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A-t-on atteint un « pic des objets »

A-t-on atteint un « pic des objets »
Si l’on devait la caractériser en des termes mathématiques, la trajectoire de notre civilisation serait une courbe exponentielle. Tout au long du XXe siècle, la consommation d’énergie et de ressources naturelles — et donc logiquement les émissions de gaz à effet de serre — s’est accrue de concert avec la démographie. Mais aujourd’hui, serions-nous arrivés à un plateau ? Aurions-nous commencé à réduire notre consommation, ou du moins à la stabiliser ? La parcimonie serait-elle en voie de devenir le nouveau luxe ? C’est ce que pressent une récente étude, qui estime que la Grande-Bretagne, pays à l’origine de la révolution industrielle et l’une des nations les plus riches au monde, aurait atteint un seuil maximum d’objets possédés par chaque habitant, avant de voir cette quantité décliner. Des tendances similaires auraient commencé à émerger à travers l’Europe, où la consommation d’énergie des ménages en 2009 était de 9 % inférieure au niveau de 2000. Croissance et consommation découplées

[documentaire] La révolution créative numérique : « Press Pause Play » Bonjour et… bon lundi à toutes et à tous ! Ce matin, un petit documentaire pour bien commencer la semaine et faire le plein de motivation. « Press Play Pause » nous présente la révolution numérique de la dernière décennie et sa résultante qui est la créativité et l’expression du talent d’une manière inédite, avec des possibilités illimitées. Mais cette culture et cette révolution numérique ne signifient pas du tout que l’art s’est démocratisé ni que le talent est devenu plus facile à trouver, en effet, il a pu se noyer dans la quantité d’oeuvres créées. C’est sur cette question que « Press Pause Play » se fonde et offre le recul d’une réflexion au travers d’interviews avec certains des créateurs les plus influents du monde de l’ère numérique. Personnellement, je trouve que cette « révolution numérique » présentée dans le documentaire offre un bon reflet de l’évolution sociale en général mais également des l’ensemble des gens qui sont au centre de cette société. source

Le “Peak Everything” (ou la fin des haricots) Je vous bassine depuis cinq ans avec le Peak Oil, qui devait entraîner à court ou moyen terme la chute de l’économie mondiale et la fin de la doctrine croissanciste. Mais à y regarder de plus près, ce n’est pas la seule pénurie qui nous guette. Conséquence directe de la croissance mondiale infernale, d’autres ressources vont rapidement venir à manquer. Pour ceux qui auraient pris le train en marche, deux notions de base, niveau maternelle moyenne section. 1) Il n’y a pas de croissance infinie dans un monde fini. 2) (C’est un peu plus dur, mettons niveau CE2). Les estimations des pics ne sont certes pas précises à la minute. Pour éviter ce piège, je me suis basé sur les travaux d’un groupe indépendant allemand, l’Energy Watch Group. Le Pic pétrolier (Peak Oil) J’en ai déjà beaucoup parlé, alors je vais faire bref. Le pic de charbon (Peak Coal) Là c’est la surprise. Le Pic métallique (Peak Metal) Là aussi j’en ai déjà parlé. Il y a aussi Mélenchon.

Le "Made-in France" pour salut ? Oui, mais ... Il y a sans doute eu un sujet polémique qui n'aura probablement pas manqué de pimenter nombreux repas de famille en cette période de fêtes tout juste digérées : la démondialisation. L'année qui débute étant en France, élections présidentielles obligent, riche en réflexions, prises de positions et promesses plus ou moins affutées, tout à chacun devrait être en mesure de se faire une opinion sur le sujet. Oui, mais voilà, de quoi parle-t-on exactement ? Entre démondialisation, libre-échange, crises économique et bancaire planétaires, protectionnisme, délocalisation, relocalisation, consommation responsable, compétitivité, pouvoir d'achat, souveraineté et communautarisme, nous ne savons plus trop sur quel pied danser ... Le paradoxe français Il me parait important tout d'abord de constater que la France est victime d'un véritable paradoxe. Et d'un autre côté, il est communément reconnu que les produits "Made-in France" qui s'exportent le mieux sont les produits de luxe. Une équation complexe

SETH GODIN: HOW TO WIN IN THE “FOREVER RECESSION” We’ve heard these calls before. Anyone remember the howls from the 90s, at least here in Europe, about the ‘knowledge economy’. That’s what Britain did. Germany ignored that, and doubled down on manufacturing. And who won out in the end? Work is becomming increasingly scarce even for college grads. The thing is, most people are not entrepreneurs by nature. And if the economic system doesn’t favor that, you’ll have anarchy and social revolts. Like all marketing guys this guy is over the top. China has a much lower unemployment, higher literate levels and so on. Nontheless, where will it all end up? In the short run, we can probably employ most people out of work today. By the way, Cullen, a ‘marketing’ guy is a kind of person who thrives on sensationalism and typically writes loads of stuff for the sake of writing stuff. Then you could get something intellectually rigorous instead of a guy just selling a book.

Why I Hate Android Why do I hate Android? It’s definitely one of the questions I get asked most often these days. And most of those that don’t ask probably assume it’s because I’m an iPhone guy. People see negative take after negative take about the operating system and label me as “unreasonable” or “biased” or worse. I should probably explain. Believe it or not, I actually don’t hate Android. Let’s turn back the clock. Then on January 9, 2007 — exactly 5 years ago today — Steve Jobs took the stage at Macworld to unveil the iPhone. Apple and Google were great allies at the time. A few months later, on November 5, 2007, Google teamed up with many of the big players in the mobile/telecom space to announce the Open Handset Alliance. In hindsight, Steve Jobs was clearly not happy about this and the subsequent iPhone-ification of Android. Jobs probably didn’t say much at the time because he didn’t have to. Remember, Apple still had an agreement with AT&T for exclusive iPhone rights in the U.S. at the time. It.

