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Marché financier

Marché financier
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le marché financier est une variante et une illustration particulière du phénomène de marché. L'expression est également employée au pluriel : "Les marchés financiers". Le terme renvoie à une double signification : - C'est d'abord un lieu où différents types d'acteurs peuvent s'échanger des capitaux au comptant ou à terme, effectuer des transactions sur des actifs financiers et -de plus en plus- sur des produits dits "dérivés". - C'est aussi le mécanisme de moins en moins "géographique" et de plus en plus "abstrait"," dématérialisé","virtuel" par lequel sont agrégées -en temps réel et de façon de plus en plus continue- les offres des vendeurs et les demandes des clients en vue de déterminer une cotation (un taux ou une valeur). Cette tendance ne signifie pas pour autant que ces marchés soient dépourvus de toute réalité. Les raisons de la croissance des marchés financiers[modifier | modifier le code] - Lors du Flash Crash de 2010

Monnaie privée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La monnaie privée est un type de monnaie dont l'émission et la garantie sont assurées par un organisme indépendant de l'État, par exemple une banque privée, par opposition aux monnaies habituelles, garanties par un gouvernement ou la chose publique, soumises à un monopole d'émission monétaire direct ou délégué à une banque centrale. Il a existé quelques exemples historiques de monnaies privées. Aujourd'hui, la monnaie issue de la banque centrale est officiellement l'outil d'échange dominant, mais la réalité des choses est plus complexe : s'il n'y a officiellement quasiment pas de monnaie privée, les instruments financiers librement émis par le système financier se distinguent assez peu d'une monnaie. Le concept de monnaie privée est essentiellement mis en avant par quelques économistes libéraux, comme Friedrich Hayek ou David Friedman, en tant que moyen pour diminuer la capacité de l'État à manipuler l'économie à son propre avantage.

Les marchés financiers : Economie d'endettement et économie de marchés financiers Il ne s'agit que d'une classification conceptuelle, c'est-à-dire qu'aucune économie concrète présente les caractéristiques de l'un ou l'autre système ; la France a été une forme très approchée du premier cas et les Etats-Unis le sont du second. Ces deux cas de figure ont l'avantage de faire apparaître des logiques de fonctionnement d'économie articulées à l'équilibre du système productif. L'économie d'endettement L'économie d'endettement est un système financier où prédomine la finance indirecte, sous la forme d'un financement par le crédit. Celui-ci suppose l'intervention d'un processus d'intermédiation financière et l'établissement de relations bilatérales individualisées entre les banques et leurs clients. Les banques prennent un risque de crédit après l'avoir évalué et financent les opérations dont elles anticipent favorablement le résultat. L'économie d'endettement ne doit pas être confondue avec l'économie endettée.

Bulle (économie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Bulle. Dans ce genre de situation, dite parfois « exubérante », les prix s'écartent de la valorisation économique habituelle sous le jeu de croyances des acheteurs. Ce genre de comportement plus ou moins irrationnel des marchés, créant des anomalies de prix, fait partie des phénomènes qu'étudie la finance comportementale. Une bulle est due souvent à la combinaison : La cohue rue Quincampoix, à Paris, lors de la spéculation sur le « système de Law » et sa banqueroute en 1720 (gravure satirique et allégorique de Bernard Picart). Les bulles financières sont nombreuses dans l'Histoire des bourses de valeurs et celle des crises monétaires et financières. Quand une bulle financière cesse de se développer, elle risque un effondrement brutal [réf. nécessaire]. En outre de nombreuses valeurs boursières ou monétaires sont en partie adossées à des créances immobilières. Sur les autres projets Wikimedia :

Création monétaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La création monétaire, souvent appelée familièrement « la planche à billets », est le processus par lequel la masse monétaire d'un pays ou d'une région (comme la zone euro) est augmentée. Sous l'empire de la monnaie métallique (argent ou or), la masse monétaire était directement liée à la quantité de métal disponible, en fonction du destin des mines (découvertes, épuisement, « ruée vers l'or ») et des autres flux de métal (commerce, pillage, tribut et rançon, etc.). Dans le monde contemporain, l'essentiel de la monnaie est scripturale, créée par le crédit (émission de dette échangeable) dans les limites qui sont imposées aux établissements de crédits (réserves obligatoires etc.) et détruite par extinction des dettes sous-jacentes (par remboursement ou autre) ; la masse monétaire évolue constamment. Les monnaies non fiduciaires et fiduciaires[modifier | modifier le code] Monnaie non fiduciaire[modifier | modifier le code] La banque centrale.

