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Les-decisions-et-parties-prenantes

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Partie prenante Une partie prenante (en anglais : stakeholder) est un acteur, individuel ou collectif (groupe ou organisation), activement ou passivement concerné par une décision ou un projet ; c'est-à-dire dont les intérêts peuvent être affectés positivement ou négativement à la suite de son exécution (ou de sa non-exécution). La notion de partie prenante est centrale dans les questions de développement durable, de responsabilité sociétale, de démocratie participative ainsi que dans certaines normes (écocertification…). On retrouve également cette notion dans les démarches d'architecture d'entreprise. L'identification des parties prenantes et le dialogue avec celles-ci font l'objet de la cinquième partie de la norme ISO 26000 sur la responsabilité sociétale des organisations, parue en 2010. Domaines d'application[modifier | modifier le code] Sciences politiques[modifier | modifier le code] Économie/management[modifier | modifier le code] Citons par exemple : Origines[modifier | modifier le code] R.

Quelle place pour les différentes parties prenantes dans l’entreprise ? VIDÉO : Premières rencontres annuelles de l'IdiesActionnaires, managers, représentants des salariés, organisations citoyennes, Etat et collectivités territoriales : comment associer l’ensemble des parties prenantes à l’entreprise de manière à la mettre au service de l’innovation et du bien-être collectif ? Animateur : Guillaume Duval, rédacteur en chef Alternatives Economiques Avec Thomas Chaudron, ex-président du CJD ; Anne-Catherine Husson-Traoré, rédactrice en chef Novethic.fr ; Jean-Christophe Le Duigou, secrétaire de la CGT ; Jean-Paul Raillard, Syndex ; Hugues Sibille, directeur général délégué du Credit Coopératif. Voir les autres tables rondes des Premières rencontres de l'Idies.

L'ensemble des théoriciens de l'organisation des entreprises Les théoriciens de l'organisation des entreprises Frederick Taylor est un ingénieur américain né en 1915, il a inventé l’Organisation Scientifique du Travail (OST) dont la préoccupation était la rationalisation de la production dans les ateliers. Fils d’une famille française bourgeoise, Henry Fayol a intégré l’Ecole des Mines de Saint Etienne à l’âge de 16 ans. Avocat et sociologue allemand. Joan Woodward, professeur de management à Oxford. Ingénieur et docteur en management des organisations, il a orienté ses recherches dans trois directions: l'élaboration de la stratégie, l'emploi du temps, et l'organisation de l'entreprise. Lawrence et Lorch ont développé les travaux de Woodward et ont crée les bases de la théorie de la contingence. Économiste américain, prix Nobel d’économie en 1978. Historien, professeur à la Harvard Business School, Alfred Chandler a brossé une histoire de la grande entreprise américaine (big business) depuis le 19è siècle.

Parties prenantes de l'entreprise, acteurs internes et externes Dans le cadre de l'analyse de l'environnement de l'entreprise, il ne faut pas oublier les "stakeholders", terme cher à nos amis anglo-saxons, qui signifie "parties prenantes de l'entreprise". La société est de fait plongée dans un système où elle doit rendre des comptes non seulement à ses actionnaires, mais aussi à l'ensemble des autres acteurs qui gravitent autour d'elle et qui possèdent un intérêt dans son fonctionnement et ses résultats. Elle est sous influence de cet environnement hétérogène. Il est de coutume de distinguer 2 profils : les acteurs internes d'un côté, qui sont les dirigeants et les salariés, les syndicats ; de l'autre les acteurs externes : les clients, les fournisseurs bien sûr, mais aussi les actionnaires, les créanciers et autres institutionnels. En regardant de plus près les motivations de ce petit monde, on comprend très vite que leurs intérêts divergent. A lire sur internet Articles Votre entreprise et ses parties prenantes capitalsocial.fr

Économie Gestion en lycée Avertissement Ce petit mémento ne prétend nullement à l'exhaustivité. Bien plus, il méconnaît des auteurs réputés importants (Chandler, Minzberg …) car les différentes théories sont classées par "école" ou par systèmes de pensée homogènes. Pour plus d'informations, se reporter à l'ouvrage de Jean-Claude SHEID : "Les grands auteurs en organisation". Sommaire * INTRODUCTION *L'ECOLE CLASSIQUE - Les hypothèses de base - TAYLOR et l'O.S.T. - Henry FORD - HenriFAYOL - Max WEBER - Conclusion * LE COURANT PSYCHOSOCIOLOGIQUE - Elton MAYO et l'école des relations humaines - La théorie des besoins et des motivations (A. Nous avons vu que les économistes considèrent l'entreprise, ou plutôt l'entrepreneur, comme un agent économique simple prenant des décisions d'optimisation rationnelle compte tenu d'une vision simplifiée (simpliste ?) Les hypothèses implicites sont les suivantes : . Partant de là, se dessinent les 4 grands principes qui président à la pensée classique : . Henry FORD 1 . 2 . A. 3 .

