background preloader

Séance n°1, 2001 Intervention américaine en Afghanistan

Séance n°1, 2001 Intervention américaine en Afghanistan
Proposé par Institut national de l’audiovisuel Date de diffusion : 08 oct. 2001 Contexte historique Par Emeline Vanthuyne ( Professeure agrégée d'histoire ) En 1992, après l'effondrement du régime mis en place par les soviétiques, des combats s'engagent entre combattants (moudjahidin) de factions rivales pour le contrôle du pays. Le régime taliban fait alors l'objet de nombreuses condamnations de la communauté internationale en raison de ses atteintes aux droits de l'homme. En décembre 2000, l'ONU décide de prendre des sanctions financières contre un gouvernement qui laisse prospérer le trafic de drogue à l'intérieur de son pays et soutient le chef du réseau terroriste islamiste, Oussama Ben Laden. Depuis janvier 2004, le nouveau régime se consolide : proclamation d'une République islamique, dotée d'une nouvelle constitution ; tenue d'élections présidentielle et législative libres. Éclairage média

Aout 2021 Retrait des troupes militaires en Afghanistan : retour sur un fiasco américain Publié le 03/07/2021 22:31 Mis à jour le 03/07/2021 23:28 Durée de la vidéo : 3 min. Article rédigé par M. Burgot, B.Thomas, S. France Télévisions Après 20 ans de présence en Afghanistan, l’armée américaine va se retirer du terrain. C’est la guerre la plus longue de l’histoire des États-Unis : 20 ans de confit, 2 442 soldats américains tués, et plus de 47 000 victimes chez les civils afghans. Cette guerre a débuté après les attentats du 11 septembre 2001. Partager : L'OTAN et l'Afghanistan 11 septembre 2001 : quatre attaques terroristes coordonnées sont lancées contre plusieurs cibles aux États-Unis, entraînant la mort de près de 3 000 personnes. 12 septembre 2001 : les pays de l'OTAN et les pays partenaires condamnent ces attentats et offrent leur soutien aux États-Unis. Les Alliés décident d'invoquer l'article 5 du Traité de Washington – la clause de défense collective de l'Alliance – pour la première fois dans l'histoire de l'OTAN, s'il est établi que les attaques étaient dirigées depuis l’étranger contre les États-Unis. 2 octobre 2001 : informé par un haut responsable américain des résultats de l’enquête sur les attentats du 11-Septembre, le Conseil de l'Atlantique Nord décide que les attaques seront considérées comme relevant de l'article 5 du Traité de Washington. 5 décembre 2001 : à une conférence organisée sous l'égide de l'ONU à Bonn, les représentants des factions afghanes nomment Hamid Karzaï chef d'un gouvernement intérimaire.

D'Al Qaida à AQMI, de la menace globale aux menaces locales LA mort violente d’Oussama Ben Laden le 2 mai 2011, tué par les forces spéciales américaines dans une banlieue d’Islamabad, clôt certainement la fin d’un cycle. Ces cycles de la vie d’Al Qaida (Jean-Pirere Filiu en a vu neuf [1]), illustrent une adaptation souvent forcée du réseau jihadiste aux contingences historiques et stratégiques du moment. Depuis 1992 et le premier attentat à Aden, officiellement attribué à Al Qaida [2], les deux chefs majeurs « des chevaliers sous la bannière du Prophète » pour reprendre le célèbre texte fondateur de Ben Laden, avaient à toutes les poursuites. Survivre, d’une certaine façon, c’était vaincre – surtout poursuivi par l’hyperpuissance américaine. Ceci étant, plusieurs éléments sont à prendre en compte. Un réseau en mutation constante Avec les années 1990 apparut un terrorisme conduit par des militants déracinés sans buts politiques précis mais animés d’une vision transcendantale exclusive. L’AQMI n’est pas né spontanément. Plus

