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Héraldique : code de construction des armoiries

Héraldique : code de construction des armoiries
Règle fondamentale Une des règles primordiales de l'héraldique veut que l'on ne superpose jamais métal sur métal, ni couleur sur couleur. On ne verra donc jamais dans un blason un lion d'or sur champ d'argent ou une aigle d'azur sur champ de gueules. Cependant toute règle a ses exceptions et certaines armes contreviennent à la règle de superposition des couleurs. On les appelle armes à enquerre car leur propriétaire se devait de justifier l'origine et le sens de cette anomalie. Les armes à enquerre les plus connues sont celles de Godefroy de Bouillon, roi de Jérusalem. Disposition des armes Aux origines de l'héraldique, il était de coutume de ne pas afficher plus d'un écusson sur un écu. Langage des figures Les figures sont souvent des représentations conventionnelles d'objets familiers qui dépeignent l'histoire ou le caractère d'un individu ou d'une famille. De toutes les charges, c'est d'ailleurs le lion qui revient le plus sur les armoiries. Les attributs des meubles Vincent Delolme Related:  Héraldique

Héraldique Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Blasons [modifier] L’Héraldique est la science du blason, c'est-à-dire l'étude des armoiries (ou armes). L'héraldique s'est développée au Moyen Âge dans toute l'Europe comme un système cohérent d'identification non seulement des personnes, mais aussi en partie des lignées (le blason pouvant être transmis par héritage en traduisant le degré de parenté) et des collectivités humaines, ce qui en fait un système emblématique unique en un temps où la reconnaissance et l'identification passaient rarement par l'écrit. Apparue au XIIe siècle au sein des membres de l'aristocratie, elle s'est rapidement diffusée dans l'ensemble de la société occidentale : femmes, clercs, paysans, bourgeois, communautés... En savoir plus... Sélection d'articles Aucun Lumière sur... La présence de saint Georges, patron de la Géorgie, dont il est originaire, est attestée dans les armoiries du pays depuis 1709. Lire la suite Blason du jour Le saviez-vous ? Catégories

Aisling-1198, les blasons des seigneurs normands, XIIe s. | Aisling-1198 Pages Navigation Menu Imprimer Les blasons des seigneurs anglo-normands Dernière mise à jour: jeudi 29 janvier 2015 Sceau équestre Henri II, tracé Ysaurianne, Aisling-1198 contresceau royal équestre de Richard Coeur de Lion, 1189, Ysaurianne, encre sur parchemin, Aisling-1198 recherche plan du site @aisling-1198 Mentions légales Powered by WordPress | Rethink by InkThemes. AddToAny La lecture des blasons Comme nous l'avons déjà vu, la partie dextre (droite) de l'écu est la partie qui se trouve à gauche lorsqu'on regarde celui-ci de face du point de vue du spectateur. L'explication est que l'écu représente son porteur, par conséquent il est dans le bon sens pour celui-ci. Dans le même ordre d'idée, lorsque des ombres portées sont dessinées avec les charges, celles-ci apparaissent en bas à droite de l’élément car le soleil (la lumière) doit venir du coin supérieur gauche de l'écu lorsque celui-ci nous est présenté de face. En revanche lors de l’énumération, donc du blasonnement, on lira le blason vu de face, de gauche à droite et le plus souvent de haut en bas, mais toujours en suivant les règles de découpage de l'écu. Il existe effectivement un sens de lecture particulier lorsqu’il s’agit d’un découpage de partitions ou de répartitions. Les numéros ci-dessous correspondent aux partitions d’un écu écartelé. Exemple : « écartelé, au 1 de ... ; au 2 de .... ; au 3 de ... ; au 4 de ... ». 4.

Archives de la presse Détails Mis à jour le samedi 16 avril 2016 Synthèse des archives disponibles sur le Net des principaux journaux nationaux et régionaux. Ainsi qu'une sélection de bases de données d'articles de presse. Liste des archives des principaux journaux nationaux. Liste des archives des journaux de la presse économique. Liste des archives des journaux locaux et régionnaux. Il existe des bases de données d'articles de presse qui permettent d'interroger les archives de plusieurs journaux et magazines en même temps. DELPHES Base de données spécialisée dans la presse économique et sectorielle française qui interroge près de 350 revues du domaine et vous propose également des résumés des articles les plus pertinents. EUROPRESSE Effectuez une recherche dans plus de 2000 titres de presse, journaux et magazines confondus. FACTIVA Vous permet d'effectuer une recherche sur des titres de presse internationaux spécialisés dans l'économie. PRESSREADER Interroge 305 journaux et magazines français.

Blasons et armoiries Héraldique | SFHS L’héraldique est la science qui a pour objet l’étude des armoiries. Celles-ci peuvent se définir comme des emblèmes en couleur, propres à un individu, à une famille ou à une collectivité et soumis dans leur composition à des règles spéciales qui sont celles du blason. C’est l’existence de ces règles, au reste peu nombreuses et dont la principale concerne l’emploi des couleurs, qui différencie le système héraldique européen de tous les autres systèmes d’emblèmes. Tapisserie de la reine Mathilde (vers 1066-1082).Bayeux, Musée de la tapisserie L’apparition des armoiries en Occident vers le milieu du XIIe siècle est liée à l’évolution de l’équipement militaire : les transformations du casque et du haubert rendant le chevalier méconnaissable à la bataille et au tournoi, celui-ci prend peu à peu l’habitude de faire peindre sur la grande surface de son bouclier des figures (animales, végétales, géométriques) servant à le faire reconnaître au cœur de la mêlée. [spacer size= »25″]

Liste des reines et impératrices de France Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En France, la succession au trône de France est interdite aux femmes depuis les Valois, au XIIIe siècle avec la mise en avant d'une réinterprétation de l'ancienne loi salique : les reines ou impératrices depuis cette époque n'assurent le pouvoir qu'au titre de leurs enfants mineurs, ou lors de l'empêchement de leur mari. Histoire du titre[modifier | modifier le code] Évolution de la titulature[modifier | modifier le code] Le titre porté par l'épouse du monarque a changé au cours de l'histoire. Jusqu'en 1180, elle portait le titre de reine des Francs. Au total, on dénombre 93 reines et 3 impératrices de 465 à 1871. Le cas de la régence[modifier | modifier le code] Liste des reines et impératrices de France[modifier | modifier le code] Mérovingiens[modifier | modifier le code] Carolingiens[modifier | modifier le code] Capétiens[modifier | modifier le code] Capétiens directs (branche aînée)[modifier | modifier le code]

untitled Cabinet des titres et Armorial général de France Des ressources généalogiques indispensables pour toute recherche nobiliaire. Le Cabinet des titres et l’Armorial général de France (dit Armorial d'Hozier) sont formés des archives des juges d’armes du roi, chargés de la vérification des armoiries et des preuves de noblesse. Cinq membres de la famille d’Hozier ont été titulaires de cette charge de 1641 à la Révolution. Ces archives conservées au département des Manuscrits (site Richelieu) constituent une source unique et indispensable pour toute recherche généalogique sur une famille française noble. Le Cabinet des titres est composé de 6800 volumes de pièces manuscrites. Il s’agit en quelque sorte d’un dépôt central des documents relatifs à la noblesse de France, rassemblés au cours du XVIIe siècle, mais plus anciens pour certains d’entre eux. Les volumes portant les cotes "Français 26485 à 31773" regroupent six séries de documents généalogiques classés par ordre alphabétique des noms de famille : Textes et blasons sont complémentaires.

Un bras armé et cuirassé... - L'armoire aux armoiries ... pour un petit village si paisible ! Le Poët, sis dans la basse vallée de la Durance possède un blason particulièrement guerrier qui tranche nettement avec son charme et sa tranquilité... Comme bien de lieux de Haute-Provence ou du Dauphiné existant de longue date, Podietum, Poyetum, Pogetum, Poetum, Poyet, Pouet et enfin Le Poët a appartenu à des familles qui ont acheté, transmis ou pris de vive force terres et villages. C'est évidemment le cas de notre petit village, qui appartient, de manière avérée, entre 1662 et la Révolution, à la famille d'Amat, marquis de Vaux et du Poët, seigneur de Graveson, comme le narre le Docteur Verrier dans sa "monographie de la commune du Poët", sur le site de la commune. "de gueules au dextrochère issant d'une nuée, les deux d'argent, armé d'une épée du même gardée d'or" On note que celui apposé sur le bâtiment de la Mairie et de la Poste

charlesviiiroi.voila.net

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