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Librairie [Au 3ème Oeil]

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Affaires Criminelles - Les plus grandes affaires criminelles Bibliothèque et médiathèque troisième lieu Photo : « Du design, du design, du design » par Charlotte Henar en licence Creative Commons by-sa Dans le cadre de notre master, nous avons eu l’occasion de rencontrer Catherine Perrin, conservatrice en chef et directrice de la médiathèque Louis Aragon de Martigues. Outre le métier de bibliothécaire, elle nous a présenté le projet de sa médiathèque : évoluer vers le « le troisième lieu ». Le concept Alors que le premier lieu figure le foyer et que le second lieu se réfère à la sphère du travail, le troisième lieu représente quant à lui un espace consacré à la vie sociale, où les individus peuvent se rencontrer et discuter de manière informelle à l’image de ce qu’a pu être la place du marché ou l’église et de ce qu’incarne encore le café aujourd’hui. Le sociologue Ray Oldenburg qui a conceptualisé cette notion1 dans les années 1980 en a tiré les caractéristiques suivantes dans son livre The Great, Good Place2 : La bibliothèque troisième lieu Pour aller plus loin :

Accueil Henry Lee Lucas < Accueil Henry Lee Lucas Né en 1937 à Blacksburg, Henry Lucas était le fils d'une prostituée et d'un cheminot. La mère de Lucas, Madame Viola Dixons était la plupart du temps sous l'emprise de l'alcool, et battait sans arrêt ses enfants. Ses sept premiers enfants issus de son premier mariage ont été confiés à un foyer d'accueil, elle eut Henry d'un second mariage. Pour des raisons inconnues, elle forçait son fils Henry à mettre des robes et à garder les cheveux longs. Le père de Henry, Anderson Lucas, avait perdu ses deux jambes dans un accident de train. En 1952, il fut condamné à 1 an de maison de correction pour vol avec effraction. Libéré fin août 75, il alla s'installer quelques temps à Chatham en Pennsylvanie et le 5 décembre 1975 épousa Betty Crawford. De passage en Floride, Henry Lucas rencontre Ottis Toole dans une soupe populaire à Jacksonville. En janvier 1982, Henry et Ottis enlève Becky, la soeur d'Ottis Toole et l'emmène avec eux dans leur cavale. sous la route.

Les bibliothèques municipales en France après le tournant internet Depuis le temps qu’on en parlait, objet de rumeurs et de curiosités, la voici enfin publiée, la fameuse « enquête Crédoc » sur la fréquentation des bibliothèques municipales. Elle s’inscrit dans la ligne des enquêtes de 1978 et 1997 sur l’image et la fréquentation des bibliothèques municipales, en en reprenant une partie du questionnaire : on y trouvera donc des rubriques déjà connues (sur les usagers et les usages). Mais on y trouvera aussi un schéma explicatif nouveau, qui cherche à rendre compte d’une augmentation de la fréquentation – malgré les inquiétudes nées des statistiques nationales et de l’observation empirique locale. Des usages plutôt traditionnels Les trois premiers chapitres présentent les résultats de l’enquête sur les usagers et les usages. En dehors de cette nouveauté, la description des usages est plutôt traditionnelle. Mais un nouveau schéma explicatif Cette fréquentation massive (quel autre équipement culturel pourrait aligner de pareils chiffres ?)

Actualité à la Une Interview : Stéphane Bourgoin, spécialiste des Serial Killers - Le Journal qui pense ce qu'il écrit ! A.S - Bonjour Stéphane, et merci de prendre un peu de temps pour répondre à nos questions. Votre voyage aux Etats-Unis s’est-il bien passé ? Stéphane Bourgoin - Oui oui, très bien. Même si aller là bas pour enquêter sur des serial killers, c’est autre chose que de faire du tourisme (rire). Je reviens toujours assez fatigué, car pendant mes face-à-face avec des tueurs en série, je suis très concentré, très attentif ; à ce que je veux réussir à leur faire dire, à ce qu’ils me confient, etc. (Un jeune homme entre, et achète un livre ; il demande à mon interlocuteur si Stéphane Bourgoin passe de temps en temps à la librairie. A.S - Depuis combien de temps étudiez-vous les serial killers ? S.B - Lorsque j’ai appris en 1978 que le meurtrier de ma compagne, assassinée, violée et mutilée deux ans plus tôt, était un serial killer, j’ai voulu comprendre. A.S. - Stéphane, pourquoi pensez-vous que tous ces tueurs en série acceptent de vous rencontrer ? S.B - (rire) Non, pas du tout.

Bornes automatiques, puces RFID, livres numériques … Bienvenue dans la bibliothèque du XXIème siècle ! Mardi 15 janvier 2013 2 15 /01 /Jan /2013 08:46 La RFID dans les bibliothèques : Une technologie plus rapide, plus pratique mais pas moins contraignante. Par le colectif "Livre de papier" Après l’installation de la RFID et des bornes de prêt automatique dans les bibliothèques parisiennes, un argumentaire critique contre cette technologie a été diffusé à l’initiative du collectif “Livre de papier”, composé de lecteurs, bibliothécaires, libraires, traducteurs ou éditeurs. "L’automatisation du prêt franchit une nouvelle étape avec l’instauration de bornes de prêt automatique, dans les bibliothèques parisiennes. Le monde qu’on ne cesse de vouloir nous vendre, censé être plus pratique et plus rapide, obéit en réalité à une double volonté : créer de nouveaux marchés (comme lorsqu’une entreprise privée est payée par les pouvoirs publics pour installer du matériel électronique) et réduire la masse salariale (un vigile prendra la place de dix bibliothécaires avec des bornes de prêt efficaces).

Les Tueurs en Série vus par EISENFAUST ATTENTION ! Cette page contient des éléments choquants ! Je déconseille meme à un adulte de s’y attarder si il ne sait pas un minimum ce à quoi il s’attends et donc si il n’y est pas un minimum préparé ! (réflexion sur l'humanité...) Le titre de cette rubrique peut faire peur, ça c'est sur, pourtant à travers les histoires, la vie et les crimes de ces pariahs de la société, c'est justement une longue et profonde réflexion, sur la société et même sur l'humanité toute entière, que je vous propose... Conclusions : Retour à la page d'Accueil

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