Crise des « subprimes » : si vous n'avez toujours rien compris... C’est un témoignage venu de l’intérieur du système financier. Mr Greed, trader, démonte, pour Rue89, la mise en place de bulles spéculatives liés à aux prêts immobiliers à risque (les « subprimes ») qui ont commencé à exploser l’an dernier aux Etats-Unis, et qui plombent aussi les résultats des banques européennes Après la remise du rapport Ricol sur la crise financière ce mardi au président de la République, peut-on espérer que l’éthique revienne sur le devant de la scène financière ? Ses propositions seront en tout cas discutées au conseil informel des ministres européens des Finances la semaine prochaine à Nice. C’est un rapport très sévère contre les banques et l’ensemble du système financier, responsable selon son auteur, d’une crise sans lien originel avec l’économie réelle. Un système fondé sur le toujours plus Prenons un exemple illustrant cette approche patrimoniale : Tous ces crédits représentent une masse de créances énorme. La diffusion aux hedge funds

En usage sous sa forme scripturale le 1er janvier 1999, il est mis en circulation le 1er janvier 2002 à 0 h sous sa forme fiduciaire. Il succède à l'ECU, « l'unité de compte européenne » mise en service en 1979. L'euro est la deuxième monnaie au monde pour le montant des transactions[4], derrière le dollar américain et devant le yuan chinois. Depuis octobre 2006, elle est la première monnaie au monde pour la quantité de billets en circulation[5]. Au 1er janvier 2022, 28 187 546 465 billets en euro étaient en circulation dans le monde, pour une valeur totale de 1 544 370 485 175 €, ainsi que 141 184 192 506 pièces de monnaie pour une valeur totale de 31 233 475 945 €, l'ensemble représentant la somme de 1 575 603 961 120 €[6]. Fonctionnement[modifier | modifier le code] L'euro est géré par la Banque centrale européenne (BCE) qui siège à Francfort et par l'Eurosystème, composé des banques centrales des États de la zone euro. Émission et contrôle[modifier | modifier le code] Notes : J.

Bourse des valeurs New York Stock Exchange en 2005. Valeurs inscrites sur ces bourses[modifier | modifier le code] Le marché de valeurs mobilières comprend le marché primaire où les nouvelles valeurs mobilières sont proposées à la souscription, dès leur émission : par exemple, pour les actions, lors de la création de l'entreprise ou au cours de sa vie, grâce à une opération dite d'introduction en bourse (IPO en anglais), et le marché secondaire, autrement dit portant sur des titres déjà émis, déjà acquis par d'autres acteurs souhaitant les négocier. La bourse incarne le marché secondaire, très réglementé par rapport au marché de gré à gré. La procédure d'introduction en bourse consiste donc pour une entreprise à faire le choix d'admettre ses titres (actions, obligations ou titres hybrides) à la cotation au sein de la bourse, en contrepartie de paiement d'une commission d'introduction pour la société de gestion de la bourse. Une bourse propose plusieurs types de sociétés à la cote. Heures françaises[13]

Déflation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En économie, une déflation est une baisse de l'indice des prix observée sur une période suffisamment longue[1] (plusieurs trimestres la plupart du temps). Le phénomène opposé, bien plus fréquent, est l'inflation (hausse des prix). La déflation ne doit pas être confondue avec la désinflation qui est un ralentissement de l'inflation, donc une diminution du taux d'inflation, c'est-à-dire que le niveau général des prix augmente moins vite. Au cours du XXe siècle, les périodes de déflation ont été exceptionnelles. Périodes historiques de déflation[modifier | modifier le code] Les périodes de déflation historiques les plus connues ont été : Le milieu du XVe siècle [2] : les métaux précieux, étalons des monnaies de l'époque, viennent à manquer au moment où l'engouement pour les épices d'Asie provoque une sortie d'or [2]. Après les accords de la Jamaïque (1976), les banques centrales ont cherché à éviter les périodes de déflation.

ECLECTIC RANT: SWIFT Pressured to Ban Iran Over Nuclear Ambitions. Category: Columns from The Berkeley Daily Planet Under pressure from the United States and the European Union, the Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication (SWIFT), based in Belgium, is expected to ban Iran's forty banks and institutions from using SWIFT to process its financial transactions, which would effect Iran's foreign trade and access to international payments. United Against Nuclear Iran, a powerful U.S.-based group, had been lobbying for the past month for SWIFT to end its relationship with Iran. More than 40 Iranian banks and institutions use SWIFT to process financial transactions. The average Iranian would also be affected as prices for household goods would soar while the value of Iranian currency drops. The ban from SWIFT's respected network will also escalate global economic pressure on Iran to halt its suspected development of nuclear weapons. SWIFT is the financial equivalent of the United Nations. SWIFT is not a bank and does not hold funds.

