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Miroirs de la ville #3 Psychogéographie ! Poétique de l’exploration urbaine

Miroirs de la ville #3 Psychogéographie ! Poétique de l’exploration urbaine
Le mardi matin, Urbain, trop urbain promène un livre le long du Web. Les liens reflètent une veille hebdomadaire diffusée sur TWITTER, mais c’est le livre qui va s’y mirer. Tirer de cet exercice spéculaire un répertoire symbolique, une éthique de la ville, comme le voudrait le genre du miroir ? > Miroir à partir de Merlin Coverley (& alii), Psychogéographie ! Ce pourrait être un beau leitmotiv de cette année 2012 : la psychogéographie est toujours vivante. Guy Debord y tiendra mordicus : lui et ses amis ont institué les premiers la psychogéographie et la théorie de la dérive entendue comme méthode d’analyse urbaine. Cependant, n’en déplaise à ceux qui attribuent la psychogéographie au seul mouvement situationniste, et à Guy Debord en particulier, il y a une forte « tradition locale » londonienne de la topographie de la ville comme arrière plan psychique et soubassement d’une histoire individuelle. Le vagabond dérange ? Psychogéographie ! Merlin Coverley (& alii) 196 pages — 21 € TTC Related:  Coté Anarchie

The Senseable City - Carlo Ratti Carlo Ratti, Berlin Lab Team The Lab Team in Berlin will have an overarching theme of making and doing—empowering everyday citizens to create and improve their own cities. Within this theme, Lab Team members have each chosen a special focus based on their skill sets and backgrounds. Architect, engineer, and director of the SENSEable City Lab at the Massachusetts Institute of Technology (MIT), Carlo Ratti will focus on (you guessed it) the Senseable City—merging the digital and the physical realms by understanding how we sense and act on our built environment, and how the latter then responds to us. This is the third in a series of four interviews with Lab Team members to provide a sneak peek of what we can expect from their programming in Berlin. First off, let’s talk about your main topic—Senseable Cities. The Senseable City is about how our environment is becoming more responsive thanks to technology, and how our cities are starting to talk back to us You work with a lot of hard data.

32 Le lundi matin à heure fixe, Urbain, trop urbain donne sous forme de chronique un petit résumé des meilleurs liens glanés sur Internet lors de la semaine écoulée. Le fonctionnement est simple : le taux de consultation des URL diffusées sur notre compte Twitter fait le partage statistique, charge au rédacteur de trouver un fil rouge dans les liens ainsi sélectionnés par cet arbitraire de l’audience… L’urbanisme n’existe pas : ce n’est qu’une « idéologie », au sens de Marx. L’architecture existe réellement, comme le coca-cola : c’est une production enrobée d’idéologie mais réelle, satisfaisant faussement un besoin faussé. Tandis que l’urbanisme est comparable à l’étalage publicitaire autour du coca-cola, pure idéologie spectaculaire. la réduction de toute la vie sociale en spectacle, est incapable de donner un autre spectacle que celui de notre propre aliénation. son chef-d’œuvre. [1] Bien sûr, peu de réalisations dans ce sillage, voire pas du tout.

Une autre ville pour une autre vie. Henri Lefebvre et les situationnistes 1Il est peu de mouvement qui, à l’instar des situationnistes, ait placé la question urbaine au cœur de leurs pratiques artistiques et littéraires. Conçue comme l’espace de production de la société du spectacle, de la consommation et du contrôle social puis, au contraire, comme un « nouveau théâtre d’opération dans la culture », c’est-à-dire comme un terrain de lutte et d’expérimentation, la ville a représenté pour les situationnistes le lieu même d’une transformation révolutionnaire de l’existence, à travers la participation des citadins et la réintégration du poétique dans l’ordinaire. Cette préoccupation fait directement écho à celle d’Henri Lefebvre, que Debord et ses camarades rencontrent en 1960, et qui en avait posé les premiers jalons dès 1946 dans sa Critique de la vie quotidienne puis dans La somme et le reste en 1959. Entre le sociologue et les situationnistes, l’échange sera mutuellement fécond. 12En fait, Constant s’est mis depuis longtemps au travail.

