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Dépendance aux jeux vidéo : les signes à surveiller

Dépendance aux jeux vidéo : les signes à surveiller
Problèmes scolaires, abandon du sport et de la vie familiale sont autant de symptômes caractéristiques d'un joueur pathologique. Enfermé dans sa chambre, votre enfant est accroché à son ordinateur, les yeux rivés sur son écran, hermétique à toutes remarques ou demandes tant son attention est retenue par son jeu vidéo et par les autres jeunes qui «en ligne» évoluent dans le même monde virtuel que lui… Est-ce grave docteur? Les nouvelles addictions : tel était le thème de la séance hebdomadaire de l'Académie de médecine qui s'est tenue mardi avec, notamment, la question de l'addiction des jeunes aux jeux vidéo. Or sur ce thème, Marie-France le Heuzey, pédopsychiatre à l'hôpital Robert-Debré à Paris, se veut à la fois vigilante et rassurante. Des études contradictoires «Il faut bien sûr regarder le nombre d'heures que l'enfant passe à jouer, mais il est difficile de déterminer un seuil exact», poursuit le médecin. » Les jeux vidéo n'empêchent pas de dormir

L'addiction à internet, un mal moderne La dépendance à internet touche de plus en plus de monde. C'est ce que révèle une étude allemande. Mais cette dépendance est-elle, comme certains l'entendent, une maladie mentale ? Une étude commandée par le ministère de la Santé allemand, parue le 26 septembre, révèle que plus d'un demi-million d'Allemands seraient dépendants à internet. L'addiction à internet, qui provoque l'isolement et le repli social, n'est pas forcément considérée comme une maladie au sens commun du terme, bien qu'elle se soigne. Accro à internet ou aux activités sur internet ? Contrairement à une addiction à la drogue ou à l'alcool, la dépendance à internet est à double tranchant : elle peut concerner le média en lui-même comme les activités que l'on peut y pratiquer (jeux en ligne, jeux d'argent, pornographie, achats etc). C'est d'ailleurs l'une des raisons qui fait que la population dépendante à internet ne constitue pas un groupe homogène. Les réseaux sociaux, simple phénomène de société ?

L'addiction aux jeux vidéo : mythe ou réalité ? Peut-on vraiment être dépendant aux jeux vidéo ? C'est la question que nous avons posée au Docteur Bruno Rocher, psychiatre spécialisé dans ce domaine. Pour ce médecin du centre de référence en la matière, la réponse est clairement oui. Peut-on, médicalement parlant, devenir dépendant aux jeux vidéo ? Pour faire le point sur ce dossier aussi passionné que passionnant, nous avons interrogé le psychiatre Bruno Rocher, expert en addictologie et spécialiste de l’addiction aux jeux vidéo ou aux jeux d’argent, qui officie au sein du très réputé Centre de Référence sur le Jeu Excessif, au CHU de Nantes. Pour le docteur Rocher, l’addiction aux jeux vidéo est une réalité. L’addiction et les pratiques excessives ne doivent pas être opposées, nous explique Bruno Rocher. « On parlera plus d’addiction quand, éventuellement, [le joueur] est tombé dans l’addiction par [le biais de la pratique excessive] mais qu’il va faire perdurer cette situation pendant deux ou trois ans.

Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent. Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Pour lire les autres épisodes de notre série de la semaine sur les Nouvelles addictions, consultez notre dossier : ici. Il faut faire le distinguo entre les moments excessifs et l’addiction. Dan Véléa : La e-dépendance et le concept de cyberdépendance sont apparus vers le milieu des années 1990. L’évolution des outils informatiques s’accompagne par la suite d’une véritable explosion de demande consultation. Lire ou relire plus tard

Jeu pathologique, jeu compulsif, ludopathie, dependance au jeu - définition, traitement Jeu pathologique « Pour gagner, puis pour étonner, enfin pour espérer. Il n'a pas misé seulement de l'argent mais sa vie elle-même.» Dostoïevski Présentation Le jeu fait partie de l’histoire de l’homme. 62% des français jouent au moins une fois par an. Voici un panel des comportements relatifs au jeu, du joueur occasionnel à la pathologie addictive : w Joueur occasionnel, social : usage occasionnel, festif. w Joueur professionnel : le jeu est à usage professionnel. w Les dépendants (ou addicts) : La personne dépendante est dans l'impossibilité de résister aux impulsions vers le jeu. Une définition diagnostique se doit de reprendre ces deux aspects : Echelle générale de dépendance On peut déduire des éléments ci-dessous un test général de dépendance, adapté également à l'alcool. Test (Cungi/Retz) Test du jeu pathologique Aucun test n'a valeur de diagnostic La plupart des joueurs compulsifs répondent « OUI » à au moins sept de ces vingt questions… Trois phases Conséquences w Suicide Jeu et recherches

Position du GREA sur l’hyperconnectivité | GREA - Groupement Romand d'Etudes des Addictions Introduction Le présent document présente la vision du GREA sur l’hyperconnectitivé (usage excessif des médias électroniques). Il fait suite à de nombreux échanges professionnels et s’appuie sur les résultats de la recherche en la matière. Les médias électroniques ont intégré le champ des addictions sans substance, appelé aussi «nouvelles addictions» ou «addictions comportementales». Au cours de ces dernières années sont apparues des offres de prévention et de traitement, et des spécialistes ont développé des compétences solides sur la question. Par le positionnement représenté dans ce document, les professionnels des addictions entendent participer à ce débat. Terminologie et définition Le GREA recommande d’utiliser les termes suivants: Hyperconnectivité pour aborder la problématique dans son ensemble. Compréhension de la problématique Le domaine des médias électroniques est en évolution constante. La parole des utilisateurs La prévention La réduction des dommages Le traitement

