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Abadôn

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La Main de Singe P/oésie Semenoir | Maryse Hache en lien avec martine drai, entrée déjà au semenoir ici les petites chaussures enfance plastique transparent - c'est des méduses ou quoi - pour marcher sur beaux rochers bruns bretons et fouiller les creux avec filets et pêcher crevettes et les lâcher plus loin dans un autre creux à petite flaque de mer les sandales nu-pieds à petites lanières cuir marron vacances ; quelle pointure, 33-34 ; eau de mer en plages, sel, pluie ; macadam quiberon, macadam préfailles, macadam belle-île, macadam le portel ; elles courent, elles sautent, elles gambadent, elles jouent à la marelle, un deux trois jusqu'à ciel, elles jouent à la corde, à la balançoire, à cache-cache, elles jouent au yoyo, au badminton, au jokari ; elles font la course avec soeurette ; ellles se lancent courir confiance mille à l'heure jusque dans des bras qui la soulèvent et qui la font fournoyer dans les airs comme astre en sa révolution chaussures cuir de nos grandes bêtes abattoirs alènes tranchets clous tiens te voilà scrupule

Fuir est une pulsion | Guillaume Vissac fuir est une pulsion Le voyage alors n’a plus rien du voyage : c’est l’immobile, vraiment, plomb épais de l’attente contre lequel la femme du (...) La nouvelle existence étiole les souvenirs des anciens gestes, des anciennes coutumes, des anciens modes de vie (...) pêle-mêle - Blog LeMonde.fr Maison de la Poésie La Maison de la Poésie de Grasse est un service municipal dépendant de la Bibliothèque Municipale. Avec le soutien de la Ville de Grasse, le Conseil Régional, la Direction Régionales des Affaires Culturelles PACA, le Centre National du Livre, … En partenariat avec L'Association Podio, le Rectorat de l'Académie de Nice, les structures culturelles de la Ville de Grasse (Théâtre, Musées, Conservatoire, Espace Culturel Altitude 500), le Printemps des Poètes, l'Education Nationale. La maison de la poésie de Grasse est membre de la fédération européenne des maisons de poésie

L’Oreille tendue | Benoit Melançon L e f l o t o i r | Florence Trocmé Barthes et Gide, les quatre points Aliocha Wald-Lasowski, dans Le jeu des ritournelles, distingue quatre points qui selon lui rapprochent Roland Barthes et André Gide : le protestantisme, le piano, l’écriture, le désir. (157) : « quatre temps, qui n’en font qu’un, de l’éthique du désir aux pratiques -piano, écriture- de la jouissance. À quoi s’ajoute un cinquième terme : tous les deux sont essentiellement lecteurs. L’auteur ajoute : « Une phénoménologie tactile et discrète unit les deux penseurs contre l’homogénéisation des œuvres monumentales, à laquelle s’opposent, en permanence, la souplesse et le déplacement dans l’approche de l’écriture. ». Il s’agit pour l’esprit souple de se dégager des assignations théoriques, d’échapper à l’emprise des discours et des disciplines et de se tenir dans l’entrelacs du sens et du sensible. (157) De la voix « Ce que Barthes ne retrouve pas dans le débit trop appuyé des chanteurs barytons Gérard Souzay ou Dietrich Fischer-Dieskau » Et le merle ?

Cousu main Chemins battus | La poésie ou… la poésie Analogos | Francis Royo

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