L’essai nucléaire nord-coréen, 16 fois plus puissant qu’Hiroshima Selon le site spécialisé 38 North de l’université Johns Hopkins de Washington, l’essai du 3 septembre a dégagé une puissance de 250 kilotonnes. L’essai nucléaire nord-coréen du 3 septembre a dégagé une puissance de 250 kt (kilotonnes), soit plus de 16 fois celle de la bombe atomique d’Hiroshima, ont affirmé mercredi 13 septembre des experts américains, révisant en nette hausse des estimations antérieures. Pyongyang a affirmé que l’engin testé il y a dix jours était une bombe H suffisamment petite pour être montée sur un missile. Lire aussi : Corée du Nord : onze ans de sanctions, qui n’ont rien changé à la détermination de Pyongyang L’institut géologique américain USGS avait enregistré lors de cet essai une secousse tellurique de magnitude 6,3. En conséquence, le site spécialisé 38 North, de l’université Johns Hopkins de Washington a annoncé qu’il révisait à la hausse sa précédente estimation de la puissance de l’explosion, avançant le chiffre d’« environ 250 kilotonnes ».

Séance n°1, Les attentats du 11 septembre 2001 Proposé par Institut national de l’audiovisuel Date de diffusion : 11 sept. 2001 Contexte historique Le 11 septembre 2001, à 8 h 46, un avion de ligne s'écrase contre la tour nord du World Trade Center. Pendant les minutes d'affolement et de stupeur qui s'ensuivent, on n'ose croire à un acte terroriste. Mais, dix-huit minutes plus tard, c'est la tour sud qui est visée par un autre avion. Les attentats feront au total 3 000 morts (à cause du meurtrier effondrement des deux tours symboles des États-Unis). Bientôt assimilé à un « acte de guerre », l'attaque terroriste du 11 septembre détermine l'administration Bush à poursuivre ses responsables - al-Qaida et son chef, Oussama Ben Laden - et leurs soutiens : en premier lieu l'Afghanistan des talibans, pays et régime contre lequel est lancée, avec l'aval du Conseil de sécurité de l'ONU, une guerre de représailles et de traque antiterroriste dès le 7 octobre suivant. Éclairage média Les chaînes françaises prennent aussi le relais du direct.

Les enjeux de l'évolution de l'OTAN 3. L'Afghanistan : une épreuve de vérité pour l'OTAN ? Les opérations de l'OTAN dans les Balkans auront été marquées par l'envoi d'une force aux effectifs substantiels puis une décrue progressive. L'engagement de l'OTAN en Afghanistan suit une logique inverse : un démarrage modeste suivi d'une montée en puissance des effectifs. - L'implication progressive de l'OTAN en Afghanistan L'OTAN n'avait pas nécessairement vocation à s'engager en Afghanistan. Alors que l'opération Enduring freedom se poursuivait en vue de combattre les troupes des talibans ainsi que les groupes d'Al Qaïda présents dans le reste du pays, la résolution 1386 du Conseil de sécurité en date du 20 décembre 2001, prise à la suite de la Conférence de Bonn, autorisait le déploiement autour de Kaboul d'une Force internationale d'assistance à la sécurité (FIAS) chargée d'assister les autorités intérimaires afghanes. - L'extension géographique des responsabilités de l'OTAN Etats-Unis : 14 000 hommes Royaume-Uni : 4 300 hommes

Doctrine stratégique : comment les officiers généraux pensent la guerre aujourd'hui. Entretiens à Conflits. | Conflits : Revue de Géopolitique Plusieurs officiers généraux ont accordé un entretien à Conflits pour exprimer leur pensée et leur analyse des situations militaires. Nous les regroupons ici pour donner à nos lecteurs un panorama complet. Généraux de l’armée de terre, de la marine, de l’aviation, du renseignement, ils aident chacun, avec leurs expériences et leurs réflexions à comprendre la guerre aujourd’hui. Sauf un, ces entretiens ont été donnés avant la guerre en Ukraine, il ne faut donc pas les lire comme une réponse à celle-ci. Nous indiquons ainsi le numéro et la date de parution des entretiens afin de les mettre dans leur contexte de l’époque. La pensée de ces officiers a pu évoluer ou être affinée depuis, il faut donc prendre ces entretiens pour ce qu’ils sont : un état de leur réflexion à un moment donné. La réalisation et la publication de ces entretiens a un prix. Liste des entretiens Général Pierre-Joseph Givre. Amiral Pierre Vandier, chef d’état-major de la Marine, N°38, mars 2022. Général Jean Fleury.

