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Le risque de l’idéologie du groupe

Le risque de l’idéologie du groupe
La lecture de la semaine, il s’agit d’un article du New York Times transmis par une aimable correspondante. Il s’intitule : « La domination de la nouvelle idéologie du groupe », et on le doit à Susan Cain, auteure d’un ouvrage sur la question intitulé Quiet : The Power of Introverts in a World That Can’t Stop Talking (Silence : le pouvoir des introvertis dans un monde qui n’arrête pas de parler). La solitude n’est plus à la mode, commence Susan Cain. Nos entreprises, nos écoles, notre culture sont esclaves d’une nouvelle idéologie qui postule que la créativité et l’efficacité naissent dans des lieux étrangement grégaires. La plupart d’entre nous travaillent en équipes, dans des open spaces, pour des chefs qui valorisent au-dessus de tout l’intelligence collective. Mais il y a un problème dans cette manière de voir, considère Susan Cain. Culturellement, explique Susan Cain, nous sommes à ce point fasciné par le charisme que nous ignorons la partie silencieuse du processus créatif.

Une étude de KPMG Les réseaux sociaux, un outil de motivation et de productivité jeudi 19 janvier 2012 Près de 75% des employés interrogés s’attendent à pouvoir accéder aux réseaux sociaux lorsque leur entreprise les utilise à des fins marketing. En conséquence, bloquer l’accès à ces applications risque de créer une frustration au sein des employés. L’accès aux réseaux sociaux a également des conséquences positives sur la motivation du salarié et son engagement au sein de l’entreprise : le niveau de satisfaction au travail des employés interrogés est plus élevé dans les entreprises qui autorisent l’accès aux réseaux sociaux (63 %), qu’au sein des entreprises qui en restreignent l’accès (41 % de taux de satisfaction). Avec une formation adaptée, les employés peuvent devenir des porte-parole efficaces pour l’entreprise et contribuer à son développement commercial ainsi qu’à la valorisation de l’image de marque. Les marchés émergents plus dynamiques que les pays développés 70 % des entreprises dans le monde sont présentes sur les réseaux sociaux.

Et si le travail en groupe tuait la créativité? Première salve tirée par Susan Cain, auteure d'un ouvrage intitulé « Quiet : The Power of introverts in a World That Can't Stop Talking » (Silence : le pouvoir des introvertis dans un monde qui n'arrête pas de parler). Elle y dénonce la culture de l'hypermodernité dans laquelle tout échange valable se base sur les réunions, sur un espace de travail partagé en commun et sur les réseaux intranet. La vogue de l'intelligence collective postule la grégarité comme moteur de la créativité et de l'efficacité. Vive le collaboratif face auquel tout solitaire devient suspect. Trouver une idée, un travail individuel Les travaux des psychologues Mihaly Csikszentmihalyi et Gregory Feist ont ainsi montré que les plus créatifs sont souvent introvertis parce qu'ils seraient plus à l'aise dans le travail solitaire et mieux concentré sur la tâche. Se méfier de l'idée fixe collective L'expression de soi

Benevolent Dictator for Life Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Benevolent Dictator for Life (BDFL) est le surnom donné à une personne respectée de la communauté de développement open source qui définit des orientations générales d'un projet donné. Il signifie littéralement Bienveillant dictateur à vie. Ce nom est un jeu de mots entre dictateur bienveillant et président à vie. Le BDFL est la personne qui détient effectivement des pouvoirs similaires à ceux d'un dictateur sur ce projet. Cependant, les autres développeurs et utilisateurs lui font confiance pour qu'il n'abuse pas de ses pouvoirs. Par extension, cette dénomination a également été donnée à certains fondateurs de tiers-lieux, lieux où la culture libre et l'absence de hiérarchie est mise en avant. Antoine Burret [1], auteur de "Tiers-lieux et plus si affinités" [2] insiste sur la différence avec un "chef", ou supérieur : "Il y a une différence importante, c’est qu’il n’y a pas de lien hiérarchique. Lien externe[modifier | modifier le code]

Comment peut-on prédire le comportement des internautes 68inShare Oui vous avez bien lu, je parle bien de prédiction. Non, je ne suis pas Mme Soleil, encore moins magicien ou mentaliste et je n’ai pas de delorean volante pour voyager dans le temps. Je souhaite simplement m’intéresser de plus près au lien entre un état psychologique et un comportement visible. Beaucoup d’entreprises souhaitent connaitre les techniques secrètes des « Experts » en médias sociaux pour savoir comment ces plateformes peuvent booster la vente de leurs produits. Inutile de se mentir, derrière chaque action web se cache l’objectif de la vente, la rentabilité et du profit. Comme souvent, on s’attarde sur ce qui brille et pas sur ce qui fait que ça brille. Si pour certains, se plonger dans les parties les moins reluisantes du web 2.0 est une perte de temps, je pense que vous pouvez en soutirer des informations pour mieux comprendre comment, où et quand agir. En route… Des mots usuels pour des concepts complexes Un lien si proche…et si loin… Des facteurs incontrôlables

