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J'aime pas mettre des notes

J'aime pas mettre des notes
Je corrige des copies de Terminales et évidemment, je cherche tous les prétextes pour faire une pause. C'est pas que je n'aime pas corriger des copies mais... en fait si, je n'aime pas du tout corriger des copies quand je sais que 1) je mets des notes qui ne vont pas faire plaisir 2) dont je reste persuadée que données à 10 autres collègues j'aurais eu 10 notes différentes, donc ça veut rien dire et 3) j'ai beau soigner mes commentaires, j'ai la nette impression que ça ne va pas servir à grand chose. Alors je regarde mes tweets, je papote, je raconte mes perles, tout ça. Et je décide de vous raconter comment je note. D'abord avant de corriger je bâtis ma grille de critères. En fait pour mes secondes normalement elle est sur le devoir. Ne rêvez pas : cette grille n'est pas un barême. Alors comment je fais quand j'ai des questions ?

La Classe sans notes … du côté des parents Comment noter ? Les notes rythment la vie des élèves. Elles permettent le classement et la sélection mais finalement, mesurent-elles vraiment des acquis, dans le cadre de l'apprentissage scolaire ? Rien n'est moins sûr. Les notes peuvent décider de toute une carrière. Le pouvoir des notes est tel que les enseignants eux-mêmes peuvent en faire les frais. La note est donc un objet dangereux. Cette semaine, Thot Cursus explore les mécanismes de notation et les dispositifs d'évauation qui tendent vers l'équité plus que vers la sélection. Photo : albertogp123, Flickr, cc Enseignants, vos élèves ne réussissent pas ? 26 février 2012 Évaluer des élèves est déjà une tâche difficile. Se désintoxiquer de la note Dans la majorité des ststèmes scolaires, les notes constituent les principaux indicateurs du niveau atteint par les élèves. Noter les productions numériques des étudiants : oui, mais comment ? 28 février 2012 Noter la formation professionnelle Admission à l'université : quand les notes ne suffisent pas

Classes sans notes : une expérience concluante La Classe sans notes. Une expérience au Collège d’Uzès Paul ROBERT L’idée de classes sans notes a germé au Collège Lou Redounet en 2009-2010, dans le cadre des discussions autour de la mise en place du Socle Commun, en Conseil Pédagogique et à la suite d’une conférence donnée au collège par M. Après consultation de l’ensemble des professeurs, il s’est avéré qu’il n’était pas réaliste de lancer l’expérience sur tout un niveau 6ème comme cela avait été initialement envisagé. L’outil choisi pour l’évaluation des compétences a été le logiciel « SACocs » qui permet aux professeurs de constituer très souplement leur référentiel en se basant sur le "Socle commun de Connaissances et Compétences" (S3C) mais aussi sur les programmes du niveau. Les principaux points qui ressortent des différents bilans − L’Impact sur les élèves : − Du côté des parents : − Du côté des professeurs : − Du point de vue de l’établissement : Conclusion Paul ROBERT, Principal du Collège Lou Redounet d’Uzès. Dominique Beck. .

Les notes, un débat durable – présentation du dossier #sansnotes Faut-il supprimer les notes à l’école ? Et par extension au collège et au lycée ? La question est posée par de nombreux acteurs du système éducatif, et agite régulièrement la sphère médiatique. C’est d’ailleurs un sondage, organisé par le SE-Unsa auprès d’enseignants de tous niveaux, qui a lancé la polémique scolaire de la rentrée. Serpent de mer diront certains, le débat existait déjà en 1968. Mais les détours de l’histoire sont étonnants, comme nous l’apprend Claude Lelièvre, et si l’arrivée d’un gouvernement de gauche constitue assurément une occurrence favorable pour changer l’évaluation des élèves, les partisans du débat sont loin de se partager sur une ligne politique classique opposant la droite et la gauche. Dans notre sondage, à la question posée sur le rôle des notes dans les évaluations scolaires, il apparaît donc que près de 40% des collègues ayant répondu se disent près à leur abandon, et où seuls 31% s’y opposent. Présentation du dossier Like this: J'aime chargement…