Un demi-siècle de conflit à Jérusalem expliqué en cinq minutes Activité : Le jeu des puissances dans les relations internationales depuis 1945 (Pour découvrir, s'entraîner réviser) Le jeu des puissances dans les relations internationales depuis 1945 Problématique : Comment se caractérise le jeu des puissances après 1945 dans un monde de plus en plus mondialisé ? Travail réalisé par Sophie Gheysen L’émergence de nouvelles puissances Le monde de la Guerre Froide Enjeux de puissances Compléments De la fin de la Guerre froide à aujourd' hui La situation de l' Europe La création de L'ONU Des puissances alliées Vers la Guerre Froide Le plan Marschall la jonction surl' Elbe des armées de libération , avril 1945. Affiche de F.H.K Henrion " Croix gammée écartelée par les efforts conjugués des quatre principaux alliés " , 1944 . A) Des puissances alliées : Durant la Seconde Guerre mondiale, la France, La Grande Bretagne, l'URSS et les États-Unis font partie du groupe que l'on appelle "les alliés". Expliquez comment ces deux documents mettent en avant les points suivants :- des puissances alliées- la défaite de l' Allemagne nazie Le jeu des puissances mondiales ELève et classe : Enseignant :

En images : retour sur vingt ans de guerre en Afghanistan Les Taliban, chassés du pouvoir fin 2001 par une coalition internationale menée par les États-Unis, redeviennent les maîtres de l'Afghanistan presque vingt ans plus tard, au terme d'une offensive fulgurante. L'Afghanistan se trouve, lundi 16 août, aux mains des Taliban après l'effondrement des forces gouvernementales et la fuite à l'étranger du président Ashraf Ghani. En 10 jours, le mouvement islamiste radical, qui avait déclenché une offensive en mai à la faveur du début du retrait des troupes américaines et étrangères, a pris le contrôle de quasiment tout le pays. Les Taliban reprennent donc le pouvoir, 20 ans après en avoir été chassés par une coalition menée par les États-Unis, en raison de son refus de livrer le chef d'Al-Qaïda, Oussama Ben Laden, dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001. France 24 vous propose de revenir sur l'histoire de ces deux décennies. L'offensive militaire américaine en 2001 Le 6 décembre, les Taliban capitulent. Avec AFP

Les deux guerres du Golfe (1991 et 2003) et leurs prolongements : d’une guerre interétatique à un conflit asymétrique La guerre Iran-Irak et ses conséquences (1980-1990) La guerre du Koweït résulte directement de la guerre Iran-Irak (1980-1988) qui a marqué le Moyen-Orient au fer rouge de la conflictualité. L’Irak de Saddam Hussein sort victorieux de cette guerre interétatique. Il s’agit cependant d’une victoire à la Pyrrhus car les pertes irakiennes sont très lourdes et le pays est alors surendetté. Pour repousser les vagues d’assaut iraniennes (l’Iran étant trois fois plus peuplé que l’Irak), le dictateur irakien a mené une guerre à crédit pendant huit ans qui lui a permis d’acheter sans compter des armes aux Occidentaux et aux Soviétiques. Dès lors, il défend le principe du maintien d’un prix élevé du baril de pétrole qui lui permet de renflouer ses caisses. La guerre du Koweït (1990-1991) Le 2 août 1990, Saddam Hussein lance son armée à la conquête du Koweït, ce qu’il réalise en 48 heures du fait d’un rapport de force militaire disproportionné. Une décennie de sanctions et de coercition (1992-2002)

Related: