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La génération Y jugée ambitieuse et individualiste par ses aînés

La génération Y jugée ambitieuse et individualiste par ses aînés
La "génération Y" des moins de trente ans n'est pas très bien perçue par les salariés plus âgés, qui jugent ses représentants plus ambitieux et individualistes, et moins efficaces et motivés, selon un sondage Ipsos rendu public lundi 16 janvier. Selon cette enquête réalisée pour le CESI en partenariat avec Le Figaro et BFM, 55 % des salariés de plus de trente ans jugent leurs nouveaux collègues plus "ambitieux" et 58 % plus "individualistes" qu'eux-mêmes. Ils sont aussi dépeints comme "moins efficaces" (48 %), "moins motivés" (46 %), "moins enthousiastes" et "moins polyvalents" (44 %). De leur côté, les "Y" (la lettre "y" pour symboliser la conjonction anglaise "why", "pourquoi", en français) se voient comme plus polyvalents, plus motivés, plus efficaces, plus enthousiastes mais admettent être plus individualistes et plus ambitieux. Malgré tout, plus de 70 % des patrons et salariés restent optimistes pour les six mois à venir sur le maintien de l'emploi.

Comment les salariés de la génération Y sont perçus en entreprise 01net. le 16/01/12 à 16h33 Le baromètre « sur la génération Y dans l’entreprise », réalisé par le CESI en partenariat avec BFM et Le Figaro, révèle la façon dont les moins de 30 ans sont perçus dans leur environnement professionnel, que ce soit par les chefs d’entreprise ou par leurs collègues. Intéressant également, le regard de cette génération sur les autres salariés de l’entreprise. Quelques enseignements de l’étude : Les chefs d'entreprise les apprécient La génération Y est jugée plus ambitieuse que la précédente par 33% des chefs d’entreprise (contre 21% moins), 31% estiment qu’elle est plus motivée (contre 30% moins) et 30% plus enthousiaste et plus polyvalente (contre 27% moins). Les 30 ans et plus sont plutôt critiques La génération Y est considérée bien plus individualiste par 58% des salariés de plus de 30 ans. Les moins de 30 ans s’estiment meilleurs que leurs aînés La génération Y n’a guère de complaisance à l’égard de ses collègues plus âgés. Des priorités qui restent semblables

La génération Y : accélérateur de compétences et de savoir ? « Pierre DURAN CAMPANA Nous n’avons pas tous les mêmes difficultés avec la websphère, qui nous inonde d’informations, pour en faire le tri, pour les transformer en connaissances. Pourtant toutes ces connaissances restent inutiles si elles ne permettent pas de développer des compétences. Mais quel est donc la différence entre connaissances et savoir ? La connaissance : Une connaissance est une combinaison d’informations associées à un contexte, à un modèle et à une interprétation (lire ceci). La notion d’interprétation impose une approche individuelle des connaissances ; rendant difficile le traitement automatique sans une sémantique utilisant des référentiels cohérents dans un contexte déterminé. Ex : Le crâne humain et celui des grands singes sont très proches,L’analyse de l’évolution des humanoïdes et l’analyse de l’évolution des singes montrent des points de similitudes,DARWIN a décrit dans sa "théorie de l’évolution" le processus de sélection naturelle Comment définir la notion de savoir ? Et la compétence ?

La génération Y irrite quelque peu ses aînés en entreprise selon un sondage La Génération Y : génération WTF ?! Le 28 mars 2012, France 2 diffusait, dans son journal télévisé de 20h, un magnifique reportage sur la désormais fameuse Génération Y, que l’on appelle aussi Digital Natives, Yers (prononcer « Wouaïeurs »), GenY, Millenials ou Enfants du millénaire. Après seulement 30 secondes de ce morceau de bravoure journalistique, je bondissais sur ma chaise. Dans les jours suivants, différents stéréotypes me sont revenus en tête : des idées préconçues et incongrues que mes amis ou moi avons lues, entendues voire affrontées dans notre vie personnelle comme professionnelle. En travaillant chez Roxane, j’ai pu échapper à ces clichés, mais ça n’a pas toujours été le cas. Alors je profite de ce blog pour tenter de rétablir la vérité sur cette génération dont je fais partie. « Comme vous êtes tous des geeks, tu dois savoir toi, le stagiaire en com, comment sortir ce virus de mon PC ? Et voilà l’erreur la plus fréquente dans laquelle les journalistes de France 2 sont tombés tête la première !

La génération Y irrite ses ainés en entreprise La "génération Y" des moins de 30 ans n'est pas très bien perçue par les salariés plus âgés qui jugent ses représentants plus ambitieux et individualistes, et moins efficaces et motivés, selon un sondage Ipsos rendu public lundi. Selon cette enquête réalisée pour le Cesi en partenariat avec le Figaro et BFM, 55% des salariés de plus de trente ans jugent leurs nouveaux collègues plus "ambitieux" et 58% plus "individualistes" qu'eux-mêmes. Ils sont aussi dépeints comme "moins efficaces" (48%), "moins motivés" (46%), "moins enthousiastes" et "moins polyvalents" (44%). De leur côté, les "Y" (la lettre "y" pour symboliser la conjonction anglaise "why", "pourquoi" en français) se voient comme plus polyvalents, plus motivés, plus efficaces, plus enthousiastes, mais admettent être plus individualistes et plus ambitieux. Malgré tout, plus de 70% des patrons et salariés restent optimistes pour les six mois à venir sur le maintien de l'emploi.