Psychogéographie NYC Table of Contents Project DescriptionDomains of Design ConceptResearch and Design QuestionsTerminologyPrecedencePrototypesSound PsychogeographyFindings and Next StepsAcknowledgmentsReferences Here is a link to the final paper. Urban Drifts is a series of research–driven bicycle rides through New York City that make use of the Situationist International concept of the dérive and tracks the course of the rides using GPS technology. The reason for the project is my interest in exploring the connection between urban landscapes and the emotions and actions of the inhabitants of that urban space and looking to see what new insights technology (primarily GPS tracking) and psychogeographic maps can shed on this relationship. Domains of Design Concept This work resides in the areas of psychogeography, mapping, urban study and research, social research, urban intervention, mobile and wireless technology studies, fine art and sound design. Research and Design Questions Terminology Precedence Process

L'Internationale Situationniste situation construite Moment de la vie, concrètement et délibérément construit par l’organisation collective d’une ambiance unitaire et d’un jeu d’événements. situationniste Ce qui se rapporte à la théorie ou à l’activité pratique d’une construction des situations. situationnisme Vocable privé de sens, abusivement forgé par dérivation du terme précédent. psychogéographie Etude des effets précis du milieu géographique, consciemment aménagé ou non, agissant directement sur le comportement affectif des individus. psychogéographique Relatif à la psychogéographie. psychogéographe Qui recherche et transmet les réalités psychogéographiques. dérive Mode de comportement expérimental lié aux conditions de la société urbaine : technique du passage hâtif à travers des ambiances variées. urbanisme unitaire Théorie de l’emploi d’ensemble des arts et techniques concourant à la construction intégrale d’un milieu en liaison dynamique avec des expériences de comportement. détournement culture décomposition

Skinhead situationniste 1 - Le Skinhead situationniste est un(e) Skinhead qui pratique la construction de situations, c'est-à-dire la construction concrète d'ambiances momentanées de la vie et leur transformation en une qualité passionnelle supérieure sur le principe d'une révolution permanente de la vie quotidienne à laquelle participent pleins d'autres principes évoqués ci-après, principes qui ne sont plutôt qu'une somme de constatations liées à l'étude du Skinhead situationniste dans son milieu naturel. Tout Skinhead peut être, s'il s'en rend compte en lisant ceci, un situationniste. Tout situationniste peut devenir Skinhead pour les mêmes raisons mais pas du jour au lendemain car il faut pas abuser, Rome ne s'est pas construite en un jour même si tous les chemins y mènent. Dans les deux cas, une intense curiosité culturelle est de mise, curiosité qui se doit d'être portée par un sentiment d'osmose quasi orgasmique, effet que connaissent bien les Skinheads situationnistes pour écouter du Skinhead Reggae.

Institute for Applied Autonomy Tactical Cartographies (excerpt) | Institute for Applied Autonomy In taking up the term 'tactical' in an arts context, we link cartography with 'tactical media,' an approach to art production that privileges critical social engagement. Since the early 90's the tactical media label has become something of a house brand for a host of widely divergent media practices embracing themes of politics and empowerment. Particularly, the term has expanded from its origin in interventionist art to ultimately include a wide variety of "alternative" and "indy" media strategies. In considering the term here, we emphasize its connotations of instrumentality. At root, tactical media is about intervention - it is concerned with creating disruptions within existing systems of power and control.

Guy Debord : RAPPORT SUR LA CONSTRUCTION DES SITUATIONS ET SUR LES CONDITIONS DE L'ORGANISATION ET DE L'ACTION DE LA TENDANCE SITUATIONNISTE INTERNATIONALE Le surréalisme, s'opposant à une société apparemment irrationnelle, ou la rupture était poussée jusqu'à l'absurdeentre la réalité et les valeurs encore fortement proclamées, se servit contre elle de l'irrationnel pour détruire sesvaleurs logiques de surface. Le succès même du surréalisme est pour beaucoup dans le fait que l'idéologie de cettesociété, dans sa face la plus moderne, a renoncé à une stricte hiérarchie de valeurs factices, mais se sert à son tour ouvertement de l'irrationnel, et des survivances surréalistes par la même occasion. La bourgeoisie doit surtoutempêcher un nouveau départ de la pensée révolutionnaire. Elle a eu conscience du caractère menaçant dusurréalisme. La décomposition, stade suprême de la pensée bourgeoise La culture prétendue moderne a ses deux principaux centres à Paris et à Moscou.

LE SALAIRE DE LA PEUR La societe du situationnisme “Le système de la consommation marchande, quand bien même une théorie situationniste constituée n’aurait jamais existé, comme source possible d’inspiration, contient implicitement son propre situationnisme.” —Daniel Denevert, Théorie de la misère, misère de la théorie Le deuxième assaut du prolétariat contre la société de classes est entré dans sa deuxième phase. La première phase, qui a commencé d’une façon diffuse dans les années 50 et qui a atteint son point culminant dans les luttes ouvertes de la fin des années 60, a trouvé son expression théorique la plus avancée dans l’Internationale Situationniste. Le situationnisme est l’idéologisation directe ou implicite de la théorie situationniste, dans le mouvement révolutionnaire et dans la société dans son ensemble. La nature même des erreurs des situationnistes — exposées et critiquées par eux sans aucune pitié — est une confirmation de leurs méthodes. Les premières critiques du situationnisme sont restées fondamentalement anhistoriques.

Refuser le travail, c'est bien. Le dépasser, c'est mieux. Par Gérard Briche, philosophe, membre des groupes allemands Krisis et Exit !. Texte rédigé pour un débat lors de la projection du film « Attention Danger Travail » de Pierre Carles, au festival Avatarium à Saint-Etienne, le 22 novembre 2003. Avec une sympathie évidente pour ses auteurs et la dimension critique du sujet qu'ils cherchent à traiter, ce texte montre l'intérêt mais aussi les limites théoriques véritables du film quand il parle de ce qu'est le « travail » (qui sous le capitalisme n'est pas une simple activité, mais doit être considéré d'abord comme un « rapport social » spécifique à la fois au fondement et au fonctionnement du capitalisme, cf. le livre de Moishe Postone), et il nous invite tous à repenser vraiment la théorie critique du capitalisme, de manière radicale, c'est-à-dire aller voir ce que sont les racines sociales même de cette société fétichiste, pour les découvrir comme ni naturelles, ni transhistoriques, mais à abolir. Palim Psao Rêverie utopique ? - Isaak I.

Guy Debord Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Debord. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et contexte historique et culturel[modifier | modifier le code] Très tôt, Guy Debord perd son père. En 1951-1952, selon les propres mots de Debord, « jamais… le champ de bataille n'avait été aussi vide[5] ». D’autres, cependant, refusaient ce partage. C'est à cette période qu'il rencontre Isidore Isou et les lettristes (Maurice Lemaître, Gil J Wolman, Jean-Louis Brau, Marc'O…), rencontres décisives qui marquent le fondement de ses engagements futurs. Le mouvement lettriste[modifier | modifier le code] Le scandale de la projection du film Traité de bave et d'éternité d'Isidore Isou au festival de Cannes (avril 1951) marque le jeune Debord et lui ouvre le champ de création qu’est le cinéma, le poussant à participer aux activités du mouvement lettriste, participation qui prendra fin en novembre 1952 à la suite d'un autre scandale, le « scandale Chaplin[7] ».

Plaidoyer pour l’extrémisme S’il y a bien une chose qui m’énerve dans les discussions que je peux avoir ou dont je suis témoin, ce sont les manœuvres d’évitement. C’est-à-dire tous les non-arguments dont le but principal et parfois inconscient est de discréditer un propos adverse sans avoir à le prendre en considération. Je pourrais écrire vingt articles sur le sujet, sur vingt techniques ninja de la mauvaise foi caractérisée, surtout que je pratique sans doute pas moins qu’un autre ces techniques tellement habituelles. Mais ce serait un peu long, presque un livre, alors pour commencer je vous propose de parler de celle-ci: l’accusation d’extrémisme. Tout argument reposant sur l’«extrémisme» est logiquement infondé. Voilà, je me suis dit que j’allais pas vous faire poireauter jusqu’au douzième paragraphe mais plutôt vous livrer d’emblée la conclusion: accuser quelqu’un d’extrémisme ça ne vaut pas tripette, et ça en dit beaucoup plus sur l’accusateur que sur l’accusé. Extrême par rapport à quoi?

Guy Debord et Wolman - Mode d'emploi du Détournement (les lèvres nues) Tous les esprits un peu avertis de notre temps s'accordent sur cette évidence qu'il est devenu impossible à l'art de se soutenir comme activité supérieure, ou même comme activité de compensation à laquelle on puisse honorablement s'adonner. La cause de ce dépérissement est visiblement l'apparition de forces productives qui nécessitent d'autres rapports de production et une nouvelle pratique de la vie. Dans la phase de guerre civile où nous nous trouvons engagés, et en liaison étroite avec l'orientation que nous découvrirons pour certaines activités supérieures à venir, nous pouvons considérer que tous les moyens d'expression connus vont confluer dans un mouvement général de propagande qui doit embrasser tous les aspects, en perpétuelle interaction, de la réalité sociale. Sur les formes et la nature même d'une propagande éducative, plusieurs opinions s'affrontent, généralement inspirées par les diverses politiques réformistes actuellement en vogue.

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