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2 │Sommes-nous faits pour travailler ?

Thank you, Paul ARIES - Site Officiel C dans l'air du 19/07/2012 Paul Ariès : la simplicité volontaire, un choix de vie coopératif « Il n’y a pas un monde développé et un monde sous-développé mais un seul monde mal développé ». Crise politique, crise institutionnelle, crise de la personne humaine, réchauffement de la biosphère, selon Paul Ariès, la prétention du discours de la simplicité volontaire est de tenter de penser l’articulation entre une série de grandes crises qui affectent aujourd’hui l’humanité. Ainsi, le discours des partisans de la Simplicité Volontaire, celui « des » anti-productivistes, « des » anti-consuméristes, « des » militants anti-pub, « des » Objecteurs de Croissance ne se résume pas un à discours écolo plus au moins « dur », ni même à une forme contraignante du « nécessaire ». Selon Paul Ariès, pratiquer la simplicité volontaire, c’est choisir de vivre autrement, plus frugalement avec moins de consommation, moins de technologies, moins de vitesse, moins de soumission à des normes. ★ Nouveau : Abonnez-vous pour accéder à ce document sans délai ! Paul Ariès MP3 Durée 63’05 Table de l’exposé

Centrales nucléaires et leucémies infantiles Notre communiqué de presse du 12/01/2012 La revue Journal International du Cancer vient de publier dans son numéro de janvier une étude scientifique établissant une corrélation très claire entre la fréquence des leucémies infantiles aigües et la proximité des centrales nucléaires [1]. Cette étude épidémiologique rigoureuse, menée par une équipe de l’INSERM [2], de l’IRSN [3], ainsi que le Registre National des maladies hématologiques de l’enfant de Villejuif, démontre pour la période 2002-2007 que la fréquence d’apparition de leucémies infantiles (enfants de 0 à 14 ans) augmente de façon importante dans un rayon de 5 km autour des centrales nucléaires françaises - jusqu’à 2,2 fois plus chez les enfants de moins de 5 ans. Cette étude confirme ainsi celle menée en Allemagne par le Registre des Cancers de Mayence en 2008 [4], qui avait abouti à des conclusions similaires. démontage de l’étude faisant la démonstration d’excès de leucémies infantiles autour des centrales allemandes [6].

Paul Ariès : «Il faut un pacte social plus protecteur et émancipateur» Remettre la gratuité au cœur de notre pacte social. Et d’abord à l’échelle municipale. Que cette gratuité concerne les transports publics, les services funéraires, l’eau vitale ou le stationnement urbain. Et qu’elle s’adresse à tous… Politologue et écrivain, Paul Ariès appelle les gauches à s’engager dans ce processus de réappropriation. Sous Nicolas Sarkozy, vous pointiez une société de la peur. Cette société de la peur est beaucoup plus qu’une affaire de personne. La peur ne recule pas avec les solfériniens au pouvoir. Vous êtes un grand prosélyte de la gratuité, une notion que vous souhaitez voir réhabilitée… La gratuité est à la fois une réponse à la peur et le fondement d’un nouveau pacte social. Quel bilan tirer des premières réappropriations locales de services publics ? Depuis l’organisation du premier Forum national de la gratuité, en 2009, les choses ont beaucoup progressé. Comment concilier croissance faible et hausse du plaisir de vivre ? Dessin Yann Legendre

La concurrence des riches contre les pauvres - Les zindigné(e)s La responsabilité du réchauffement climatique revient d’abord aux pays riches. Si on calcul quel pays a émis le plus de CO2, depuis le début de l’ère industrielle, c’est l’Angleterre qui dispose de la dette écologique principale. Par contre, si nous mesurons cette pollution en fonction des Kg de CO2, par habitant, ce n’est plus la Chine, ni l’Angleterre, qui tiennent la tête, mais les États-Unis, avec 18,4 TEC/hab. Enfin, si on prend le niveau de l’empreinte écologique par habitant, c’est le Qatar, qui tient la tête avec 12ha/hab en 2005 selon le WWF. Ces divergences d’évaluation de la dette écologique permettent à chacun de ces pays d’éviter de faire le premier pas, dans la réduction de l’effet de serre, considérant chacun qu’ils ne sont pas les plus responsables. L’épuisement des ressources non renouvelables de la planète est proche. L’empreinte écologique et les écarts de richesses révèlent l’écart entre le Nord et le Sud.

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