La generation Y prend le pouvoir … Dans ses rêves Le mensuel Les Inrocks titrent leur numéro d’aujourd’hui sur “la génération Y prend le pouvoir“. Bon, n’insistons pas trop sur la valeur sociologique nulle du terme “génération Y”. Expression marketing inventée aux US il y a quelques années pour vendre du digital à des annonceurs qui n’y comprenaient rien à Internet. Cette génération Y était censé regrouper tous les comportements endémiques digitaux qui ne correspondaient pas aux comportements de l’annonceur. La démonstration validant ce concept était fort simple : les jeunes se pokent. Toi le vieux tu te pokes pas, donc les jeunes y sont pas de la même génération que toi. Non, ce qui est dérangeant, c’est l’inadéquation entre le texte et l’image de cette couverture. C’est dans cet état d’esprit que j’ai réalisé hier soir (oui je me couche tard) une petite galerie de couvertures alternatives des Inrocks. J’espère que vous apprécierez cet exercice de comparaison (et essayez de comprendre à quoi correspond le nom de la génération).

Génération Y (- de 30 ans): vous êtes individualistes, ambitieux mais... pas motivés! La "génération Y" des moins de 30 ans n'est pas très bien perçue par les salariés plus âgés qui jugent ses représentants plus ambitieux et individualistes, et moins efficaces et motivés, selon un sondage Ipsos rendu public lundi. Selon cette enquête réalisée pour le Cesi en partenariat avec le Figaro et BFM, 55% des salariés de plus de trente ans jugent leurs nouveaux collègues plus "ambitieux" et 58% plus "individualistes" qu'eux-mêmes. Ils sont aussi dépeints comme "moins efficaces" (48%), "moins motivés" (46%), "moins enthousiastes" et "moins polyvalents" (44%). Les "Y" pensent le contraire De leur côté, les "Y" (la lettre "y" pour symboliser la conjonction anglaise "why", "pourquoi" en français) se voient comme plus polyvalents, plus motivés, plus efficaces, plus enthousiastes, mais admettent être plus individualistes et plus ambitieux. Les mêmes attentes Moins positifs quant à l'économie Envie d'un mouvement social

La génération Y prend le pouvoir L’air de rien, ils émergent, prennent les commandes, accèdent à petits coups de raccourcis clavier à des postes de responsabilité et d’influence. Dans les rédactions, ce sont des journalistes de 25 ans, parfois stagiaires, qui s’imposent grâce à leur maîtrise de l’informatique et leur capacité à écrire, tweeter, filmer, liver, éditer, tout en même temps. Ailleurs, ce sont des militants de 20 ans à peine qui pilotent la stratégie web de leur parti. Ou des community manager qui, à même pas 30 ans, gèrent l’image en ligne de grosses entreprises, parfois de multinationales. Nés après 1980, ces membres de la génération Y émergent grâce à un savoir-faire unique. Quand Vincent Glad, journaliste, devient chroniqueur au Grand Journal, c’est d’abord parce qu’il comprend et maîtrise toutes les ficelles d’internet. "Pour quelqu’un de mon âge, c’est un milieu naturel" “Les partis intègrent pleinement le net dans leur stratégie. “Bien sûr que nous parlons de Twitter avec François Bayrou, avoue-t-il.

La génération Y en quête de reconnaissance dans l'entreprise Si les jeunes salariés sont jugés très durement, c’est bien plus par les autres salariés que par les chefs d’entreprise. Les chefs d’entreprise ont en ce qui les concerne une image plutôt positive des jeunes salariés. Une majorité relative d’entre eux considère qu’ils ne se distinguent pas véritablement des autres salariés : ils ne seraient ni plus ni moins ambitieux (38%), individualistes (38%), motivés (32%), enthousiastes (35%), polyvalents (36%) ou efficaces (42%) que les autres. Quand ils pensent qu’ils se distinguent des autres, c’est plutôt en bien : 33% d’entre eux jugent qu’ils sont plus ambitieux (contre 21% moins), 31% qu’ils sont plus motivés (contre 30% moins, la différence étant simplement symbolique), 30% plus enthousiastes (contre 27% moins) et plus polyvalents (contre 27% moins). C’est tout le contraire chez les salariés : à leurs yeux les jeunes salariés se distinguent en effet plutôt en mal. La génération Y : une génération de la crise Cf.

