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Chaplum’

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Confitures de culture Cynthia et ses contes défaits Loula, il était une fois... | Il était une fois ou peut-être plusieurs fois… (Où il est question de lectures, de thé, de voyage et de jardinage) Hemingway, Fitzgerald: l'alcool a-t-il aidé ou freiné les grands écrivains? Dans mes deux derniers billets, j’ai évoqué la consommation de caféine des artistes et rappelé que de nombreux écrivains du XXe siècle prenaient des amphétamines pour booster leur production. Mais qu’en est-il de l’alcool? Les grands artistes de l’histoire n’étaient-ils pas souvent aussi de grands buveurs? Oui et non. En faisant mes recherches pour mon livre Daily Rituals, j’ai trouvé que si nombre d’artistes buvaient effectivement beaucoup, rares sont ceux qui mélangeaient l’alcool avec leurs heures de travail. publicité Comme l’écrivait George Sand dans son autobiographie: «Il est vrai que je ne crois pas à Byron ivre faisant de beaux vers. Les gueules de bois de Bacon Bien sûr, de nombreux artistes ont trouvé des méthodes pour être en pleine possession de leurs moyens pendant quelques heures par jour et être bourré le plus clair du reste de la journée. «J’aime souvent travailler avec une gueule de bois parce que mon esprit a plein d’énergie et je peux penser très clairement.»

Cacahuète val aime les livres Chemins de lecture (17) - Black Dahlia, Black USA, Black Ellroy Du sang de l’Amérique aussi. Avec ses livres, plus noirs que l’encre, on oscille en permanence entre le fait divers épouvantable et l’Histoire récente, non moins épouvantable (les années soixante essentiellement), des USA. Les personnages sont des « serial killers » (« Un Tueur sur la Route »), des psychotiques, des flics désabusés, désespérés ou pourris, mais aussi John Kennedy, Richard Nixon, Bob Kennedy, Edgar Hoover, ceux qui ont fait les USA de ces années Vietnam, de ces années Cuba, de ses années Chili, entre autres. De complot en manipulation d’état, de crimes sordides en exactions maffieuses, le dédale des romans d’Ellroy n’a rien de reposant. Mais ce n’est pas vraiment nouveau : les polars américains n’ont jamais rien eu de reposant. L’œuvre de James Ellroy est tricotée de trois univers : Univers 1 : L’obsession des « serial killers ». - Univers 2 : LA Ville. - Enfin, univers 3 : La corruption du pouvoir. - J.E. : Nooooon ! Vous l’avez compris. Leon-Marc Levy

cathulu Miss Alfie, croqueuse de livres... & Compagnie !

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