background preloader

Obgeographiques

Obgeographiques
Related:  Imaginaire géographique

MyGPSFiles Select a command to get help. Then, click apply to execute it. If one track is selected, the command will apply only to this track. Else the command will apply to all tracks. Duplicate the track. Revert the track points order. Create a new track by merging all tracks. Merge all track segments into one segment. Create a new track from each segment of the track. Reduce the number of track points. Reduce the number of track points to get a file with the requested size. Reduce the number of track points using the provided epsilon. Replace points elevations by the MapQuest elevation data. Replace points elevations by the Google Earth plugin elevation data. Add points to the track to get a more accurate elevation profile. Set the same elevation for all points. Increase or decrease the elevation of all points by the provided offset. Change the track start time (the first point time). Update points times to simulate the specified speed. Convert track into the selected format. Remove all time data

Monde géonumérique [BILLET] Concevoir une carte c’est rendre visible l’invisible – Carnet (neo)cartographique Comme la banane, la conception cartographique peut s’attaquer par les deux bouts. D’un côté, c’est une question qui déclenche le processus de fabrication de la carte. Pour y répondre, il faudra sélectionner une (ou plusieurs) information géographique, la traiter, l’analyser et in fine la représenter selon les règles de la sémiologie graphique. Ce processus heuristique, scientifique, à pour but de mettre en image des réalités objectives, de rendre explicite les données géographiques de la façon la plus neutre qui soit (cet objectif n’étant jamais complètement atteint). C’est la carte pour « faire vivre les statistiques » de Roger Brunet. De l’autre côté, c’est un savoir, une idée, une intention qui déclenche le processus de construction cartographique. Dans la pratique, ces deux cheminements intellectuels de construction cartographique ne sont pas des boites étanches.

Création artistique - Dédale Depuis plusieurs années, l’art sort de son périmètre classique d'intervention et fait de la ville un véritable terrain d'expérimentation dans toutes les disciplines (arts visuels, musiques, théâtre, danse, performance, design, architecture). Le développement exponentiel des technologies renforce ce phénomène et offre aux artistes de nouvelles possibilités d'intervention dans l'espace urbain : technologies mobiles et sans fil, systèmes de géolocalisation ou d'information géographique, technologies de l'image, systèmes d'interaction à distance... Au-delà de l'utilisation de ces technologies, de nouvelles pratiques artistiques urbaines émergent. Elles relèvent de démarches "contextuelles" et font intervenir les notions de mobilité, de communication, d'interaction avec l'environnement, de participation des habitants.

Géoesthétique – Livre » le peuple qui manque - a people is missing Géoesthétique est un livre manifeste constitué d’écrits de géographes, d’historiens et théoriciens de l’art, d’artistes et de commissaires d’exposition. L’ouvrage revient sur un tournant spatial dans l’art contemporain, autant, au sein des pratiques de l’art aujourd’hui qu’au sein du récit de l’art et de son histoire.Alors que la cartographie, en tant que discipline, a été profondément imbriquée dans la production des récits de la modernité, de la rationalité et du positivisme, mais aussi de l’histoire du colonialisme et des récits nationaux, elle est devenue aujourd’hui le lieu privilégié de l’invention de contre-pratiques et de contre-cartographies d’artistes. Edition : B42Une coproduction de l’Ecole Supérieure d’Art de Clermont Métropole, Parc Saint Léger-Centre d’art contemporain, École Nationale Supérieure d’Art de Dijon Traductions par Hélène Valance, Katarzyna Cohen, Marion Pacouil, Isabelle Montin, Marco-Antonio Quirós, Kantuta Quirós Parution : Mars 2014

Mondes sociaux – Améliorer l’esthétique des cartes thématiques CC +kk_ Aujourd’hui, la carte thématique (carte météorologique, carte démographique …) est une forme d’illustration que l’on rencontre régulièrement sur de multiples supports d’information, notamment destinés au grand public, comme la presse quotidienne, la télévision ou Internet. Or, on constate que, sur le plan visuel, ces cartes sont souvent non seulement plus « fouillées » et plus complexes que les produits proposés par la méthodologie classique des manuels de géographie, mais encore plus agréables, pour ne pas dire « plus esthétiques ». Ce constat a suscité l’exploration de disciplines connexes, certaines connues des cartographes, d’autres plus incongrues, qui s’intéressent à l’analyse et l’interprétation des images, pour y découvrir des méthodes et des outils utilisables par le géographe-cartographe. Le cycle de la perception visuelle (dessin de l’auteur d’après E. Après la perception visuelle de l’image d’une carte vient son interprétation, étudiée par la sémiotique. W.

