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Bienvenue sur le site Etho-logique : éthologie, science du compo

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Découvrir la recherche en informatique - Accueil Sciences Citoyennes Et si les chercheurs devenaient réflexifs ? On m'a raconté une fois l'anecdote suivante : quand Al Gore était vice-président des États-Unis, il demandait à chaque expert qu'il auditionnait : "Quelles sont vos hypothèses ?". Car il savait bien chaque théorie ou explication avancée par la science repose sur des hypothèses, et la conclusion ne vaut rien si on ne sait pas quelles sont ces hypothèses de départ, les implicites du raisonnement. En plus de répondre à la question “Que sait-on aujourd’hui ?” De cela, je parle dans un ouvrage collectif (La science, éditions Cavalier bleu, collection "Idées reçues") à paraître en 2011. L'explication, selon elle, tient au fait que pour une hypothèse donnée, un paquet de convictions, de valeurs et d'implicites sont nécessaire avant de considérer une observation comme pertinente, puis pour interpréter cette donnée et en faire un élément à l'appui de la théorie. Ca aurait de l'allure, non ?

Le méthane de la marée noire digérée par des bactéries Le méthane qui a envahi le Golfe du Mexique lors de l'explosion de la plateforme pétrolière BP en avril 2010 a été digéré par des bactéries en quatre mois seulement. Une preuve du rôle fondamental que jouent les micro-organismes dans le réchauffement climatique et les moyens de le ralentir. La marée noire d'avril 2010 dans le Golfe du Mexique comprenait 30% de méthane parmi les différents hydrocarbures relâchés. Alors que la fuite du puits ne s'est arrêtée que le 15 juillet, dès septembre, l'ensemble du méthane libéré "avait été complètement consommé par [d]es bactéries, ce qui a été plus rapide que ce à quoi nous nous attendions", a indiqué à l'AFP David Valentine, professeur de géochimie. En réalité, les mesures effectuées indiquent que moins d'un 100.000e du méthane dégagé l'a été dans l'atmosphère. Avez-vous déjà partagé cet article?

[Laboratoire Communication, culture & Société] EXCLUSIF: ces médicaments qui favorisent Alzheimer DÈS OCTOBRE 2011, Sciences et Avenir révélait les premiers résultats d'une étude française estimant que la consommation chronique d'anxiolytiques et de somnifères augmente le risque d’entrée dans la maladie d'Alzheimer. Chaque année, en France, 16.000 à 31.000 cas d'Alzheimer seraient ainsi attribuables à ces traitements par benzodiazépines. Retrouvez le dossier de notre collaborateur Guy Hugnet, qui vient de publier Psychotropes: l'enquête aux éditions de l'Archipel. A lire en ligne:- Benzodiazépines : comment s'en passer? comment arrêter?- L'interview du psychiatre Patrick Lemoine: "les benzodiazépines favorisent la démence"- L'interview du Pr Maraninchi, directeur général de l'Afssaps: "Il va falloir sécuriser les prescriptions" TCHATS:- Anxiolytiques et somnifères; quels risques? Pour Bernard Bégaud, Pharmacologue, épidémiologiste à l’université de Bordeaux*, responsablede l’étude sur les benzodiazépines, les autorités sanitaires n’ont pas mesuré l’ampleur du phénomène. Oui.

EXCLUSIF. Oui, les OGM sont des poisons ! (Cet article paraît dans le "Nouvel Observateur" daté du 20 septembre 2012) C’est une véritable bombe que lance, ce 19 septembre à 15 heures, la très sérieuse revue américaine "Food and Chemical Toxicology" - une référence en matière de toxicologie alimentaire - en publiant les résultats de l’expérimentation menée par l’équipe du français Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen. Une bombe à fragmentation : scientifique, sanitaire, politique et industrielle. Elle pulvérise en effet une vérité officielle : l’innocuité du maïs génétiquement modifié. Lourdement toxique et souvent mortel Même à faible dose, l’OGM étudié se révèle lourdement toxique et souvent mortel pour des rats. En 2006, c’est comme un véritable thriller que commence cette recherche, dont le maître d’œuvre, Gilles-Eric Séralini, divulgue lui-même les conclusions dans un ouvrage à paraître la semaine prochaine ("Tous cobayes !" Nom de code In Vivo Pathologies lourdes, tumeurs mammaires

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