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La symbolisation, Bion, Winnicott, Roussillon

La symbolisation, Bion, Winnicott, Roussillon
Il est difficile de traiter d’un sujet aussi vaste que la symbolisation… C’est pourquoi je vais emprunter à plusieurs auteurs tout en proposant une sorte de "modèle" actuel. Remarque: Cet article appartient a une série d’article publiés sur le site Philautarchie aujourd’hui fermé. Ces articles n’étant plus disponible sur le net nous nous permettons de les présenter sur notre blog (voir à ce propos l’article de présentation sur Philautarchie dans cette même catégorie). Préambule : Avant tout chose, sachons qu’il est communément admis que la symbolisation procède par "Aufhebung", c’est-à-dire négation / conservation. A – Archéologie du Psychisme a – Les Traces Commençons par la matière première du psychisme, les traces psychiques, que Freud appel Traces Mnésiques. Sur cette surface, il y a les pictogrammes. A partir de cette surface première, où la symbolisation Primaire s’effectue. Une expérience bonne est intégrée, une expérience agonistique est clivée. b – L’Accordage B – La Symbolisation

Perversion narcissique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La perversion narcissique est une forme de perversion décrite initialement par Paul-Claude Racamier entre 1986 et 1992[1],[2],[3]. Ce n'est un critère diagnostic ni en psychiatrie ni en psychanalyse, même si l'appellation peut évoquer un trouble de la personnalité narcissique[4]. Les notions de perversion et de narcissisme étant des concepts de psychanalyse, c'est à ces théories que Paul-Claude Racamier réfère cette représentation qu'il décrit comme « une organisation durable caractérisée par la capacité à se mettre à l'abri des conflits internes, et en particulier du deuil, en se faisant valoir au détriment d'un objet manipulé comme un ustensile ou un faire-valoir »[5]. Définition historique de la notion[modifier | modifier le code] Utilisation et application[modifier | modifier le code] En psychiatrie[modifier | modifier le code] En psychiatrie, et donc en médecine en général, on n'utilise pas cette notion. La position de Claude Nachin :

Trouble de la personnalité paranoïaque Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trouble de la personnalité paranoïaque est un trouble mental caractérisé par une paranoïa et une méfiance envahissante à long-terme des autres. Les individus souffrant de ce trouble de la personnalité peuvent être hypersensibles. La tendance actuelle est de considérer qu'il existe un continuum allant de la normalité aux formes graves de paranoïa en passant par la personnalité paranoïaque. Épidémiologie[modifier | modifier le code] Deux fois plus fréquent chez l'homme que chez la femme, ce trouble est toutefois peu diagnostiqué, puisqu'une grande partie des souffrants ne songe aucunement à consulter. Diagnostic[modifier | modifier le code] DSM-IV[modifier | modifier le code] La personnalité paranoïaque implique la présence d'au moins quatre des sept symptômes suivants : Ces comportements ne doivent pas avoir lieu dans le cadre : Caractéristiques psychopathologiques[modifier | modifier le code] Personnalité sensitive[modifier | modifier le code]

Trouble de la personnalité schizoïde Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trouble de la personnalité schizoïde est un trouble de la personnalité caractérisé par un manque d'intérêt pour les relations sociales. L'individu éprouve des difficultés à nouer des liens sociaux ; ses loisirs, son activité professionnelle, sont solitaires et indépendants. Il n'est en apparence pas touché par les marques de sympathie ou d'affection et n'exprime pas ses émotions, d'où une image de froideur, d'apathie. La prévalence de ce trouble varie selon les études, de 1 %[1] à 5 %. Histoire[modifier | modifier le code] Le terme de "schizoïde" fut inventé en 1908 par Eugen Bleuler pour désigner une tendance naturelle d’une personne à s’attacher à la vie intérieure en dehors du monde extérieur. La description psychiatrique traditionnelle démarra avec le portrait des comportements schizoïdes observables qu’Ernst Kretschmer élabora en plusieurs groupes : Diagnostic[modifier | modifier le code] DSM-IV TR[modifier | modifier le code]

Personnalité antisociale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La personnalité antisociale est un trouble de la personnalité caractérisé par une tendance générale à l'indifférence vis-à-vis des normes sociales, des émotions et droits d'autrui ainsi que par un comportement impulsif. Le terme de trouble de la personnalité antisociale est utilisé par le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR)[1], publié par l'Association américaine de psychiatrie (AAP) tandis que la Classification internationale des maladies (CIM-10), publiée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), parle de trouble de la personnalité dyssociale[2]. La psychopathie et la sociopathie sont considérées comme deux manifestations différentes du trouble de la personnalité antisociale [réf. nécessaire]. Selon Robert Hare, la différence entre psychopathie et sociopathie peut s'expliquer par l'origine du trouble[3]. Description[modifier | modifier le code] Diagnostic[modifier | modifier le code]

Trouble de la personnalité borderline Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Trouble de la personnalité borderline Classification et ressources externes Le trouble de la personnalité limite (TPL) ou trouble de la personnalité borderline[1] (TPB) est un trouble de la personnalité caractérisé par une impulsivité majeure et une instabilité marquée des émotions, des relations interpersonnelles et de l'image de soi [2]. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR) définit deux comportements principaux liés au trouble de la personnalité borderline : un comportement impulsif, et une instabilité émotionnelle ainsi que dans les relations sociales et sur l'image de soi, spécifiant neuf critères pour démontrer la présence de ces comportements[3]. Émotions[modifier | modifier le code] Les individus souffrant de TPB ressentent les émotions plus sensiblement, plus profondément et plus longtemps que la normale[5]. Comportement[modifier | modifier le code]

Trouble de la personnalité histrionique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trouble de la personnalité histrionique (TPH ; anciennement hystérique) est défini par l'Association américaine de psychiatrie (AAP) comme un trouble de la personnalité caractérisé par un niveau émotionnel et de besoin d'attention exagéré. Le patient est en quête d'attention de la part d'autrui, essaie de se mettre en valeur, de séduire, ou simplement d'attirer le regard ou la compassion. La séduction devient un besoin pour la personne qui vit avec ce trouble affectif. Le besoin de plaire devient excessif. Critères[modifier | modifier le code] DSM-IV[modifier | modifier le code] Selon le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux de l'Association américaine de psychiatrie (AAP), le trouble de la personnalité histrionique est un mode généralisé de réponse émotionnelle excessive en quête d'attention, représenté par au moins cinq des neuf manifestations suivantes : CIM-10[modifier | modifier le code]

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