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Faut il avoir une stratégie de marque sur le web social

Faut il avoir une stratégie de marque sur le web social
Résumé : la présence des marques sur internet est une préoccupation majeure des entreprises sur le web social. Mais entre se penser et penser son action comme une marque ou comme une organisation implique, au delà des mots, des différences majeures. La marque est l’expression d’une identité, l’organisation s’inscrit dans une logique d’action au service du client. Les deux doivent aller de paire mais, malheureusement, le canal social est souvent la propriété exclusive des responsables d’une des deux approches, au détriment de l’autre. Le client, s’il apprécie le paraitre, valorise surtout l’exécution de la promesse comme le montrent de récentes études. Il ne se passe pas un lancement de plateforme, outil ou service nouveau en ligne sans que n’arrive la grande question : comment les marques vont elles pouvoir y exister. Quelle est la différence entre une marque et une organisation ? Une marque est une affaire d’identité. « Voilà qui/ce que je suis, ce que j’incarne, mon image ». Google+

Pages Facebook Avec plus de 500 millions d'utilisateurs, Facebook est devenue la plateforme de réseau social incontournable. Un véritable eldorado pour les grandes marques qui n'ont pas hésité à l'utiliser pour promouvoir leurs produits, via les fan-pages ! De plus, pas besoin d'être une multinationale pour avoir sa page sur Facebook ! Leur création est gratuite et même les PME peuvent communiquer sur Facebook ! Quels objectifs pour la page Facebook ? La création d'une page Facebook peut répondre à plusieurs objectifs. Recruter sur Facebook Certaines entreprises n'hésitent pas à créer une page entièrement dédiée au RH. Trouver des prospects et des partenaires En communiquant sur l'activité de votre entreprise et ses besoins, vous pouvez aussi trouver des prospects depuis Facebook. Effectuer de la veille En recherchant des pages et des groupes Facebook liés à votre secteur d'activité. Faire de la publicité Développer son « capital social » Quelles informations diffuser, comment communiquer ?

Le marketing communautaire Utilisation des communautés pour le marketing Les besoins des consommateurs sont recensés selon une pyramide : celle de Maslow. Besoins physiologiques, de sécurité, de reconnaissance, d’estime de soi, d’accomplissement. Sur le web il est possible de répondre aux besoins de reconnaissance et d’estime des consommateurs en les fédérant au sein d’une communauté virtuelle puis en l’animant. Faisant ainsi en sorte de créer des liens entre les consommateurs et un sentiment d’appartenance à la même communauté. Quelles communautés devez-vous fédérer en priorité? La communauté qui gravite autour de votre blogLa communauté reliée à vos réseaux sociauxLa communauté reliée aux sites d’avis référents dans votre domaineLes wiki Ces communautés regroupent un ensemble de personnes possédant les mêmes valeurs ou des intérêts communs et qui échangent et partage grâce à cette communauté. Ces communautés vous permettront de: Comment animer vos communautés ? Playstation : Amazon : Mymajorcompany

5 étapes clés pour réussir à définir sa présence sur les médias sociaux Il est nécessaire, afin de définir une présence cohérente pour sa marque ou son entreprise sur les médias sociaux, d’effectuer un important travail d’analyse et de réflexion en amont, pour déterminer des règles de base, puis un plan d’action. Cette intégration dans une démarche conversationnelle passera par plusieurs étapes clés, pouvant être résumées par les 5 points suivants : 1. Écouter Il convient tout d’abord d’écouter les conversations autour de ses produits ou services, analyser l’e-réputation de sa marque sur Internet, identifier les lieux de conversations, les codes de langage utilisés...Un audit sur sa présence numérique et celle de ses concurrents doit donc être effectué. 2. Il convient ensuite de partir de l’ADN de la marque, de définir ce que cette dernière veut raconter sur les médias sociaux, l’expérience qu’elle souhaite proposer, et d’identifier la valeur ajoutée qu’elle peut apporter, au travers de sa présence, de son contenu et de ses publications. 3. 4. 5.

