street art manifesto
STREET ART
Street art
Mouvement artistique e « Street art » est l'art, développé sous une multitude de formes, dans des endroits publiques ou dans la rue. Le terme englobe la pratique du graffiti, du graffiti au pochoir, de la projection vidéo, de la création d'affiche, du pastel sur rues et trottoirs. La valeur subversive du « street art » est très puissante et les motivations qui poussent les artistes à afficher leur art dans la rue sont des plus variées. Certains artistes de la rue voient le « street art » comme un large espace vierge pour réaliser leurs oeuvres alors que d'autres adoptent cette forme d'art dans le but de retrouver les émotions fortes qui émanent des risques encourus par la réalisation de projets sur la propriété privée ou publique (arrestations, contraventions, etc.). Les techniques utilisées sont variées et de diverses proportions. report this adInitialement, le « street art » regroupait particulièrement les artistes graffeurs et était associé à la culture « punk ».
Cultures Urbaines 06
Brooklyn Street Art Home
Posted on April 7, 2014 “After photographing in the mosh pits for awhile I began to get familiar with patterns in the music. Eventually it got to the point where I could sense the moment coming when things would really cut loose and go berserk,” says painter Dan Witz about his process and method for catching the moment when the roiling mass of hardcore music fans hit the perfect state of frenzy. “NY Hardcore Paintings”, opening this past Saturday night and on view currently at The Jonathan Levine gallery in Chelsea, presents Witz with his new body of convulsing bodies and to say they are a revelation is only part of the story. Dan Witz “NY Hardcore” Jonathan LeVine Gallery (Photo © Jaime Rojo) With this many pieces displayed at once you begin to see mosh pits more as a cultural phenomenon, sociological study, and expression of the cognitive polarity produced when marginalized subculture creates communal gatherings. Dan Witz “NY Hardcore” Jonathan LeVine Gallery. Posted on April 6, 2014
Streep - media digital de l'art urbain contemporain
Interstices urbains et pratiques culturelles
Sommaire de l'article Navigation Zoomer : CTRL + Roulette de la souris Revenir au sommaire du dossier Quitter le dossier Notes et remarques [1] Paul Ardenne, extrait d’un entretien paru dans la revue Mouvement, n°50, janvier-mars 2009 [2] Pascal Nicolas-Le Strat , Expérimentations politiques, chapitre « Multiplicité interstitielle » [3] Livre vert sur la cohésion territoriale: faire de la diversité territoriale un atout. [4] Rapport Fabrice LEXTRAIT sur les Nouveaux territoires de l’art [5] Le territoire, dans sa définition anthropologique, telle que Marc Augé peut le définir comme espace relationnel, identitaire et historique. On parle ici de (non) lieu. [6] Multitudes n°31, Agir urbain, hiver 2008. « Dans les sociétés très normalisées qui étouffent sous le consensus, relèveront de l’art le plus intéressant a priori les créations qui instillent dans la mécanique du contrôle une figure d’indiscipline, d’irréductibilité à la normalisation. vers une nouvelle manière de vivre/d’investir la ville ?
Art Urbain | Paperplane
AMMAR est une association qui lutte pour les droits de l’Homme et pour la mise en place de lois défendant les travailleuses sexuelles en Argentine. Plus de 85% de ces travailleuses sont des mères de famille espérant qu’un jour une loi soit promulguée afin de les défendre contre l’exploitation et les violences policières. Pour attirer l’attention sur ce sujet controversé, l’agence Ogilvy & Mather a mis en place une opération à la frontière entre ambient marketing et street art. Le principe, proposer aux passants deux visions différentes d’une travailleuse sexuelle. Lire la suite
streetART - Accueil et l'Histoire incroyable du street art
Dès 1960, en France, on le compare à une forme d’art, ce qui s’avère être plutôt singulier à l’époque. Même si les critiques sont mitigées, l’art du graffiti était né, au grand plaisir des artistes qui s’adonnaient à cette pratique. Vers la fin des années 1960, on retrouve une valeur très intellectuelle et songée au sein des graffiti conventionnels, inspirés par la politique pour la plupart.
Quel regard sur les pratiques culturelles?
Depuis trente ans, les pratiques culturelles sont abordées essentiellement sous l'angle des inégalités de classes. Les sociologues de la culture réfléchissent aujourd'hui aux limites de cette approche, et tentent de l'actualiser à travers de nouvelles enquêtes empiriques. Depuis 1973, le ministère de la Culture mène tous les huit ans une grande enquête statistique sur les pratiques culturelles des Français, qui est le principal outil de connaissance dans ce domaine. Elle avait été à l'époque conçue sous un double patronage théorique. Le premier était la sociologie de la légitimité culturelle de Pierre Bourdieu, qui postule une correspondance entre la hiérarchie des oeuvres (légitimes, moyennes ou vulgaires) et la hiérarchie sociale des consommateurs, mesurée à l'aune de leur classe sociale d'appartenance (classe dominante, moyenne ou populaire). Après la réalisation de quatre vagues d'enquêtes (1973, 1981, 1989 et 1997), les sociologues s'interrogent sur leur outil. Or, O. P.