, brûlée à la jambe au troisième degré, vient pour refaire son pansement » annonce le professeur. La technique du patient simulé « prépare l’étudiant à faire face à des situations humaines pleine d’inattendus » souligne Otilia Froger, professeure à l’école de La Source. Des robots ou des hommes

La « cagnotte » et les théories de la motivation L’expérimentation lancée dans l’académie de Créteil est l’un des projets présentés dans le cadre des Fonds d’expérimentation pour la Jeunesse dont l’objectif principal est de diminuer l’absentéisme au lycée. Le programme 3 de l’axe 1 du projet, « incitations au maintien dans le système scolaire », vise à expérimenter l’impact d’une récompense sur le groupe classe en lui permettant de mettre en œuvre un projet (ToutEduc, 2009). C’est ce point précis, celui de la récompense, qui est source de polémique et c’est sous l’angle de la motivation qu’il sera traité dans les lignes suivantes.Avant toute chose, il ne faut pas confondre la motivation et ses déterminants. Difficultés méthodologiques Pourquoi ce double pari ? Limites d’une motivation par la récompense Le dispositif français ressemble cependant à celui mis en place par l’anglais dans la confusion qu’il fait entre contrôle et motivation. Le point de vue d’Alain Lieury D’autres réactions publiées sur notre site Références Dearden, L.

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