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Art - Barbara Kruger - Photograph Collage, Advertising, Slogans, Art

Art - Barbara Kruger - Photograph Collage, Advertising, Slogans, Art

Barbara Kruger Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Barbara Kruger Sans titre, 2006, Australian Center for Contemporary Art Biographie[modifier | modifier le code] Style et démarches artistiques[modifier | modifier le code] Influence de sa carrière professionnelle[modifier | modifier le code] Barbara Kruger exécute depuis 1981 des photomontages[2]. Elle mixe des photographies de sources existantes avec des textes concis et agressifs (slogan marquant) qui impliquent le spectateur sur des sujets de société de consommation. La violence des images et des propos prend pour cible la société de consommation ainsi que les minorités (ethniques et sexuelles), soumises à l’autorité et aux stéréotypes sociaux. Elle fait partie d’une catégorie d’artistes que l’on nomme « artistes politiques » dans le milieu des années 1980, marquées par l’industrie culturelle. Expositions[modifier | modifier le code] Elle fait sa première exposition personnelle à la Galerie Mary Boone de New-York en 1987[2].

selected work — k young collage & photography / © 2021 k young, all rights reserved / Barbara Kruger Ancienne graphiste de la revue new-yorkaise « Mademoiselle », Barbara Kruger détourne l’image publicitaire, qu’elle expose agrandie, et lui adjoint un slogan écrit en caractères d’imprimerie. Intimidantes par la violence des images et les propos explicitement dirigés vers le spectateur, ses images « politiques » prennent pour cadre la société de consommation ainsi que les minorités de toutes sortes (raciales et sexuelles) soumises à l’autorité blanche et masculine. Ses photomontages qui évoquent par le ton injonctif et le graphisme épuré quelque chose de l’Agit-Prop révolutionnaire, ou des montages photographiques anti-hitlériens de John Heartfield, peuvent être considérés comme autant de stéréotypes jouant un rôle prépondérant dans notre constitution de sujets sociaux et que le spectateur réceptionne selon ses dispositions. La femme – toujours – couchée dans son lit, d’un sommeil qui semble agité, en proie à une gigantesque main clairement féminine (la sienne ?) Emmanuel Grandjean

Galerie d'art à Paris | De Medicis Gallery Né en 1970 à Marseille, Renaud Delorme appartient à un collectif d’artistes français à la fois ambitieux et innovant. Il se pourrait que sa fibre artistique lui ait été transmise héréditairement, puisque son ancêtre maternel, Adolphe Monticelli, fut un précurseur de l’impressionnisme français. Après des études d’arts plastiques à la célèbre université Paris VIII Vincennes-Saint Denis, les premières expositions individuelles et collectives de Delorme s’ensuivent rapidement, à Paris, Anvers et San Francisco notamment. À l’heure actuelle, son œuvre très prometteuse est représentée dans de nombreuses collections internationales et lui a valu plusieurs prix. Ce qui à première vue semble être une illusion d’optique, s’avère être en fait, en y regardant de plus près, une mosaïque sophistiquée de formes et de couleurs. Renaud Delorme travaille à la croisée du Pop art, du recyclage et du graphisme numérique – une synthèse de styles des plus originales.

BARBARA KRUGER Artiste américaine dont le but est de bousculer les représentations véhiculées par les modèles culturels en vigueur en réalisant des compositions photographiques où texte et images sont mis en tension. Photographie You are the perfect crime, B. Kruger Barbara Kruger, You are the perfect crime (Tu es le crime parfait), 1984. Née le 26 juin 1945 à Newark dans le New Jersey, Barbara Kruger passe par l'université de Syracuse, dans l'État de New York, avant d'entrer, en 1966, à la Parsons School of Design de New York. À la fin des années 1970, Barbara Kruger a trouvé ce qui deviendra son style et sa marque. Les œuvres de Barbara Kruger figurent dans les collections permanentes de plusieurs grands musées américains, dont le Whitney Museum of American Art et le Museum of Modern Art de New York. Universalis Pour citer cet article Universalis, « KRUGER BARBARA (1945- ) », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 16 avril 2014. Bibliographie Barbara Kruger, catal. expos., textes d'A. C. B.

Stane Jagodič Biography[edit] Jagodič was born in Celje and spent his youth in various places near Šmarje pri Jelšah. In 1964, he finished the School of Design and graduated from the Academy of Fine Arts in Ljubljana in 1970.[2] In the early 1970s, he began working on photocollages, abstract painting, and different newly invented techniques, for example spraygrams and artistic use of X-rays.[3] He was a member of the Union of Slovene Fine Arts Associations and of the Association of Slovenian Designers, the Cartoonists & Writers Syndicate in New York and an external collaborator of the international journal Graphic Design, Seoul (South Korea). In 1989, his monograph was published. 1993 saw the issue of his catalogue Častilec svetlobe, srebra in rje ("The Worshipper of Light, Silver, and Rust"), and in 2004, his memoirs, entitled Orbis Artis: nemirno in kreativno ("Orbis Artis: Restless and Creative"), 1943–2004) were published,[4] which include more than 800 pages. References[edit] External links[edit]

Stane Jagodič Public_Sculpture James Hyde et la décomposition minutieuse des sculptures publiques « Lors d’une visite à Mexico, il y a dix ans, j’ai été intrigué par les sculptures publiques modernistes disséminées dans la ville. Bien que ces monuments aient été conçus pour être le centre d’intérêt de leur environnement immédiat, ils semblaient généralement mal aimés, voire ignorés. Ils incarnaient une certaine idéologie moderniste – la fonction positive de l’art dans la communauté et une inclusion qui se distinguait des monuments commémoratifs aux généraux et aux politiciens. Il me semblait que ces valeurs avaient été négligées tout comme les sculptures, et que ces dernières incarnaient cette tragédie », confie James Hyde. Ainsi est née Public Sculpture, une série à la croisée des arts, alliant photographie, peinture et collage, réel et abstraction, monotonie et couleurs. Déconstruire le chaos Contrastées par un accrochage minimaliste, les pièces de James Hyde happent le regard, l’attention. En contrepoint, c’est la raison d’être du médium photographique que James Hyde interroge.

LA BELLE EST VENUE - Emmanuelle Becker Version Française L'Inconscient est une source d’imagination féconde et désordonnée : fragments de souvenirs d’une mémoire déstructurée, des images oniriques difficilement saisissables, une palette d'émotions aussi nébuleuses qu’énigmatiques.Des images me viennent d’un monde enfoui. Elles remontent à la surface et me submergent d’émotion. Mais d’où sortent ces visions fugaces et indéfinissables, à la fois intrusives et séduisantes, craintes et recherchées ? Quels en sont les catalyseurs ? Un parfum ? The subconscious is an abundant, disorderly source of imagination, composed of traces of visual, olfactory, and auditory memories and their array of accompanying emotions.When fleeting visions and feelings surface from deep within our being, in a dizzying swell of sensory flashbacks, it is a surge of past-life experiences.These peculiar moments come as a surprise, a thrilling rush of uneasiness, which leaves us with a feeling of unreality and strangeness.

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