Claude Vidon (proviseur du lycée Corbon à Paris) : "Abandonner les notes, ce n’est pas perdre du pouvoir" Propos recueillis par Emmanuel Vaillant | Publié le , mis à jour le Qu’est-ce qui vous a amené à lancer une expérimentation d’un premier semestre sans note ? La note fait rentrer dans un système de compétition où nos élèves sont déjà stigmatisés. Nous sommes partis d’un constat : nombre d’élèves de seconde arrivent au lycée en étant cassés, en souffrance. A tel point qu’ils ne nous entendent plus, ne nous écoutent plus et ne s’écoutent plus. En quoi le fait de supprimer les notes favoriserait le rapport à l’école ? Si on enlève la note, il reste l’essentiel : la réponse à la question "qu’est-ce que je suis venu faire pendant une heure dans une classe" ? Concrètement, comment ce projet est-il mis en œuvre ? Dans le cadre du lycée professionnel, c’est assez simple car les enseignants sont déjà guidés par des référentiels de compétences. Ce projet a-t-il été facilement accepté par les enseignants ? Comme toute innovation, c’est un projet qui a été mûri au fil des années. A lire

Plus de notes : l’affaire de tous Quelles qu’en soient les justifications pédagogiques, la suppression des notes n’a guère de sens si ce n’est que le choix d’un enseignant. Ce collège en a fait une affaire collective, et cet article écrit à plusieurs voix en témoigne. En deux années scolaires, notre collège a connu une profonde métamorphose, du point de vue de la relation entre professeurs et élèves comme du point de vue des pratiques pédagogiques. En 2010, dans le cadre de la construction de notre projet d’établissement, nous faisions un double constat : nos élèves de 6e décrochaient très vite et un tiers des élèves du collège parvenu au lycée général redoublaient leur classe de 2de. C’est grâce à de nombreuses concertations et de la formation que nous avons vu nos pratiques changer. Tout cela n’est pas allé sans débat entre nous. Nous avons suivi des formations d’établissement, et mis en place des « professeurs ressources » ainsi que des groupes de réflexion. Ce projet ne pouvait pas se réaliser sans les parents.

L'évaluation pour apprendre, apprendre à évaluer - Les classes sans note Une tendance qui s'affirme La tendance des "classes sans note" apparaît de manière explicite dans la base nationale d'Expérithèque (actions déclarées et suivies par les CARDIE en académie) : les actions ou dispositifs centrés sur les modes d'évaluation des élèves (approche compétences ou encore "classes sans notes") se répartissent également entre innovation et article 34. L'inscription administrative n'est donc pas signifiante en elle-même ; elle est facteur souvent du contexte local et de l'autorisation que les acteurs se donnent à changer des routines que formellement rien n'impose, si ce n'est la conformité à des évaluations de sortie de cycle (ex. DNB ou Bac). La plupart s'inscrit dans le collège, en concernant une classe d'âge d'élèves finalement élevés à l'ère du Socle commun entré en vigueur dans le premier degré depuis plus de cinq ans. Une pratique collective et plus réflexive de l'évaluation Quelques exemples

2nde Nouveau programme 2009 Vous pouvez télécharger les fichiers de cours (niveau seconde) au format WORD en cliquant sur les icônes ou au format WORD pour MAC en cliquant sur les icônes En cas de problème de lecture, vous pouvez voir et enregistrer les fichiers au format pdf, en cliquant sur les icônes Dans les leçons, les exercices conseillés font référence au manuel de classe : Odyssée 2nde, HATIER 2010 Fonctions Géométrie Statistiques et probabilités Télécharger des outils Tice pour la classe Voir les programmes officiels et les documents ressources Voir les activités et exercices niveau 2nde

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