Influenceur tu ne m’influences plus L‘influence est un terme utilisé à tort et à travers sur les réseaux. On l’utilise pour des classements d’influence qui n’ont pas de réelle valeur, sauf pour celui qui est dedans ou pour citer des blogueurs dans des stratégies RP 2.0. Quelles sont les limites de l’influence ? Effet de mode, tentative de manipulation de masse ? Comment rééquilibrer les pouvoirs entre l’influenceur et la marque ? L’influence entre besoin d’existence et d’estime Pouvons-nous vraiment parler d’influence aujourd’hui sur les réseaux ? C’est une question que je me pose depuis quelques temps déjà avec l’envie d’écrire cet article, comme une réflexion et non un jugement arrêté. Sur les Internets, le terme « d’influenceur 2.0 » est arrivé en même temps que les réseaux sociaux. Cette influence était massive et vraie. Avec les réseaux sociaux, l’influence communautaire s’est transformée en une influence d’égo, je m’explique. Auparavant les communautés étaient constituées de pseudonymes. Marguerite Duras Vincent4

Les tendances des réseaux sociaux en 2013 en B2B - Institut Kinoa Où en sommes-nous sur les tendances des réseaux sociaux en 2013 pour les entreprises B2B ? Petit tour d’horizon des outils et autres nouveautés que toutes entreprises B2B « sociales » se doit de connaitre pour cette nouvelle année ! C’est l’heure fatidique des bilans et des bonnes résolutions. Avec L’Institut Kinoa, nous vous proposons de bien démarrer l’année en faisant le point sur les tendances des réseaux sociaux en 2013. Facebook continuera-t-il son action sur la piste commerciale ? Twitter va-t-il séduire les annonceurs ? Prenez connaissance des dernières nouveautés en matière de réseaux sociaux en 2013 ! Téléchargez notre support de présentation ci-dessous ! Vous pouvez télécharger notre support de présentation en complétant le formulaire ci-dessous : * Champs obligatoires

Le néo-consommateur : une espèce en voie d’apparition ou le consommateur 2.0 Le consommateur d’aujourd’hui aspire à consommer différemment. Il a d’autres envies, d’autres ambitions pour lui-même et est en train d’adopter de nouvelles habitudes de consommation. En effet, si la crise économique de 2008 est à l’origine de l’émergence du néo-consommateur, celui-ci est cependant le fruit de mutations plus profondes qui ont donné naissance à de nouvelles tendances de consommation. 1. L’attention des consommateurs a toujours été focalisée sur leur pouvoir d’achat. Cette crise de 2008 a tout d’abord entrainé une perte de repère de la part des consommateurs, qui se sont alors réfugiés dans les valeurs sûres : la recherche de prix bas, ou tournés vers de nouveaux médias pour consommer. 1.1 Une perte des repères de la part des consommateurs D’après une étude du CREDOC [1], en 2008, le niveau du moral des Français est à un niveau extrêmement bas, à cause du contexte économique certes, mais également à cause de la perception erronée de la baisse de leur pouvoir d’achat. 2.

Médias sociaux & mobilité : effet de mode ou réelle tendance ? Jeune hyperconnecté et asocial Personne passionnée. Dans la bouche de ceux qui l’utilisent, le terme «geek» marque souvent un retrait voire une rupture avec les usages et les usagers du numérique. Poudre aux yeux ? Bourdonnement du web visant à faire (beaucoup) de bruit sur peu de temps. Le double risque : en plus d’être difficile à contrôler, «faire du buzz» n’est pas une fin en soi Communiquer sur les médias sociaux c’est parler de moi Animer ses médias sociaux c’est avant tout répondre aux attentes de son public. Tendances : de la frénésie de consommation à la résignation Le Marketing Book 2012 de TNS Sofres, passé au format 100% numérique en septembre dernier, s'enrichit aujourd'hui d'un nouveau chapitre dédié aux tendances transversales émergentes, ces comportements en devenir, qui pourraient transformer profondément la consommation des Français demain. Au-delà des " grands classiques " que sont devenus la naturalité, le plaisir, la praticité, auxquels les marques se réfèrent depuis une vingtaine d'années, pour concevoir et promouvoir leurs offres, les experts du Marketing Book dégagent aujourd'hui, quatre grands courants, qui se sont fait jour : jouissance, sécurité, responsabilité et rébellion. En les mettant en regard de l'offre des marques, ils décryptent les profils de consommateurs associés, leurs comportements et leurs attentes. " Les jouisseurs " : Selon la typologie Marketing Book, ils représentent un petit tiers des Français (30%). " Les sécuritaires " : parmi eux, on identifie deux catégories de consommateurs.

Internet 2012 in numbers Posted in Tech blog on January 16th, 2013 by Pingdom There is so much happening on the Internet during a year that it’s impossible to capture it all in a blog post, but we’re going to give it a shot anyway. How many emails were sent during 2012? How many domains are there? What’s the most popular web browser? To bring you these answers, we’ve gone to the ends of the web – wherever that is – and back again, and compiled a list of truly fascinating facts about the year that was. Email Web pages, websites, and web hosting Web servers -6.7% – Decline in the number of Apache websites in 2012.32.4% – Growth in the number of IIS websites in 2012.36.4% – Growth in the number of NGINX websites in 2012.15.9% – Growth in the number of Google websites in 2012. Domain names Internet users Social media Web browsers Search Mobile Video Images

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