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La grande distribution va gagner la bataille du e-commerce par Pierre-Alain Baly - Chronique e-Business

La grande distribution va gagner la bataille du e-commerce par Pierre-Alain Baly - Chronique e-Business
Plus simple, plus pratique, plus rapide, plus compétitif et plus performant... les consommateurs connaissent les qualités de la grande distribution. Après des années de discrétion dans le monde du e-commerce, ces marchands sortent leurs griffes et séduisent tous les jours de nouveaux clients. Pour l'acheteur : l'essayer c'est l'adorer ! La grande distribution a déjà conquis les clients ! Des millions de clients fidèles : toutes les familles françaises fréquentent une ou plusieurs chaînes de supermarché. Le chaînon manquant indispensable à la croissanceEncore incomparable en terme de volume financier avec les ventes du monde réel, le chiffre d'affaires online est tout à fait stratégique. Trop tard pour les autres acteurs ? Continuer d'accroître l'offre produits pour ne pas être déceptive sur la promesse d'un grand choix qu'attendent les clients.

Cora, Facebook et la com' de crise : le supermarché se trompe de rayon En menaçant de licencier une caissière suspectée d’avoir empoché un coupon de réduction de 1€ laissé par un client, la direction d’un supermarché mosellan de la chaîne de distribution de Cora s’est retrouvée prise au piège d’une implacable crise réputationnelle. Une crise mixant pression sans relâche des médias sociaux et emballement médiatique traditionnel face à laquelle les dirigeants de Cora ont vite été désemparés. Leur réaction maladroite n’a fait qu’empirer un problème qui aurait pu être traité avec plus de doigté et d’humilité. Au-delà de cette polémique qui a agité les médias et la blogosphère, l’affaire Cora est également symptomatique d’une ère nouvelle où la communication des entreprises ne pourra plus se contenter de faire de la com’ de crise à l’ancienne. Un contexte sociétal plutôt délétère Ce n’est un secret pour personne. 85 % des salariés souffrent de troubles musculo-squelettiques, affections dont le nombre a été multiplié par six dans ce secteur d’activités.

Comment le "drive" va révolutionner nos hypermarchés Le principe : on achète en ligne, puis on va chercher sa commande. A peine besoin de descendre de voiture. Et ça change tout ! Christophe Bacot n’est pas peu fier de son coup. Cet heureux propriétaire du Leclerc de Verdun vient d’ouvrir un deuxième point de vente dans le coin. Sur les plates-bandes d’un Cora et à une poignée de kilomètres du centre-ville et de ses supermarchés. Abonnez vous à l'édition digitale L'application MyAuchan Phoceis, société spécialisée dans la conception et le développement d’applications mobiles, a développé pour Auchan une application livrant des informations sur les produits commercialisés par l'enseigne. Quand un client scanne le code barre, MyAuchan le renseigne sur l'origine du produit, sa composition, la présence ou non d'allergènes, la valeur énergétique. L'application donne également des idées de recettes et des conseils d'utilisation. En complément, une application de reconnaissance photographique des produits facilite la préparation de la liste des courses : il suffit à l'utilisateur de passer son mobile devant le produit désiré pour qu’il s’ajoute automatiquement à sa liste. L'application est disponible sur iPhone, Android et Windows Mobile.

Les Français et les points de vente connectés Dans le cadre d’une rentrée marquée par un contexte de crise économique et de fortes tensions sur le pouvoir d’achat, Wincor Nixdorf, partenaire stratégique des banques et des magasins, et l’Ifop, ont interrogé les Français pour mieux connaître leurs comportements d’achat, leurs perceptions et leurs attentes à l’égard des points de vente. Cette étude permet de mieux comprendre qu’Internet a profondément changé les habitudes de consommation des Français, et pousse les points de vente à s’adapter et à proposer de nouveaux services connectés. Echantillon de 1005 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l'échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération.

La MDD de Casino 'Bien pour Vous' mise sur le brand content Il semble loin le temps où les MDD faisaient pâle figure devant les grandes marques. Longtemps taxées de "sous-marques", elles investissent de plus en plus le territoire d'expression des grands noms de la grande consommation. C'est le cas de la MDD "Bien pour Vous" du groupe Casino. Lancée en janvier dernier avec 60 références dans 6 500 points de vente, cette nouvelle marque s'articule autour de quatre pôles principaux : forme, protection, alimentation spécifique et sport. Le site de contenus Structuré autour des quatre pôles de la gamme, le site "MDD" offre une navigation avec plusieurs entrées. À travers une série de vidéos, quatre experts reconnus, Arnaud Cocaul, médecin nutritionniste, Nathalie Walylo, coach sportif, Alain Perreve-Genet, cardiologue et Virginie Bales, diététicienne, délivrent conseils et astuces aux internautes pour rester en forme. Un coaching nutrition

Un hypermarché E.Leclerc entièrement équipé d'étiquettes électroniques sans contact Tyler Olson /shutterstock.com (Relaxnews) - Avec l'ouverture du nouveau centre commercial So Ouest, à Levallois (Hauts-de-Seine), le centre E.Leclerc donnera accès à son tout premier hypermarché équipé intégralement d'étiquettes électroniques sans contact. La nouvelle génération de courses "sans contact" comptera, à partir du jeudi 18 octobre, sur un nouveau membre de la grande distribution : E.Leclerc. Dans la mouvance des annonces qui se succèdent, le distributeur a installé dans les rayons de son nouvel hypermarché, situé au sein du centre commercial So Ouest, à Levallois, en région parisienne, des étiquettes électroniques qui divulguent toutes sortes d'informations. Une application mobile dédiée Plusieurs conditions entrent en jeu pour profiter de cette technologie sans contact. A la clé : des détails sur la composition, l'origine et la fabrication des produits des marques E.Leclerc, telles que "Conso Responsable", "Marque Repère", "Eco+" et "Nos Régions ont du Talent". A lire aussi

Le hard discount français deviendrait-il plus soft ? Le Centre régional d’observation du commerce, de l’industrie et des services (Crocis) rend publique une étude sur le modèle du hard discount baptisée “Le modèle hard discount mis à l’épreuve”. Après un peu d’histoire sur le modèle importé d’Allemagne à la fin des années quatre-vingt, on y apprend que si 16 enseignes sont présentes en France, seules cinq d’entre elles sont réellement dynamiques. Après les leaders historiques Lidl et Aldi, on retrouve les filiales de grands groupes Leader Price (Casino), Ed-dia (Carrefour, en passe d’être démantelée) et Netto (Intermarché). En Île-de-France Après une croissance soutenue du modèle économique, les hard discount accusent une baisse de régime amorcée avec la crise de septembre 2008. « Le modèle est donc condamné à évoluer », selon Julien Tuillier, auteur de l'étude du Crocis.

Ménage à trois entre les français, le web Le mois dernier, une étude du cabinet OC&C, réalisée dans huit pays affirmait que les consommateurs préfèraient les magasins physiques d'une enseigne plutôt que son site internet. Aujourd’hui, mercredi 10 octobre, une autre étude menée par l’Ifop et Wincor Nixdorf affirme l’inverse. Selon elle, les français penchent pour le web pour faire leur course. Tandis qu’à l’inverse, près de 70% des consommateurs affichent leur désamour grandissant pour les grandes surfaces, trop chronophages à leur goût. Triste sort pour les rayons. Et alors qu’ils divorcent d’avec la GMS, les français se réfugient aussitôt sur leur souris, pour la faire flâner sur les sites web. Mais ce sont les magasins de loisirs culturels qui préside dans le cœur des français comme lieux d’achats préférés avec 74% d'appréciation. Du contenu et de l’autonomie Si le web s’est imposé comme lieux d’achats, c’est en partie grâce aux informations sur les produits et les prix. 50% des sondés y passent entre une et trois heures.

Auchan City, la nouvelle enseigne du groupe nordiste ouvre à Tourcoing Auchan fait encore un pas vers la diversité de ses formats. Après, l'ultra proximité avec A2Pas à Paris, le groupe inaugure à Tourcoing Auchan City. Il s'agit, selon un communiqué du groupe, “d'un magasin urbain de 4 000 m2 au cœur du centre commercial Espace Saint-Christophe. Ce petit hypermarché est ouvert de 8 h 30 à 20 h 30, ainsi que le dimanche matin. Intermarché et ses idées fraîches Intermarché* a décidé de devenir l’enseigne de distribution la plus fraîche. Elle a choisi de combattre la vie chère et de donner aux consommateurs les moyens d’améliorer leur qualité de vie en s’appuyant sur un pilier, le développement durable. Par ses actions (optimisation de la démarche HQSE, développement des achats et de la consommation responsables et diminution de l’empreinte écologique), Intermarché souhaite assurer une posture qui l’engage dans la durée et permette d’intégrer le respect de l’environnement et l’équité sociale dans un modèle économique efficace. Le développement durable dans sa globalité, c’est-à-dire la proximité et l’adaptation locale, la citoyenneté et les engagements RSE, devient dorénavant un premier filtre à l’action de l’entreprise dans son positionnement. Une campagne publicitaire fraîche Les marques distributeurs adoptent la "fraîche attitude" Un produit vendu sur deux chez Intermarché est une MDD. Un logo rafraîchi

Le drive, un modèle économique décrypté L'étude “Le drive, au-delà des évidences”* vient d'être rendue publique au siège de l'Institut français du merchandising (IFM). C'est la première étude du genre en France. Menée par le cabinet d'études marketing Parabellum en collaboration avec le CNRS et l'Institut de gestion de Rennes (IGR), elle décrit le comportement des “drivacheteurs” et démonte quelques idées reçues. Les principaux enseignements Le panier moyen à 101 euros est un marqueur fort de l'étude. Le drive est un format nettement moins féminin que l’hyper. Enfin 96 % des clients de drive disent l’utiliser comme magasin principal. Typologie des produits achetés Tous les produits, sans exception, sont achetés via ce canal. * Étude menée conjointement avec le CNRS et l'Institut de gestion de Rennes, auprès de 984 clients, du 16 octobre au 10 décembre 2010. 30 questions posées auprès de clients de drive dans le Grand Ouest.

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