Carrière. La revanche des timides Le parcours de célèbres introvertis comme Gandhi, Einstein, Mère Teresa ou Bill Gates est d’autant plus exceptionnel qu’il est beaucoup plus difficile pour une personne timide de s’imposer dans son domaine et de devenir un leader charismatique. De par ce trait de caractère, ses qualités sont en effet souvent jugées négativement dans notre société. C’est la thèse de l’auteure Susan Cain, ancienne avocate diplômée de Harvard, qui a révélé les souffrances des introvertis dans son livre Quiet: the Power of Introverts in a World that Can’t Stop Talking (Le pouvoir des introvertis dans un monde qui n’arrête pas de parler). Publié en janvier dernier, l’ouvrage a fait l’objet de nombreux articles dans les grands médias américains et déclenché un immense buzz sur l’internet: les timides sont des milliers à exprimer leur soulagement de ne pas être seuls et d’avoir enfin une explication à leur sentiment d’inadéquation à la société, voire de honte. Sous influence. Contradicteurs. Shy’m, chanteuse

High-Tech : Paris, capitale connectée Des milliers de start-up s'épanouissent dans la capitale où Google inaugure mardi un vaste complexe, tandis que s'ouvre mercredi la rencontre mondiale le Web11. «Il règne à Paris la même ambiance qu'à la Silicon Valley des débuts : c'est l'effervescence», se réjouit Brad Feld, l'un des investisseurs majeurs du numérique aux États-Unis. Mardi, Google inaugure son Googleplex, en présence de Nicolas Sarkozy. Installé rue de Londres dans le IXe, cet immense complexe de 10.000 m², unique en Europe, abrite un centre culturel, un laboratoire de recherche et développement et l'ensemble des services commerciaux. Tout le monde digital sera là. Ostensiblement branchée cette semaine, Paris l'est en réalité toute l'année. Derrière les pionniers, Dailymotion, Free, vente-privee.com, leboncoin.fr… la jeune génération a pris la relève. Une aventure collective La Cantine, dans le Sentier.Crédits photo : JEAN BAPTISTE FAUQUET/LE FIGARO «L'esprit entrepreneur»

Extraversion et introversion : base biologique et pression sociale « C + clair Les termes "extraversion" et "introversion" (et les adjectifs correspondants, "extraverti" et "introverti") sont passés dans le langage courant depuis que Carl Gustav Jung les a utilisés dans son ouvrage Les types psychologiques, paru en 1921. Il les y définissait comme deux attitudes, ou orientations de l’énergie, opposées. Ces deux façons d’être au monde sont inégalement réparties dans la population, du moins en Occident, puisqu’entre deux tiers et trois quarts des individus y sont extravertis, les autres étant introvertis. Il ne s’agit pas d’un choix délibéré, puisqu’il semble y avoir une base neurobiologique à l’existence d’une préférence pour l’une ou l’autre de ces deux attitudes. Et pourtant, la société occidentale regarde d’un oeil plus favorable l’extraversion, même si les apports de l’introversion sont indéniables, y compris dans des domaines inattendus comme le leadership. Définitions Une base neurobiologique ? Quand la pression sociale nous demande d’être extravertis.

Recherche personnalisée : une «mauvaise chose»? Les internautes sont méfiants. Les moteurs de recherche peuvent expliquer, en long en large et en travers, qu’une requête personnalisée donne des résultats plus précis, 2/3 des utilisateurs ne veulent rien savoir. Selon une étude de Pew Interest, 65% des internautes considèrent les recherches personnalisées comme étant mauvaises. Concernant la collecte des données, 73% y voient une violation de la vie privée. Plutôt qu’un questionnaire à base de Oui & Non, les sondés ont pu s’exprimer plus globalement. Certes les avis sont partagés. En personnalisant les résultats, les internautes répondent qu’un moteur de recherche peut ainsi limiter l’information obtenue. Comme toujours, la question des données privées fait mouche. Sans soutenir un point de vue en particulier, on remarque ici 2 choses. Finalement, le respect des données privées est toujours un sujet sensible.

La revanche des timides Les introvertis font-ils l’objet de discrimination dans notre société qui valorise la sociabilité? Le débat rebondit avec la publication d’un livre choc. Analyse et témoignages. Le parcours de célèbres introvertis comme Gandhi, Einstein, Mère Teresa ou Bill Gates est d’autant plus exceptionnel qu’il est beaucoup plus difficile pour une personne timide de s’imposer dans son domaine et de devenir un leader charismatique. De par ce trait de caractère, ses qualités sont en effet souvent jugées négativement dans notre société. C’est la thèse de l’auteure Susan Cain, ancienne avocate diplômée de Harvard, qui a révélé les souffrances des introvertis dans son livre Quiet: the Power of Introverts in a World that Can’t Stop Talking (Le pouvoir des introvertis dans un monde qui n’arrête pas de parler). Bien documenté et se référant à quantité de recherches en psychologie, The Power of Introverts estime qu’entre 30 et 50% de la population est touchée par l’introversion.

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