L’ère de l’abondance est « finie », annonce un gourou clairvoyant de la finance "Il est temps de se réveiller : l'ère des ressources abondantes et de la baisse des prix est finie pour toujours." Tel est l'avertissement lancé par l’un des analystes financiers les plus respectés de la planète, Jeremy Grantham. A la tête du fonds d'investissement GMO de Boston, gestionnaire de plus de 100 milliards de dollars de capitaux, M. Grantham estime que la croissance de la demande mondiale de matières premières surpasse "à un rythme alarmant" la croissance de l'offre. Un "changement de paradigme" est très probablement en train d'avoir lieu, "peut-être l'événement économique le plus important depuis la révolution industrielle", avance l'investisseur britannique, célèbre pour avoir anticipé la bulle internet et la bulle des subprimes. Jeremy Grantham écrit dans la lettre trimestrielle de GMO, parue en avril : La suite de l'argumentaire de M. "Le fait est qu'aucune croissance cumulée continue n'est soutenable. M. Les résultats obtenus par GMO paraissent sans appel.

Quatre économistes donnent un satisfecit au projet de budget d'Eva Joly Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Anne-Sophie Mercier Ras le bol d'être assimilés sans cesse à la seule défense des pâquerettes et du monde animal. Les écologistes ont beaucoup travaillé, et ce depuis des années, sur les questions économiques : croissance, chômage, économies d'énergie bien sûr, mais aussi diminution de la dette et redressement de la balance commerciale. Un travail effectué en pure perte pour le moment, puisque, dans l'opinion, si l'idée de transaction énergétique n'a cessé de marquer des points, celle d'une véritable économie verte fondée sur une croissance positive et des créations d'emplois ne convainc guère. Conscients d'être dans une campagne électorale dominée par la réponse à apporter à la crise, les écologistes, évidemment soucieux de ne pas se laisser marginaliser, ont souhaité montrer que leurs propositions tenaient la route. Les résultats de l'étude sont assez concluants. BON POiNT

Baltic Dry Index Baltic Dry Index 1985–2013 The Baltic Dry Index (BDI) is a number (in USD) issued daily by the London-based Baltic Exchange. Not restricted to Baltic Sea countries, the index provides "an assessment of the price of moving the major raw materials by sea. Taking in 23 shipping routes measured on a timecharter basis, the index covers Handysize, Supramax, Panamax, and Capesize dry bulk carriers carrying a range of commodities including coal, iron ore and grain Historical origin[edit] In 1744, the Virginia and Maryland coffee house in Threadneedle Street, London, changed its name to Virginia and Baltick, to more accurately describe the business interests of the merchants who gathered there. How it works[edit] Every working day, a panel of international shipbrokers submits their view of current freight cost on various routes to the Baltic Exchange. These rate assessments are then weighted together to create both the overall BDI and the size specific Supramax, Panamax, and Capesize indices.

Imagina ! coup d'oeil sur l'innovation sociale espagnole Billet publié par Stéphane Vincent dans la catégorie Tags: Espagne-etc , Innovation , social Chose promise, chose due : moins de trois mois après notre voyage d’étude en Espagne consacré aux politiques locales innovantes vers les jeunes (18 au 20 octobre dernier), en voici le compte-rendu orchestré par Charlotte Rautureau, Hubert Guillaud pour l’essentiel des articles, Xavier Figerola à la mise en page et pour les vidéos, et le concours de tous les participants*. Au menu, la fraîcheur d’Utopic_US, tiers-lieu au coeur de Madrid ; les déconvenues de l’agence Funky Projects face aux velléités participatives des collectivités ; le vedettariat version "créatif" de TedX Youth Spain ; les interventions urbaines très inspirantes de PKMN (prononcez pacman) ou du Social Media Lab avec le projet Citilab. A signaler aussi cet entretien avec le Movimiento 15M, représentants le mouvement espagnol des indignés, "los indignodas". * Les participants côté français :

Raréfaction des métaux : demain, le « peak all » Merci à la rédaction du magazine Science & Vie, qui propose ce mois-ci une enquête sur un sujet essentiel que je me désespérais de trouver le temps de traiter : le déclin des réserves mondiales de métaux (précieux ou pas). Hé oui, le pétrole n’est pas la seule matière première que menace le prurit de la société de consommation. Le cuivre, le zinc, l’or et l’uranium figurent parmi les principaux métaux dont les ressources mondiales semblent en voie d’épuisement. Une mine de cuivre moderne, aux Etats-Unis. Le problème est similaire à celui du pic pétrolier. Philippe Bihouix et Benoît de Guillebon, auteurs de l’ouvrage français de référence sur la question (Quel futur pour les métaux ? En quoi pic pétrolier et pics des métaux sont-ils liés ? Tout simplement parce que pour creuser des mines, il faut de l’énergie. Bien sûr, contrairement au pétrole, les métaux peuvent être recyclés. Bihouix et de Guillebon, les auteurs de Quel futur pour les métaux, affirment :

Michel Serres : " La société préfère son argent à ses enfants ", Série d été : les grands témoins

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