background preloader

Courir en musique

Courir en musique
Sur quelle chanson ou quelle musique préférez-vous courir ? Certains, comme notre chroniqueur Yves Boisvert, se laissent emporter par les notes de Jean-Sébastien Bach. D'autres préfèrent du rock pesant ou héroïque, du heavy, du hip hop, du techno, du dance, du disco et plus rarement, de l'opéra et des chants médiévaux. Histoire de renouveler la liste de votre lecteur MP3, voici les palmarès soumis par nos lecteurs. Rock This Party, de Bob Sinclair: «Un classique! Même si je la trouve quétaine - pour l'entendre un peu trop souvent dans les arénas -, il reste que cette pièce à un rythme entraînant et motivant parfait pour la course. «Je cours depuis seulement un an et dans mon ipod, il y a les suggestions du général Rick Hillier, qui avait raconté dans un article de l'Actualité qu'il courait sur du ABBA. «Lorsque je rentre dans une période plus difficile de mon parcours de course, les chansons de Cypress Hill me donnent le petit coup de pouce de motivation pour continuer. - Anonyme Voilà!

http://www.lapresse.ca/vivre/dossiers/courir-pour-la-forme/200905/12/01-855629-courir-en-musique.php

Related:  DE LA MUSIQUE AVANT TOUTE CHOSE ? - Accès BTSDe la musique avant toute chose ?musiqueII - Les vertus de la musique a) Les fonctions

Pourquoi la musique a-t-elle joué un rôle si important pendant la crise de la Covid-19 ? Alors que la vague de la Covid-19 déferlait sur l'Europe, la musique est devenue une nouvelle forme de résistance au stress et aux inquiétudes des milliers des gens confinés. Pourquoi ? Décryptage par les neuroscientifiques. « Au début on était tous très inquiets, on ne savait pas vraiment ce qui nous arrivait, témoigne Cyril Bouffyesse, altiste à l’Orchestre national de France. Quelles BD autour de la musique emporter dans sa valise ? Cette année, c'est décidé : on troque les bouquins pour les BD à feuilleter au son des grillons ! Autour de la musique, bien sûr. Voici notre sélection (non-exhaustive) en treize titres. Biopic On ne choisit pas forcément les biographies des musiciens pour la lecture des vacances. Avantage de la BD : elle se pique des destins hors du commun.

"Lo-fi hip-hop beats to chill" : comment ces radios YouTube ont conquis les adolescents du monde entier Bonjour tristesse « Clairement, il y a dans tout ça une sorte de culture du sad boy. C’est là depuis le début », contextualise Ryan Celsius, qui avoue d’ailleurs avoir lancé sa chaîne à une époque où il frôlait la dépression. La vraie histoire de la naissance de la Fête de la musique en BD Temps de lecture: 3 min Nous sommes dans les années 1950, André Henry est un prof et un syndicaliste super engagé. Il a 20 ans, est jeune, frais et plein d'espoir. Au fil des années, il s’intéresse à la politique: en 1974, il adhère au PS où il se fait plein de copains. Parmi eux, François Mitterrand. Art poétique - Paul VERLAINE De la musique avant toute chose,Et pour cela préfère l'ImpairPlus vague et plus soluble dans l'air,Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Il faut aussi que tu n'ailles pointChoisir tes mots sans quelque méprise :Rien de plus cher que la chanson griseOù l'Indécis au Précis se joint. C'est des beaux yeux derrière des voiles,C'est le grand jour tremblant de midi,C'est, par un ciel d'automne attiédi,Le bleu fouillis des claires étoiles ! Car nous voulons la Nuance encor,Pas la Couleur, rien que la nuance !

Les musiques en Afrique, révélateurs sociaux Dans les sociétés africaines rurales, la musique était, et demeure souvent, omniprésente: il n’est pas de moment important de la vie d’un groupe, sinon d’un individu, qui ne soit accompagné de chants et de danses, soutenus ou non par des instruments ; certains expriment et représentent le pouvoir ; d’autres scandent les âges de l’existence, entraînent aux activités productives, suscitent le plaisir de la parole. Puisqu’il n’est d’activités humaines sans musique, celle-ci évolue avec elles ; elle change, emprunte, indiquant ainsi quelles mutations sont en cours et comment elles sont vécues. La colonisation, l’urbanisation, les bouleversements consécutifs aux indépendances ont résonné dans d’innombrables musiques inventées aux quatre coins du continent au long du xxe siècle.