Les générations à venir sacrifiées sur l'autel du profit immédiat LE CERCLE. Deux jeux de dupe sont en train de se mettre en place : qui ne veut plus payer d'impôts et qui veut gagner de l'argent tout de suite pour sa cupidité personnelle. Le bon fonctionnement et la bonne stabilité du budget de la France sont menacés par des influences et des connivences néfastes des acteurs de la vie politique et économique plus soucieux de leur électoralisme. En effet, plus ils octroient des cadeaux fiscaux à des personnes qui peuvent payer des impôts, plus ils font produire une spirale de la dette. Le bon fonctionnement de l'économie de marché est altéré par l'addiction à l'argent. Les solutions du logiciel néo-libéral par l'austérité notamment ne seront pas plus efficaces parce qu'elles ne sont plus adaptées aux contingences économiques et sociales du XXIe siècle. Les spéculateurs et leurs hommes de main mettent en péril la vie des générations futures.

Les jeunes de la génération Y, un atout pour l'employeur L'Observatoire social réalisé par Ipsos-Logica Business Consulting pour le Cesi, en partenariat avec Le Figaro et BFM, bat en brèche les idées reçues. La génération Y (les jeunes actifs de 18 à 30 ans) est-elle un atout ou un risque pour les entreprises? Existe-t-il pour les dirigeants, managers et DRH, comme une littérature abondante pourrait le laisser penser, un véritable «péril jeune» dans le monde du travail? «Dans les entreprises, les nouvelles recrues et jeunes diplômés se montrent vraiment très différents de leurs aînés. On les accuse d'être exigeants, infidèles, peu malléables, et parfois même arrogants. Le quatrième Observatoire social de l'entreprise mis en place par Ipsos pour le Cesi, dont Le Figaro et BFM sont, cette année encore, partenaires, bat en brèche nombre d'idées reçues. Préoccupations communes Finalement, le divorce est bien plus vif entre les jeunes de la génération Y et leurs aînés, chacun renvoyant une image négative de l'autre.

La « génération Y » décortiquée - Peoplesphere "Formerly known as RH Tribune": Le magazine des People Managers Les sites internet des entreprises et les banques d’offres d’emploi en ligne sont les meilleurs outils de recrutement pour attirer les candidats de la « génération Y », relève une étude menée par Accountemps. Outre la rémunération, le manque de perspectives de carrière est la raison première qui incite ce groupe à chercher un autre emploi. La « génération Y » ce sont les individus nés après 1980, aussi appelés « génération du millénaire ». L’étude d’Accountemps, division du groupe Robert Half International, a été menée auprès de 1.765 DRH et directeurs financiers dans onze pays, dont la Belgique. Au niveau international, un responsable sur cinq déclare que la présentation des fonctions vacantes sur le site internet de l’entreprise est la méthode la plus utilisée pour attirer les candidats de la génération Y. A côté des sites web, la génération Y a surtout recours aux banques d’offres d’emploi en ligne (30%), puis aux petites annonces (24%) et au bouche à oreille (19%).

La génération Y est-elle si mal-aimée au travail ? "La génération Y en entreprise : entre désamour et volonté de reconnaissance"... Le titre de la 4ème vague de l'Observatoire Social de l'Entreprise en dit long. Les 17-30 ans laissent perplexes les chefs d'entreprise comme les salariés au travail. Réputés difficile à intégrer dans l'entreprise, rebelle, la Génération Y nécessiterait une adaptation voire la formation des managers... L'Observatoire social des entreprises a tâché de savoir si cette image négative reflète vraiment la réalité des entreprises. Elle conclut que finalement, les jeunes ne seraient pas si mal aimés, si ce n'est de leurs collègues plus âgés. Surtout mal-aimée des autres salariésPremier enseignement du rapport de l'OSE : "si les jeunes salariés sont jugés très durement, c'est bien plus par les autres salariés que par les chefs d'entreprise". Les autres salariés sont beaucoup plus durs quant à eux : plus de la moitié d'entre eux trouvent les jeunes plus ambitieux et plus individualistes. © goodluz - Fotolia.com

« Génération Digital Natives », petite histoire d'une génération spontanée ou Lamarck au pays des TICE. Par Jean-Michel Valette, « Génération Digital Natives ». C’est le titre du dossier de la dernière livraison du Monde de l’éducation (avril 2008). Les « Digital Natives » ce sont ces enfants qui ont toujours connu Internet et qui ont été nourris aux mamelles du numérique, du multimédia et de l'information instantanée. « Digital Natives » est un néologisme et un concept inventés (et déjà controversé, apprend-on dans le dossier) par un consultant américain en TICE (nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Enseignement), Marc Prensky . Tant d'heures passées devant les écrans ont ainsi forgé une génération d'élèves « mutants » dotés d'un cerveau modifié[it is very likely that our students’ brains have physically changed – and are different from ours] : les fameux « Digital Natives »(DN pour la suite!) Comme le cou de la girafe de Lamarck - dans sa célèbre Philosophie zoologique (n'est-ce pas Petite Noisette? Etre, c'est être connecté...et jouer!

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