Jeux vidéo : un jeune joueur sur dix souffre de 'dépendance' aux Etats-Unis Selon une nouvelle étude, près d’un joueur américain sur dix âgés de 8 à 18 ans peut être considéré comme souffrant d’une « dépendance clinique » (cliniccaly addicted) aux jeux vidéo. Une étude en ligne réalisée en janvier par Harris Interactive a révélé que 23% des jeunes joueurs ressentent une « dépendance aux jeux vidéo ». Celle-ci touche environ un tiers des jeunes garçons interrogés et un peu plus d’une jeune fille sur 10. Selon cette étude réalisée sur un échantillon de 1178 enfants et adolescents américains, 44% des jeunes interrogés pensent également que leurs amis sont dépendants aux jeux vidéo. On estime que près de huit jeunes américains sur dix jouent aux jeux vidéo au moins une fois par mois, soit 94% de tous les garçons interrogés. Le temps consacré aux jeux vidéo varie en fonction de l’âge et du sexe. Ils consacrent également chaque semaine bien davantage de temps au jeu vidéo (24,5 heures en moyenne) et montrent une tendance à souffrir de troubles de l’attention.

Questions à Jean-Charles Nayebi 1. Depuis quand observe t-on un phénomène de cyberdépendance ? A quelle vitesse ce problème se propage-t-il ? Le terme « addiction à Internet » a été utilisé pour la première fois à Toronto en 1996, lors du colloque de l’American Psychological Association (APA). À cette occasion, la psychologue américaine, Kimberly Young, présentant ses recherches dans un article intitulé « Internet Addiction : The emergence of a New Clinical Disorder », a démontré que certains consommateurs manifestent une dépendance à Internet, de la même façon que certaines personnes deviennent dépendantes de substances toxiques, de l’alcool ou du jeu. De fait, comme pour les autres formes d'addictions, celle à Internet conduit à une diminution de la performance au travail et provoque des désordres conjugaux pouvant aller jusqu’à la séparation. Il y aurait une ressemblance plus spécifique entre la dépendance à Internet et le jeu pathologique. 2. Les auteurs citent de multiples formes de la cyberdépendance. 3. 4. 5.

Les jeux vidéos en chiffres - TPE : L’addiction aux jeux vidéo est-elle dangereuse pour l’homme? Les jeux vidéos en chiffres Début 2010, près de deux tiers (63,3 %) des Français déclarent avoir joué à des jeux vidéo au cours des six derniers mois. Le jeu vidéo est une pratique assez féminine : 52,1 % des joueurs sont des femmes au deuxième semestre 2009. L’âge moyen des joueurs s’élève à 35,6 ans, contre 41,3 ans pour l’ensemble de la population de référence. Un peu plus de la moitié des joueurs (50,5 %) ont plus de 35 ans et les 15-24 ans composent 21,0 % des joueurs. Les inactifs représentent 46,2 % des joueurs dont 9,6 % d’enfants. Cyberdépendance | Espace Pluriel Jeunes La cyberdépendance ou cyberaddiction est un fait ! Même si elle est souvent diabolisée, de nombreuses personnes sont touchés de bien des façons. C'est pourquoi nous nous sommes engagés le plus tôt possible dans la prévention contre ce nouveau phénomène. Nous mettons à la disponibilité de tous un dépliant et plusieurs affiches de prévention sur la cyberaddiction. Vous pouvez imprimer ces supports papiers et même les modifier selon vos besoins (il faut cependant que le sujet reste celui d'origine). Les affiches Vous êtes libres de les imprimer, de les diffuser et même de les modifier tant que le sujet reste la cyberdépendance. Affiches haute définition format pdf Le dépliant Voici un dépliant réalisé par la classe de 2nde Métiers Electrotechnique du lycée Latécoère d'Istres et l'Espace Pluriel Jeunes. Ce dépliant / flyer a été créé pour faire face au manque de documents papiers traitant de la cyberdépendance. Vous pouvez librement imprimer et utiliser ce dépliant. PDF à imprimer bonne qualité

Quelques chiffres Découvrez des chiffres intéressants sur les jeux de hasard et d'argent. Études et statistiques sur le jeu Sommes versées par Loto-Québec Études et statistiques sur le jeu Habitudes de jeu des Québécois En 2009, au Québec, 70 % des adultes québécois ont joué au moins une fois à au moins une forme de jeu de hasard et d’argent. * KAIROUZ, Sylvia et Louise NADEAU. Les suicides dont le jeu pathologique est un des facteurs Le phénomène du suicide est complexe et plusieurs facteurs entrent habituellement en ligne de compte lorsqu'un individu commet un tel geste. Source : Ministère de la Santé et des Services sociaux Sommes versées par Loto-Québec En date du 31 mars 2013, la Société avait versé au gouvernement 286 millions de dollars à la lutte contre le jeu problématique.

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