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Obésité chiffres - L'hexagone de plus en plus rond

Obésité chiffres - L'hexagone de plus en plus rond
L'obésité ne cesse de progresser en France depuis quelques années. Cette tendance est suffisamment alarmante pour être un véritable enjeu de santé publique. Les députés l'ont bien compris et viennent d'adopter des mesures pour lutter contre les mauvaises habitudes alimentaires de nos enfants. Il est fini le temps où l'on pouvait s'horrifier de l'épidémie d'obésité massive qui sévit aux Etats-Unis. 4 Français sur 10 trop gros Les enquêtes ObEpi menées, en 1997, 2000 et 2003, auprès de 20 000 foyers pour l'Institut Roche de l'obésité, en collaboration avec l'Inserm, donnent une image très fidèle de cette évolution 1. La situation est encore plus alarmante chez les enfants. L'épidémie mondiale Aux Etats-Unis, le pourcentage d'adultes en surpoids est passé de 47 % en 80 à 64 % en 2000. et celui des obèses de 15 % à 31 %. L'évolution est similaire dans toute l'Europe, mais elle est plus ou moins rapide selon les pays : le sud étant plus touché que le nord. Obésité ou surpoids ? Sources :

Statistiques surpoids - Nombre obèses France - Obèses Etats-Unis - France: environ 33 % (20 millions) des Français seraient en surpoids (avec toutefois de fortes disparités Nord-Sud) et environ 10 % (6 millions de personnes) des Français seraient obèses selon des chiffres de 2009 (enquête de ObEpi Roche). - Aux Etats-Unis: 34% des Américains sont obèses, certaines sources parlent toutefois de 27.6% d'obèses aux USA (année 2012). Si on retient le chiffre de 34%, il y avait 72 millions d'adultes obèses aux Etats-Unis, dont 33,3 % d'hommes et 35,2 % de femmes en 2005-2006, selon cette étude qui tous les deux ans porte sur 4400 adultes. Aux Etats-Unis, ceux qui ont entre 40 et 59 ans ont plus de risques d'être obèses: 40 % des hommes de ce groupe sont obèses contre 28 % lorsqu'ils ont entre 20 et 39 ans. Parmi les femmes, 41 % des 40-59 ans sont obèses. L'obésité touche davantage les minorités: plus d'une femme noire sur deux est obèse (53 % des 40-59 ans), de même pour les Hispaniques (51 %) tandis que les femmes blanches sont obèses à 39 %.

Éducation à l'alimentation - Une éducation à l'alimentation précoce et durable Pourquoi une éducation à l'alimentation et au goût à l'école ? L'alimentation fait pleinement partie de la culture française. À ce titre, l'école doit transmettre aux élèves ce patrimoine essentiel pour leur permettre de développer leur goût, leur connaissance de l'excellence gastronomique et de la richesse de l'agriculture française. Cela leur permet aussi d'apprendre à s'alimenter sainement dans le respect de l'environnement. De plus, l'alimentation joue un rôle socialisant déterminant. Tous les élèves, de la maternelle au lycée, sont concernés. Si un certain nombre de ressources éducatives visent le niveau primaire - car c'est un âge où ce type d'actions a le plus d'impact en matière d'évolution des habitudes alimentaires -, l'éducation à l'alimentation dans les écoles, collèges et lycées peut être appréhendée par un ensemble d'acteurs dans ses différentes dimensions : nutritionnelle ;sensorielle, puisque l'éducation au goût est complémentaire de l'approche nutritionnelle.

obésité Peut-on parler véritablement de crise ? En Europe pas encore, mais lorsqu’on sait qu’aux Etats-unis, le taux d’obésité chez les adultes est de 34%, on peut se poser la question. Le comportement alimentaire américain s’importe de mieux en mieux en Europe, et notamment en France, où le taux d’obèses et de personnes en surpoids ne cesse d’augmenter chaque année. Les conséquences d’un tel phénomène sont graves, au-delà du bien-être personnel. Le cortège de pathologies associées à la malbouffe est grand (problèmes cardio-vasculaires et diabète de type II en tête), les coûts associés sont terribles et tout cela à cause d’une crise du système alimentaire. Peut-on jeter uniquement la pierre aux différents acteurs de la chaîne alimentaire qui nous poussent toujours plus à consommer ? L’OMS a lancé en 2002 un appel retentissant contre la sédentarité. Dans notre beau pays de France… Les cartes suivantes montrent l’évolution de la prévalence de l’obésité en France (source INSEE) : Outre-Atlantique

Les facteurs de la malbouffe. Les chiffres de l'obésité - Obésité-Santé L'obésité dans le monde Le surpoids concerne 1,4 milliard de personnes de 20 ans et plus dans le monde (estimations mondiales de l'OMS). D'ici 2030, le nombre de personnes en surpoids devrait atteindre 3,3 milliards. Le surpoids et l'obésité représentent le cinquième facteur de risque de décès au niveau mondial et fait au minimum 2,8 millions de victimes chaque année. source : Organisation Mondiale de la Santé (OMS) - "Obésité et surpoids" - Aide-mémoire N°311 En France 6,5 millions de personnes sont considérées comme obèses (soit 14,5% de la population adulte). L'augmentation de la prévalence est observée dans toutes les tranches d'âge de la population, y compris les seniors. source : "Enquête épidémiologique ObEpi - Roche 2009" Les chiffres clés - Obésité-Santé Obésité dans le monde1 adulte sur 10 2009 : 1,4 milliards 2030 : 3,3 milliardsObésité en France 2009 : 6,5 millions L'enquête de l'ObÉpi

La malbouffe définition. Les effets d'une mauvaise alimentation : les fast food, la restauration rapide, hamburgers, etc. Les fast food sont très souvent associé à la malbouffe, à une mauvaise alimenation : quels sont les effets, les conséquences sur la santé des fast food ? Au mépris des besoins diététiques, différents par rapport à l’âge et à l’activité des personnes, la nourriture des fast foods est une vaste étendue d’homogénéité. En effet, que vous soyez un enfant, un adolescent, un adulte, une personne agée, malade ou en bonne santé, actif ou sédentaire, enceinte, etc. La nourriture des fast food est en générale : Trop riche en gras. Trop riche en sucre et en sel. Trop riche en produits chimiques. Pauvre en fibres végétales. Pauvre en vitamines. Prenons par exemple le menu typique : hamburger, frites, coca-cola et ketchup. Ce type d’alimentation ne contient que 3 saveurs sur 6 : sucré, salé et acide. Ce type de nourriture est tellement apprécié par les occidentaux car elle aide à calmer les problèmes émotionnel comme par exemple le stress. Les effets de cette nourriture à court terme : Une léthargie

Enfants : plus d’écrans, plus de pub et… de surpoids in The conversation, juin 2017 Offensive groupée contre le surpoids chez les enfants à l'échelle de l'Europe. Le 16 juin, les 28 ministres de la Santé de l’Union ont adopté des conclusions du Conseil de l'Union européenne visant à encourager la lutte contre l'obésité infantile. Peu avant, l'organisme qui fédère plusieurs associations de consommateurs, le Bureau européen des unions de consommateurs (BEUC), a rendu publique sa note d'information sur les mascottes et personnages de dessins animés utilisés sur les produits alimentaires. Le Beuc reproche à Tony le tigre, la mascotte éternelle des céréales Frosties ou à Quicky, le lapin du chocolat en poudre Nesquik, de promouvoir des aliments peu sains. Vous avez peut-être souri au cinéma, en voyant la publicité mettant en scène des M&M’s voyageant dans un taxi. Avec la multiplication des écrans, la promotion des produits alimentaires et des boissons a pris mille et une formes nouvelles. L’offensive publicitaire est multiple, imaginative, astucieuse.

Sociologie de la malbouffe Avec Guy Paillotin, secrétaire perpétuel de l’Académie d’agriculture Manger mal n’est toujours pas un choix ; cela dépend en partie de votre situation sociale. Les « nouveaux pauvres » étant de plus en plus nombreux en France, ils sont tous aussi nombreux à s’exposer aux risques d’obésité, de cancers, de maladies cardio-vasculaires... Le terme de malbouffe apparaît en 1980. En France, depuis les années 1950, le prix des fruits et légumes frais a augmenté beaucoup plus vite que l'indice général des prix, et le prix des corps gras beaucoup moins vite. L'étude réalisée par France Cavaillet montre qu'il n'est pas facile de bien s'alimenter à un faible coût. Les ménages défavorisés consacrent une part plus importante de leur budget à l'alimentation (22% pour les ménages en dessous du seuil de pauvreté contre 18% en moyenne) (4 € par personne et par jour contre 6,3 € pour la population totale). © Canal Académie - Tous droits réservés (moyenne de 3,4 pour un total de 37 votes) Déjà abonné ?