Parcell'air SIG La Lettre fait de 2012 l’année de la convergence parcellaire. Dans son édito du numéro 133 de Janvier 2012, Françoise de Blomac nous dévoile un nouvel acronyme avec lequel il faudra se familiariser, la RPCU pour « représentation du parcellaire cadastral unique« . Outre le fait que 2012 sera plutôt une année de tests en tous genres, on apprend surtout (et l’acronyme est révélateur) qu’on s’oriente en fait vers un troisième produit, issu de la fusion (dans des proportions variables) des principales couches des deux produits vectoriels actuels : plan cadastral et BD-Parcellaire. On partirait donc du tronc commun, composé des 7 couches communes au PCI-Vecteur et à la BD-Parcellaire. Reste à savoir ce que deviendront les autres couches du PCI-vecteur (une douzaine, qui, pour certaines ont leur utilité dans les collectivités locales notamment (SUF, détail topo, axe de voies etc…). Comme l’écrit Françoise de Blomac dans son édito, …encore quelques articles en perspective !

VOIR TOUJOURS PLUS HAUT - LA TERRE VUE DU CIEL - Repères numériques La lévitation, c’est en premier lieu se libérer de la pesanteur et donc la possibilité de changer de point de vue en prenant de la hauteur. Le fait de prendre de la hauteur change complètement la vision que nous avons des choses : elles sont plus petites, elles sont diluées dans l’espace à perte de vue. C’est ce qui est déjà en jeu dans la cartographie. La carte est ce qui nous permet de visualiser un espace physique connu ou inconnu. Elle est une manière abstraite d’appréhender le monde et suppose que nous l’ayons déjà arpenté pour pouvoir le représenter. Elle est une vue de haut, une transposition aplanie de l’espace parcouru réellement. C’est aujourd’hui avec des images numériques que nous découvrons le territoire mais ces images ne sont que des reconstitutions, des fragments d’espace collés les uns à côté des autres. Les images prises de haut par des satellites sont présentées ici au mur, ce qui perturbe encore davantage notre compréhension de l’espace.

Maps - Stephen Walter Albion, 2016 Albion, 2016, 151.8 x 183.2cm, Archival inkjet print on Somerset Satin Paper. Edition of 25. Nova Utopia, 2013 Archival inkjet and screen print on paper, 133.5 x 171.5 cm. Rivers of London, 2014 Photogravure etching on paper 73.5 x 65 cm Edition of 50 London Subterranea, 2012 Archival inkjet and screen print, and gold acrylic on paper, 130 x 163 cm. Little Berlin, 2010 Graphite on paper, 33 x 40cm Map of Liverpool, 2008-09 Archival inkjet on paper 122 x 114 cm. Similands, 2006 Archival Injet Print, 100x82cm.

Échelle 1, feuilleton cartographique | Mapper.fr En 2013, j’ai participé à « Échelle 1 » avec Guillaume Monsaingeon, Thierry Kressmann et Marion Lacroix : Echelle 1 est un feuilleton cartographique en sept épisodes, d’avril à octobre 2013, qui s’est déroulé dans le cadre de Marseille Provence 2013, capitale européenne de la culture. (…) C’est l’histoire d’un lieu, d’un territoire, en nous racontant le territoire à travers les cartes : son histoire, son économie, son quotidien, ses faits-divers etc. (…) C’est aussi une histoire de cartes en révélant des cartes à travers ce territoire : des plans techniques, des cartes météos, des cartes artistiques , scolaires etc. Echelle 1, c’est exactement la rencontre entre un territoire et ses représentations cartographiques, reliant le territoire et les cartes, cartes de ce territoire mais aussi cartes du monde entier, voire du cosmos. Ma mission couvrait la collecte des cartes et la maquette générale de chaque épisode (harmonisation graphique, mise en page, retouches éventuelles…).

Media Nature : localisation et realite augmentee Le blog SIG Difficile pour moi de ne pas revenir sur la mise à disposition du cadastre en opendata, annoncée très largement et rappelée par le blog parcell’air il y a peu ( Même si la démarche parait aujourd’hui évidente, que de chemins et galères parcourus avant d’en arriver là ! Les discussions sur le GeoRezo relatent bien cette évolution : Merci à qui ? Avant même la tempête opendata, INSPIRE avait enclenché la démarche d’ouverture en considérant que le fond cadastral était une donnée de référence (annexe I). Mais rappelons nous, aussi, que ce fond en majorité vectoriel a été construit par les services du cadastre avec, fréquemment, le soutien financier des collectivités locales et des subventions des plateformes régionales d’information géographiques, comme celles mobilisées par le CRIGE PACA auprès de la Région. Chemins et galéres Attention Espérons que cette initiative va perdurer.

Related: