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Arbradoc

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Awful Library Books Tous les romans utilisent les six mêmes intrigues « Il n’y a pas de raison qu’on ne puisse pas entrer la structure d’une histoire dans un ordinateur », disait l’écrivain Kurt Vonnegut, qui avait magistralement démontré cette idée sur un tableau noir. Kurt Vonnegut parle de la structure des histoires Inspiré par Vonnegut, un professeur américain a analysé des milliers de romans pour voir s’il pouvait y trouver un nombre fini d’intrigues romanesques. « La réponse est oui, et il y en a six », déclare-t-il au site américain Motherboard. Les humanités numériques à la rescousse Matthew Jockers, professeur de littérature à l’université du Nebraska, est un fervent partisan des humanités numériques. Matthew Jockers explique le « data-mining » appliqué au texte (en anglais) Comparer mathématiquement les histoires Dans ses dernières recherches, Jockers a voulu « comparer, de façon mathématique et informatique, les structures et formes des histoires ». Il a travaillé sur un corpus de 3 500 livres.

Des fleurs pour le papa d'Algernon Daniel Keyes, nous apprend le Guardian, est passé de vie à trépas le 15 juin dernier à l'âge de quatre-vingt-six ans. Il était l'auteur du célèbre roman Des fleurs pour Algernon. Éditions J'ai Lu n°427, 1978Illustration de Tibor Csernus Voici, pour les rares personnes qui ne connaîtraient pas ce chef-d'oeuvre, le résumé de l'intrigue tel qu'il fut rédigé au dos de l'édition française publiée par J'ai Lu : « Algernon est une souris de laboratoire dont le traitement du Pr Nemur et du Dr Strauss vient de décupler l'intelligence. Des fleurs pour Algernon était au départ une nouvelle, qui parut dans le Magazine of Fantasy and Science Fiction d'avril 1959 : The Magazine of Fantasy and Science Fiction, avril 1959 Si l'illustration de couverture est consacrée à ce texte, le nom de son auteur ne figure pas dans la liste de ceux cités : Frederik Pohl, Aldous Huxley, Poul Anderson, Anton Chekhov, Isaac Asimov et Gordon R. L'affiche du film, 1968 Illustration d'Étienne Delessert Édition estonienne, 1967

Penser est un sport de combat Numéro coordonné par Evelyne Pieiller Lire le compte rendu de ce numéro, paru dans Le Monde diplomatique d’octobre 2014. « Loin de l’impuissance mélancolique »Evelyne Pieiller I. Avec l’aide de l’histoire « On ne sait jamais de quoi hier sera fait » — cette maxime cynique attribuée à l’ère stalinienne a une valeur générale. L’histoire est écrite par les vainqueurs Howard Zinn Pourquoi le tiers-monde a disparu Immanuel Wallerstein Miroir fêlé où Europe et monde arabe se regardent Maxime Rodinson L’Asie existe-t-elle ? Les braises de la mémoire Eduardo Galeano Mai 68 et ses vies ultérieures Kristin Ross Une enquête rationnelle Eric Hobsbawm Nul n’est hors de son temps, pas même Camus Edward W. II. En toute logique, la grande crise du néolibéralisme aurait dû susciter un élan vers la gauche. L’indigence de la gauche européenne Slavoj Zizek Le dernier tabou, la démocratie José Saramago Quand Dieu n’a plus de concurrent Jacques Bouveresse Au nom de quoi refuser la loi en place ? III. Iconographie Revues

Bibliothèque numérique mondiale Project Gutenberg - free ebooks Hybridation entre bibliothèque-3ème-lieu et opac-réseau-social (Gunpei Yokoi, sors de ce corps!) Je ne le fais pas souvent sur jvbib, mais voici un billet moins jeux vidéo et plus bibliothèque (que je vais quand même parsemer de quelques références videoludiques, n’ayez crainte amis gamers vous pouvez rester ;-) ), dans lequel je vais proposer une petite partie de réponse à la question que je posais il y a quelque temps : qu’attendons-nous aujourd’hui d’un site de bibliothèque? J’ai conclu le billet précédent sur l’heure du conte interactif en parlant de l’animation jeu vidéo comme d’un outil pouvant faire se rencontrer vos usagers, un outil de sociabilité. Ça me fait une transition avec aujourd’hui car nous allons continuer de parler sociabilité avec l’idée de bibliothèque comme troisième lieu. C’est à dire cet endroit où vous allez après le boulot, avant de rentrer chez vous (les 2 autres lieux). Vous me dites cet endroit c’est le bar du coin? Il suffirait de pas grand chose. Donc qu’est-ce qui ferait tout l’intérêt d’une bibliothèque par rapport à un simple troquet?

Arcade! Jeux vidéo ou Pop-art ? » Mathieu Triclot Cyborg vs Zombies. Ou pourquoi il est important de considérer les jeux vidéo Contribution de Mathieu Triclot, maître de conférences en philosophie des sciences à l’Université de Technologie de Belfort-Montbéliard. Il faut en finir avec la solitude du cyborg. Mais il nous faut commencer par ré-évaluer le rôle du vieux cyborg, et rendre hommage, sur le seuil, à tout ce qu’il nous a apporté. Conservons donc la question initiale, celle de la fabrique de la subjectivité dans la relation intime aux machines informatiques, mais débarrassons nous du cyborg. Il existe des analogies frappantes entre les descriptions de positions zombifiées que nous fournit Cassou-Noguès et certaines expériences du jeu vidéo. Examinons simplement deux manières opposées de jouir de la machine, de s’y immiscer pour se fabriquer une position zombie. (1) Manfred E.

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