Les dessous des fast-foods américains ne sont pas très ragoûtants ALIMENTATION - 8 Américains sur 10 mangent dans un restaurant rapide au moins une fois par mois. Et un sur deux, une fois par semaine. Avec 263 944 fast-foods en 2012, le moins qu'on puisse dire, c'est que les Américains en raffolent. Ce serait peut-être moins le cas s'ils avaient en tête les images repérées par le HuffPost américain lorsqu'ils franchissent la porte de leur restaurant préféré. Parce que la France n'est pas en reste, ce qui suit va probablement vous intéresser. Lire aussi:» Le fast-food est le nouveau leader de la restauration en France » Les ingrédients de certains nuggets de poulet ne vont pas vous plaire Un délicieux sandwich aux œufs de Subway Si seulement ce n'étaient que des œufs David DiSalvo, qui écrit chez Forbes, a enquêté sur ces œufs. Le glycérol est toutefois une substance naturelle. En France, Subway ne propose pas de formule petit déjeuner. Mmmmh, les bons McNuggets Sauf qu'en fait... " [...] Un taco "Doritos Locos" de Taco Bell, une chaîne à thème mexicain

Vieux-Condé : une conférence sur la malbouffe - Vieux-Condé Avec près de 15 % de sa population en situation de surpoids ou d’obésité, la France est à l’aube d’un grave problème de santé publique. Bien des origines peuvent expliquer cette maladie : génétique, symptôme dépressif ou dysfonctionnement hormonal. Ce samedi, Cindy Bredel, diététicienne à l’association Chaafip Prévention, a présenté lors d’une conférence l’une de ses causes : la malbouffe. Qu’appelle-t-on malbouffe ? « La malbouffe peut se définir d’une façon très simple. Le retour de Burger King en France est donc synonyme de mauvais jours à venir ? « Non. Existe-t-il un public particulièrement vulnérable à cette malbouffe ? « Effectivement, certaines personnes sont plus enclines que d’autres à consommer ce type de nourriture, mais il faut bien différencier deux catégories. Certains préjugés ont la vie dure. « C’est faux, cela ne coûte pas plus cher.

Les Françails gagnés par la malbouffe ! Trop de viandes et de graisses animales, pas assez de céréales et de légumes secs. Des repas dans l'ensemble trop salés. Le grignotage devant la télévision en hausse, les repas traditionnels d'autrefois en baisse… Dans un rapport rendu public le 15 juin 2000, le Haut Comité de la Santé Publique dresse un constat mitigé de l'alimentation des Français d'aujourd'hui. Et propose quelques mesures concrètes pour nous réconcilier avec "la bonne bouffe". "Pour une politique nutritionnelle de santé publique en France ; enjeux et propositions", tel est le nom de ce rapport officiel dont les conseils seront probablement bien utiles à nombre de nos compatriotes. Un bouleversement des habitudes alimentaires Trop de sel, trop de sucre... La consommation des plats riches en sucres simples d'absorption rapide, comme les gâteaux et les glaces est, ainsi, passée de 1 kg par an et par habitant en 1960 à 14 kg par an et par habitant en 1995 ! Quels enjeux pour notre santé ? Obésité et ostéoporose...

Comment éviter les pièges de la malbouffe? Dans un autre registre mais tout aussi inquiétant, il s’agit des mauvais comportements alimentaires. Certains l’ont déjà rebaptisé la malbouffe. Manger rapidement, trop et mal, à une période où l’on court après chaque minute, vos repas sont mal traités. Il est temps de tirer la sonnette d’alarme! C’est grave docteur? Les Français ont beau faire de la résistance, à l’époque où modernisation se conjugue avec surconsommation, la malbouffe gagne du terrain. Réduisez vos apports en graisse et en sucre. Souvent, les bonnes résolutions « cette année, je mange mieux » qui suivent les fêtes et leurs excès alimentaires ne tiennent qu’un temps. Mais à y regarder de plus près, personne ne vous oblige à passer d’un extrême à l’autre! Manger sain en se faisant plaisir, c’est possible. La malbouffe est devenue un véritable enjeu de santé publique. Certains ont déjà pris conscience de ce fléau.

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