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Verbalisé (parce que)

Verbalisé (parce que)
Préam­bule : J’in­clus dans cet inven­taire des PV arbi­traires ou abusifs, mora­le­ment ou léga­le­ment. Au delà de la subjec­ti­vité dans l’ap­pré­cia­tion, ce n’est qu’une collec­tion de liens publics, qui ne se veut même pas exhaus­tive. Je me contente d’évi­ter ce qui me parait contes­table ou liti­gieux. Mes critères de base sont soit une cita­tion dans la presse de métier, soit un message en ligne public par un témoin direct en son nom propre et via une iden­tité établie (donc pas de propos rappor­tés, pas de comptes de réseaux sociaux créés il y a deux semaines ou sans inter­ac­tions person­nelles solides). Pour autant, cela ne consti­tue pas un travail de jour­na­liste et ne doit pas être consi­déré comme tel. Entre autres, je ne contacte pas les personnes concer­nées ou les auto­ri­tés, et ne recherche pas d’éven­tuels témoins. Le droit de faire les courses, mais pas d’y inclure des paquets de gâteaux Préci­sions : Le coca-cola non plus Les serviettes hygié­niques non plus

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Décryptage des meilleures dataviz sur le Co-vid 19 Par Diana Liu et Laure Delmoly, MediaLab, France Télévisions Le COVID-19 a généré un volume colossal de données suscitant de nombreux formats de « visualisation de données » dans les médias. Mais toutes les dataviz ne se valent pas. Si certaines peuvent rendre l’information plus compréhensible, d’autres peuvent être mal interprétées et contribuer à la désinformation. DRÔLE DE DRONE… Ami abonné, Ça fait déjà un moment que je m’interroge sur mon engagement politique de fin de vie ; et je crois bien que ce coup-ci, je n’ai pas le choix. Je suis dans son collimateur au jeune Corola-virus, et ça sera lui ou moi. Et ne me dis pas que je suis parano. Pour un jeune virus chinois un peu ambitieux désireux de se faire un nom dans la bactériosphère, je suis carrément hyper-corona-compatible : 62 piges, fumeur invétéré depuis l’âge de 14 ans, 15 kilos de trop sans problème – et peut-être même un peu plus – et pour coronarer le tableau, le tout irrigué par ce bon vieux raisiné, comme aurait dit San-Antonio, du groupe A1 – le plus répandu, certes, mais aussi le préféré, d’après les médecins, des vampires de la nouvelle génération. Bref, c’est comme si sur le front, j’avais une cible fluorescente qui clignotait, avec marqué dessus : amis virus mortels et bactéries tueuses, bienvenue chez Didier Porte, ici, c’est open bar et happy hours 24 sur 24.

Au nom du coronavirus, l’État met en place la société de contrôle « Nous ne renoncerons à rien, surtout pas à rire, à chanter, à penser, à aimer, surtout pas aux terrasses, aux salles de concert, aux fêtes de soir d’été, surtout pas à la liberté », affirmait Emmanuel Macron le 11 mars dernier, il y a seulement trois semaines, dans le cadre la première journée nationale d’hommage aux victimes du terrorisme. Depuis, avec le confinement, tout semble avoir changé, le monde a basculé. Des drones équipés de haut-parleur survolent les rues des métropoles françaises, intimant aux passants l’ordre de rentrer chez eux. Dépister et fabriquer des masques, sinon le confinement n’aura servi à rien Gaël Giraud est directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), professeur à l’École nationale des ponts Paris Tech’, et jésuite. Il travaille actuellement en Italie. Gaël Giraud.

La police tire au LBD sur une enfant à Chanteloup-les-Vignes. Depuis le début du confinement, les flics se lâchent et en profitent pour assouvir leur soif d’autorité et d’arbitraire dans les quartiers populaires : Et si des médias serviles comme le Parisien soulignent que plus de 10% des amendes relatives au confinement ont été dressées en Seine Saint-Denis, cela signifie surtout que le département est celui qui a été le plus contrôlé : Samedi 4 avril à Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), un contrôle (d’un conducteur de moto soi-disant volée selon la version de la police) a mal tourné. S’ensuit un affrontement (un « guet-apens » selon les ouin-ouins), et les flics ont alors tiré au LBD : une gamine a été grièvement blessée par un tir (c’est sa mère qui le confirme) et transportée en urgence à l’hôpital Necker. L’origine de la blessure est remise en cause par la police, dont la version est allègrement relayée dans l’article du Monde, notamment par la voix du représentant du syndicat d’extrême-droite de policiers Alliance.

Alerte : nos libertés sont confisquées L’histoire retiendra-t-elle que l’épidémie de COVID-19 a été un moment-clé dans un processus de basculement autoritaire de la société française ? De fait, ces dernière semaines, l’attention de l’opinion publique française a surtout été captée sur la crise sanitaire, et sur la sordide comptabilité des morts. Certes, les images de violences policières “radicales” continuaient de se propager sur les réseaux sociaux en plein confinement. Mais ce n’était manifestement que la face émergée de l’iceberg. Coronavirus en France : « En matière de prévention, nous ne sommes pas à la hauteur de l’épidémie » Professeur émérite au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), où il était il y a peu titulaire de la chaire Hygiène et sécurité, William Dab est médecin et épidémiologiste. De 2003 à 2005, il a été directeur général de la santé et avait démissionné en raison de désaccords sur la politique de santé publique avec le ministre de la santé d’alors, Philippe Douste-Blazy. Il livre une analyse critique de la réponse française au Covid-19.

Contrôles arbitraires et violences policières : la répression en temps de confinement « J’ai senti que dans leur esprit, il y avait deux camps : les bons citoyens et les mauvais. » Mardi 17 mars au soir, Baptiste, ouvrier agricole, est contrôlé dans les rues désertes de Douarnenez alors qu’il se rend chez un ami pour récupérer un ordinateur, seul moyen de s’informer en ces temps confinés. Son tort ? Être sorti alors que le confinement vient juste d’être décrété le jour-même, depuis midi.

Le Conseil constitutionnel valide la loi prorogeant l’état d’urgence sanitaire mais censure deux dispositions Le Conseil constitutionnel a validé, lundi 11 mai, l’essentiel de la loi prorogeant l’état d’urgence sanitaire adoptée par le Parlement samedi 9 mai. Il avait été saisi par le président de la République, Emmanuel Macron, le président du Sénat, Gérard Larcher, ainsi que par plus de 60 députés et 60 sénateurs, essentiellement des rangs de la gauche. En dehors de réserves d’interprétation sur quelques points du texte de loi, les juges constitutionnels ont censuré les modalités de mise en quarantaine et de placement en isolement ainsi que, pour les organismes chargés de l’accompagnement social, l’accès aux données du système d’information destiné au « traçage » des personnes atteintes par le Covid-19. Le Conseil constitutionnel, qui n’avait pas eu à se prononcer sur la loi du 23 mars 2020 instaurant l’état d’urgence sanitaire, n’a soulevé d’office aucune question de conformité à la Constitution en dehors des dispositions dont il avait été saisi. Notre sélection d’articles sur le coronavirus

« La maîtrise d’une épidémie, c’est aussi de la politique » Laurent-Henri Vignaud est maître de conférences d’histoire moderne à l’université de Bourgogne. Spécialiste de l’histoire des sciences, il explique au Monde comment s’est forgé le concept de contagion, et de quelle façon les épidémies, comme les mesures prises pour les contrôler, ont façonné nos sociétés. Quand la notion de contagion est-elle apparue ?

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