« Dancehall », chronique d’un rêve jamaïquain , par Romain Cruse (Le Monde diplomatique, novembre 2012) Mocassins impeccables, chemise immaculée et casquette blanche, Courtney est un défi vivant à la poussière de la capitale, l’une des plus chaudes et sèches de la Caraïbe. A Kingston, le swag — l’apparence — compte encore davantage lorsqu’on entend devenir, un jour, une star du dancehall (lire « Du “cri de la cale” aux gémissements du ghetto »). Ce terme, qui, au sens littéral, signifie « piste de danse », désigne un genre musical apparu dans les années 1980. Comment la musique modifie notre cerveau ? Les observations cliniques en neurologie ont suggéré dès la fin du XIXe siècle que notre cerveau présentait une réponse singulière à la musique, notamment au regard des capacités liées au langage. C’est à la fin du XXe siècle, avec la révolution de l’imagerie cérébrale, que l’étude des effets de l’écoute et de la pratique musicale a pris soudain une autre dimension... Pourquoi s’intéresser aux liens entre musique et cerveau ? Il y a des questions fondamentales qu’on aimerait mieux comprendre, savoir si la musique implique ou pas des endroits du cerveau spécifiques, savoir si on a un centre cérébral de la musique, si la musique est indépendante du langage, et si on peut identifier un réseau cérébral critique pour cette fonction musicale.

Charlie Chaplin, L'homme-orchestre Le catalogue officiel de l'exposition à La Philharmonie de Paris du 11 octobre 2019 au 26 janvier 2020. Musicien autodidacte dès l’adolescence, Charlie Chaplin a basculé à vingt-cinq ans de l’univers du music-hall à celui du cinéma. Avec l’invention de Charlot, le cinéaste affirme la suprématie de la pantomime et impose la dimension musicale de son personnage comme ressort comique et poétique : un corps dansant qui s’accorde au rythme du montage. En 1927, alors que le cinéma mondial bascule du muet au parlant, Chaplin voit l’opportunité de maîtriser la musique. Dès lors, en véritable homme-orchestre, il ajoute cette dimension à son art : il signe la partition de tous les films à venir et remet en musique certains de ses films muets.

Musiques, sons et signes - Création artistique (2016-2017) - Collège de France - 03 février 2017 14:00 La musique est un monde parallèle au monde réel. Cela ne signifie pas qu’elle n’est pas reliée au réel ni qu’elle lui est indifférente, mais que les affects, les sensations, les émotions et les pensées qu’elle suscite sont provoqués par des formes qui lui sont inhérentes. Igor Stravinsky proclamait que la musique était impuissante à exprimer quoi que ce soit. Du pain, des roses et un cornet à piston, par Mona Chollet (Le Monde diplomatique, février 2009) Qui aurait cru que la musique de fanfare pouvait se révéler aussi belle et émouvante ? Merveille de virtuosité narrative et d’humour, hommage vibrant au combat perdu des mineurs britanniques contre la politique de fermeture des puits engagée par Mme Margaret Thatcher lorsqu’elle était première ministre, « Brassed Off », à sa sortie, en 1996, a connu un succès inattendu et accumulé les récompenses. A Grimley, petite ville — fictive — du Yorkshire, au milieu des années 1990, la mine, menacée de fermeture, vit ses derniers jours. Le soir, ils sont encore quelques-uns à prendre part aux répétitions de la fanfare dirigée par Danny Ormondroyd (Pete Postlethwaite), mineur à la retraite ; mais la démotivation gagne. L’arrivée inopinée d’une jeune femme aussi gironde que douée, Gloria Mullins (Tara Fitzgerald), native de la ville et dont le grand-père fit autrefois les beaux jours de la fanfare, va redonner de l’ardeur à ces fortes têtes bourrues et désabusées.

Les mille effets de la musique Mendelssohn : la mélodie de l'altruisme Certaines musiques rendent-elles généreux ? D'autres égoïstes ? Les psychologues Rona Fried et Leonard Berkowitz, de l'Université de New York, ont fait écouter à des étudiants trois types de musiques : une musique calme, une musique stimulante et une musique jugée « désagréable ». La musique calme était Songs without Words, Opus 19 n°1 en Mi mineur et Opus 38 n°4 en La majeur de Felix Mendelssohn ; la musique stimulante était un air de Duke Ellington (One o'clock jump) et la musique perçue comme désagréable était Meditations de John Coltrane. Bernard Stiegler, la musique est la première technique du désir Il est agréable d'interviewer quelqu'un qui se préoccupe d'abord de ses deux interlocuteurs et du médium à qui il s'adresse et que nous représentons. Bien que nous nous souvenions très bien, et avec plaisir, de son frère Dominique lorsqu'il était journaliste à Révolution, nous ignorions l'attachement au jazz de l'ancien directeur de l'Ircam, de sa passion absolue pour cette musique jusqu'à son emprisonnement pour vol à main armée en 1978. Stiegler eut la sagesse de faire son coming out sur ses activités délinquantes et écrivit Passer à l'acte en 2003 sur ce qui lui permit d'entrer en philosophie. La lecture d'un article passionnant sur la perte de la libido, conséquence de l'uniformisation, écrit pour Le Monde Diplomatique, nous donna envie de l'interroger sur les changements sociaux que la musique peut produire et comment sa fonction se transforme aux mains d'une industrie dont le moteur "essentiel" est le marketing.

Related: