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LES CAPETIENS - LES CROISADES 1- Quand Hugues Capet est élu roi en 987, la France est dominée par de puissants seigneurs qui se partagent le territoire. A partir de son règne, la France ne connait plus de véritables invasions. Mais comme le pays a été souvent divisé, et de vastes territoires avaient été distribués aux grands seigneurs en remerciement de leurs services, les possessions directes du roi se trouvent réduites à un petit domaine dans l'Ile-de-France -- en bleu sur la carte. 2- Le roi dispose d'un atout majeur qui lui donne de l'autorité sur les autres seigneurs qui, bien qu'ils soient ses vassaux, sont parfois plus puissants que lui. 3- Hugues Capet, que l'on voit assis sur son trône, tient dans sa main gauche la main de justice. 4- Cette main de justice en ivoire richement décorée a pu servir lors du sacre des rois capétiens. 5- Mais le pouvoir de Hugues Capet, dit "le roi au chapeau," est illusoire en dehors du domaine royal. 7- Le roi a le droit de frapper la monnaie. On to Part 2 Return to French Page

Prolongez l'aventure... avec cathares.org, voyage virtuel en Terres cathares charlesviiiroi.voila.net Romains 4 : Les Grandes Invasions Citation du romain Amiens MARCELUN : "Les Huns dépassent en férocité et en barbarie tout ce qu'on peut imaginer. lls labourent de cicatrices les joues de leurs enfants pour empêcher la barbe de pousser, lls ont le corps trapu, les membres robustes, la nuque épaisse; leurs carrures les rendent effrayants. On dirait des animaux bipèdes ou de ces figures mal dégrossies en forme de troncs qui bordent les parapets des ponts... Les Huns ne cuisent ni n'assaisonnent ce qu'ils mangent; ils ne se nourrissent que de racines sauvages ou de la chair crue du premier animal venu qu'ils réchauffent quelque temps, sur le dos de leur cheval, entre leurs cuisses.

LA BATAILLE DE FORMIGNY Marco Polo - Biographie voyage / Biography trip (1254-1324) En route vers la Terre sainte au Moyen Âge - Pèlerin d’Orient Bénédiction du bourdon et de la panetière du pèlerin Dans les premiers siècles des pèlerinages, quand le pèlerin voulait aller en Terre sainte, il devait obtenir le consentement de ses proches et la permission de son évêque ; on s’enquérait de sa vie et de ses mœurs, on examinait si un vain désir de voir les contrées éloignées ne l’entraînait pas vers les lieux saints. Cette enquête était plus rigoureuse lorsqu’il s’agissait d’un religieux ; on voulait éviter que le pèlerinage ne fût un prétexte pour rentrer dans la vie du monde. Le pèlerin recevait aussi la bénédiction ; une sorte de passeport adressé à tous les monastères, aux prêtres, aux fidèles, leur recommandait le pèlerin, qui devait partir sans retard, sous peine d’être traité de relaps et de parjure envers Dieu ; l’évêque seul qui avait lié pouvait délier dans des cas rares et d’une extrême gravité. Toutes les classes de la société fournissaient des pèlerins : princes, prélats, chevaliers, prêtres, nobles et vilains. M.

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