Les parties prenantes | Infos Entrepreneur Les parties prenantes, Qui sont-elles? La Responsabilté Socitétale de l’Entreprise implique la prise en compte de toutes les parties prenantes dans sa politique. Il existe deux types de parties prenantes, internes et externes. Les parties prenantes internes Les Salariés Les salariés sont les premiers concernés par la mise en place de la RSE au sein de leur entreprise. De plus, les salariés sont aussi acteurs de RSE de leur entreprise lorsque ceux-ci bénéficient de formations liées au développement durable et à la stratégie RSE établie. Les Syndicats La place des syndicats au sein de l’entreprise est d’autant plus centrale au sein d’une entreprise qui a une bonne RSE car cela contribue à l‘échange entre salariés et hiérarchies et donc favorise le dialogue intra-entreprise. Les parties prenantes externes Les Fournisseurs Les Clients Les Actionnaires Les ONG Les ONG sont aussi acteurs de RSE car elles sont l’intermédiaires de dénonciations. Les Communautés locales

gcaccueil Professeur en sciences de gestion Université de Bourgogne Institut d'Administration des Entreprises Email : 1. Université ou 2. Sommaire Formation Agrégation en Sciences de Gestion (concours 1981) Doctorat d'État en Sciences de Gestion, Université de Bourgogne, 1981 Doctorat de 3e cycle en Économie et Administration des Entreprises, Université de Bourgogne, 1979 Agrégation des Techniques économiques et de gestion, 1979 Diplôme d'Expertise Comptable, 1983 Diplôme de Gestion comptable, 1980 Diplôme d'Études Comptables Supérieures, 1978 Maîtrise ès Sciences Économiques (spécialité : économie mathématique), Université de Bourgogne, 1974 DEUG de Sciences Économiques, Université de Bourgogne, 1972 Diplômé de l'École Supérieure de Commerce et d'Administration des Entreprises, Dijon, 1971 Baccalauréat Mathématiques élémentaires, Académie de Dijon, 1967 Retour sommaire ou page d'accueil Expérience professionnelle Principalement Autres Thèmes de recherche Publications Livres Ouvrages d'exercices

Ed Freeman et la théorie des parties prenantes | Spidermak Origines de la RSE La RSE s’est développée aux Etats-Unis dans un premier temps, du moins dans son approche conceptuelle. Pourquoi, me direz-vous, a-t-elle trouvé de bon goût de naître au pays de l’Oncle Sam ?Deux raisons culturelles permettent de répondre à cette question de l’éclosion de pratiques RSE à la fin du XIXème siècle aux Etats-Unis : La religion est très présente chez les dirigeants d’entreprise et encourage les actions philanthropiques, notamment au travers de fondations (Rockfeller, Carnegie et Ford sont les exemples le splus illustres de ce mouvement, poursuivi aujourd’hui par des personnalités come Bill Gates ou Warren Buffet)Il existe une méfiance envers l’Etat. L’idéologie dominante est que l’Etat fera mal les choses, donc logiquement, les entrepreneurs préfèrent agir par eux mêmes. Positionnement de Freeman Ed Freeman s’inscrit dans cette logique libertarienne de méfiance envers l’Etat. Freeman est un philosophe. Spécificités de la théorie des parties prenantes Postérité

Les styles de leadership selon Hersey et Blanchard Selon Paul Hersey et Ken Blanchard, les créateurs du leadership situationnel (ou management situationnel), il n’existe pas de « bon » style de leadership : un leader doit adopter le style le plus adapté à la situation. Paul Hersey et Kenneth Blanchard ont développé la théorie dite du leadership situationnel (ou management situationnel), selon laquelle il n’existe pas de « bon » style de leadership : un leader doit adopter le style le plus adapté à la situation. L’objectif d’un leader consiste à accroître progressivement le niveau de maturité de ses collaborateurs afin de développer leur autonomie dans le travail. Selon Paul Hersey et Ken Blanchard, il n’existe pas de « bon » style de leadership : un leader doit adopter le style le plus adapté à la situation. L’autonomie d’une personne est composée de : La compétence : niveau de professionnalisme de la personne dans la situation (savoirs, savoir-faire et savoir-être). Style 1 - Directif Très organisationnel - Peu relationnel Sources

Les styles de direction - Qu'est-ce qu'un style de direction ? Le style de direction correspond à la manière d'exercer le pouvoir et la façon pour un dirigeant d'établir les relations avec ses subordonnés. Le style de direction est contingent car il dépend de nombreux facteurs tels que : la personnalité et les caractéristiques du dirigeant, la taille de l'entreprise, la propriété de l'entreprise, l'environnement de l'entreprise… Quels sont les différents styles de direction dans l'entreprise ? L’analyse de Rensis Likert (1903 – 1981) permet de distinguer quatre styles de commandement : autoritaire, paternaliste, consultatif et participatif. Le style autoritaire : l'autorité du dirigeant est fondée sur la crainte et le respect des ordres reçus.

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