Définition jan 9, 2011 La globalisation est un phénomène moderne qui peut être analysé sous plusieurs angles. Le mot provient de l’anglais globalization, où global équivaut à mondial. Cependant, en français, nous avons plutôt tendance à employer le terme mondialisation. En général, il y a lieu de dire que la globalisation consiste en l’intégration des diverses sociétés internationales dans un seul marché capitaliste mondial. Il existe de nombreux courants de pensée selon lesquels la globalisation implique la question économique et recouvre la culture, par exemple. L’origine historique de la globalisation remonte à l’an 1492, lorsque Christophe Colomb est arrivé en Amérique. Le progrès de la technologie, l’essor des télécommunications et du Net ainsi que le développement des moyens de transport ont permis que le phénomène de la globalisation devienne une réalité incontournable dans le monde actuel.

"Nous, les petits actionnaires, on est toujours avertis quand la maison est (déjà) brûlée" Selon l'AMF (Autorité des marchés financiers), 7,6% des plus de 15 ans détenaient des actions au mois de mars 2017, contre 6,2% en mars 2016. C'est la première fois, depuis la crise de 2008, que ce taux de détention remonte. Ces trois à quatre millions de petits porteurs sont majoritairement des hommes, âgés de plus de 55 ans et qui touchent un revenu mensuel supérieur à 3.000 euros. A l'occasion du salon de l'actionnariat, nous leur avons demandé pourquoi ils investissent. Louis Bulidon, 81 ans, le collectionneur - activiste Ancien ingénieur chimiste, Louis Bulidon a commencé à investir en bourse il y a plus de 20 ans pour "placer (ses) économies". Je veux voir quels sont les métiers, je veux voir ce qu'ils font, je veux comprendre. Cette implication a permis à Louis Bulidon de multiplier ses investissements par "plus de quatre". Dominique, 57 ans, spéculateur malgré lui Gérant d'un bureau d'étude dans l'automobile, Dominique se définit lui-même comme un "spéculateur de nature".

Crise de la dette dans la zone euro La crise de la dette dans la zone euro désigne une suite d'événements financiers qui affecte, depuis le début de l'année 2010, les économies de 19 États membres de l'Union européenne, dont la monnaie de référence est l'euro, dans le sillage de la crise financière de 2007-2010. Pour la première fois depuis 2007 et pour l'ensemble des comptes publics de la zone euro, la dette baisse lors de l'année 2013, annonçant une sortie de crise[1]. Causes de la crise[modifier | modifier le code] Causes structurelles[modifier | modifier le code] Raisons liées à la théorie des zones monétaires optimales[modifier | modifier le code] Depuis les travaux de Robert Mundell dans les années 1950, pour la théorie économique, des pays n'ont intérêt à avoir une monnaie commune que si[2] : ils sont intégrés économiquement ;leurs économies ne réagissent pas trop différemment aux chocs économiques ;il existe des mécanismes aptes à remédier aux divergences existantes ou pouvant apparaître. Octobre Novembre Décembre Février

Hollande mis en cause par un ex-élu sur un dossier de corruption Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 16:24 par Thierry Lévêque PARIS (Reuters) - Un ancien élu PS du Pas-de-Calais décrit dans un livre un système de corruption mis en place selon lui de longue date dans sa région par son parti, et assure que François Hollande n'a pu en ignorer l'existence. Gérard Dalongeville, ancien maire de Hénin-Beaumont, écroué durant huit mois pour corruption en 2009, décrit dans cet ouvrage sorti jeudi, "Rose mafia", un dispositif, dit-il, devenu habituel, avec enveloppes d'argent en espèces, marchés truqués et clientélisme. Il désigne François Hollande, premier secrétaire du PS de 1997 à 2008. "Qui peut croire que ni Aubry ni Hollande n'aient jamais été informés des irrégularités, des dérives de la fédération du Pas-de-Calais ?" Ce silence de François Hollande, actuel candidat à la présidentielle, tiendrait, selon le livre, à ses liens avec Jean-Pierre Kucheida, dit "JPK", député-maire de Liévin et homme fort depuis deux décennies du PS dans son fief du bassin minier.

Globalisation Le terme « globalisation » est un anglicisme qui désigne le phénomène de mondialisation, la connotation de supranationalité attachée au terme « mondialisation » étant discrètement absente de la notion plus positive, ou plus édulcorée, de « globalisation ». Mondialisation ou globalisation signifient d’une part l’intégration des productions et l’interconnexion des marchés de biens et de services et des marchés financiers au plan mondial, et d’autre part la définition de la stratégie des acteurs et des entreprises au plan mondial également. Cette « intégration » croissante désigne le fait qu’un produit est aujourd’hui issu, beaucoup fréquemment qu’il y a 20 ou 30 ans, de l’activité de nombreuses entreprises distinctes, elles-mêmes bien souvent originaires de pays distincts. Les conséquences de la mondialisation ne sont pas nécessairement aussi radicales qu’on le suppose. Cette démarche était très peu fréquente il y a 20 ans.

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