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S01 EP.07 - Le krach boursier de 1929

S01 EP.07 - Le krach boursier de 1929
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Ce que l'on doit au Front populaire Cet article date de plus de sept ans. Publié le 03/05/2016 17:16 Durée de la vidéo : 2 min La coalition des partis de gauche formée par Léon Blum eut lieu le 3 mai 1936. 80 ans après, retour sur cette page de l'histoire de France. C'était il y a 80 ans, le 3 mai 1936 : ce jour-là, Léon Blum parvient à rassembler socialistes, radicaux et communistes aux législatives. Pour la première fois, la gauche l'emporte avec un slogan qui fait mouche en cette période de crise économique et de montée du fascisme : "Le pain, la paix et la liberté". Ce grand espoir est néanmoins douché car Blum préfère attendre la rentrée parlementaire en juin pour provoquer un grand changement. Le mouvement du Havre s'étend à toute la France et échappe aux syndicats. La colère des ouvriers s'estompe à partir de juillet, quand les Français découvrent les vacances : deux semaines de congés payés. Partager : l'article sur les réseaux sociaux

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sans titre Afin de lutter contre les conséquences économiques et sociales du krach boursier de 1929 et de la crise qui a suivi, le nouveau président démocrate Franklin Roosevelt met en place, à partir de 1933, une série de mesures qui constituent le « New deal » (la « nouvelle donne »). Parmi ces mesures : - la réforme du secteur financier : fermeture et regroupement de nombreuses banques, système garantissant les dépôts des clients des banques, régulation de l'activité boursière, séparation des banques en banque de détail et banque de marché - la subvention massive des agriculteurs, afin qu'ils réduisent les surfaces cultivées pour faire remonter les cours de leurs produits, et le rééchelonnement de leur dette - la création d'emplois publics : emplois d'utilité générale, notamment pour les jeunes (reboisement), grands travaux (routes, barrages) - la création d'allocations chômage et de prestations retraite - l'abandon de l'étalon-or et la dévaluation du dollar

Plan du cours Le New Deal de Franklin D. Roosevelt, le plus puissant des présidents américains Le 31 octobre 1936, à la veille de sa ré-élection, Franklin D. Roosevelt, à l’époque président des États-Unis, défend le « New Deal » dans son fameux discours au Madison Square Garden. Il semble se réjouir des attaques du parti Républicain. Voici donc traduit pour la première fois en français sur le web (par Andrei et François que je remercie chaleureusement pour leur aide) ce grand discours de Franklin Delano Roosevelt -impressionnant quand on pense à la soupe fade des discours actuels… D’autant que c’est bien le Président des États-Unis qui parle ici, pas un simple candidat. Sénateur Wagner, Gouverneur Lehman, Mesdames et Messieurs, À la veille de l’élection présidentielle, nous devrions nous arrêter un moment et analyser calmement et sans préjugés le résultat pour notre Nation d’une victoire d’un des grands partis politiques. En 1932, l’enjeu était de restaurer la démocratie aux États-Unis, et le peuple américain avait la volonté de vaincre. Quel était notre espoir en 1932 ?

Franklin Delano Roosevelt (1882 - 1945) - Président de guerre Franklin Delano Roosevelt devient en 1933 le 32e président des États-Unis, alors que sévit depuis 1929 la plus grave crise économique de l’époque moderne. Huit ans après son entrée à la Maison Blanche, le redressement est à peine engagé que l’Europe entre en guerre. Les États-Unis sont eux-mêmes attaqués par le Japon, allié de l’Allemagne hitlérienne. En première ligne dans la lutte, le président meurt brutalement le 12 avril 1945, dans sa treizième année à la Maison Blanche (un record !), à la veille de la victoire finale. Son quadruple mandat a installé les États-Unis dans le statut inédit de superpuissance... Rétrospective sur Franklin Delano Roosevelt (Les Actualités Françaises 1945), source : INA Un jeune homme prometteur Après ses études à Harvard et dans l'école de droit de Columbia, Franklin Roosevelt s'est engagé très tôt en politique. Sa jeune notoriété lui vaut de figurer sur le ticket démocrate en novembre 1920 comme vice-président du candidat James Cox. L'inquiétude Épilogue

Le Krach boursier de Wall Street (24 octobre 1929) et ses conséquences - Jalons pour l'histoire du temps présent Le Krach de Wall Street (octobre 1929) symbolise l'entrée des pays capitalistes dans la crise économique des années trente. A partir des années 1926-1927, une conjoncture économique favorable (atmosphère de prospérité générale) ajoutée à une transformation rapide des structures de l'entreprise aux Etats-Unis (généralisation des sociétés anonymes) ainsi qu'à des facilités de crédit (4/5ème des transactions boursières s'effectuent à crédit) entraînent une importante fièvre boursière et une flambée du cours des actions à la Bourse de New-York. En 1929, les transactions portent en moyenne sur 4,2 millions de titres par jour, avec parfois quelques montées en flèche particulièrement spectaculaires (8,2 millions en mars 1929). La crise boursière débute le 23 octobre 1929 et le jeudi 24, le fameux "jeudi noir", c'est une véritable panique : 13 millions de titres sont cédés. Fabrice Grenard

crise de 1929 « Galmaril Les années folles Les années 20 ont été surnommées les « années folles », en anglais « the roaring twenties », les « années vingt rugissantes ». C’est la décennie qui tourne le dos à la Grande Guerre. La croissance industrielle est spectaculaire. Les autorités politiques et financières ne cessent de marteler le même discours sur la confiance, la prospérité durable et le bien-être. Vers la fin de la décennie, le boom économique tourne même à l’euphorie générale. C’est la décennie où l’électricité commence à se répandre partout. Les effets pervers du crédit Pour soutenir la consommation de masse, les États-Unis ont commencé à développer le crédit qui est rapidement devenu un instrument quotidien dans la gestion du budget des ménages. Le mécanisme de la Bourse En anglais, le mot « action » se dit « share », du verbe to share qui veut dire partager. Les nouvelles technologies contribuent à cet emballement pour la spéculation. Lire la suite : le krach d’octobre 1929 (…)

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