Page de garde d'ARTivision Souhaitez-vous apprendre l'histoire de l'esclavage des africains noirs ? - Yahoo Questions/Réponses Débat Europe 1 sur l'histoire de l'esclavage des noirs : Mise à jour : 1: VIDEO : Yves Ekoué AMAIZO : Métis et fier d’être noir ! Acte 1 Kémi séba sur le 14 juillet : Kémi Séba : La virilité africaine : Kémèt TV : Connaissez-vous l'histoire millénaire de la Coiffure Tressée africaine ? VIDEO : La Coiffure Tressée africaine : Une Histoire Millénaire Brève histoire de l’esthétique capillaire africaine L’Origine Nègre des Coiffures égyptiennes : Mise à jour : 2: Noirceur des Egyptiens Anciens : "La Messe est dite !" Les égyptiens étaient noirs charbon ! L’ égyptien de l’antiquité était-il nègre ou black ? L'origine des sémites : les africains ont ils vendu leurs freres antillais ?
Rasoir d'Ockham Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le rasoir d'Ockham ou rasoir d'Occam est un principe de raisonnement philosophique entrant dans les concepts de rationalisme et de nominalisme. Son nom vient du philosophe franciscain Guillaume d'Ockham (XIVe siècle), bien qu'il fût connu avant lui. Pluralitas non est ponenda sine necessitate« Les multiples ne doivent pas être utilisés sans nécessité. » L'énoncé Entia non sunt multiplicanda praeter necessitatem, littéralement « Les entités ne doivent pas être multipliées par delà ce qui est nécessaire », est une variante souvent attribuée à Guillaume d'Ockham sans cependant qu'il y en ait trace dans ses écrits. Une formulation plus moderne est que « les hypothèses suffisantes les plus simples sont les plus vraisemblables ». L'induction de Solomonoff est une formalisation mathématique et une preuve[1],[2],[3],[4],[5] du rasoir d'Occam, sous l’hypothèse que l'environnement suit une loi de probabilité inconnue mais calculable.
Investig communisme et pensée talmudique (judaique) - le plus grand tabou du 20 eme siecle Il est ironique de voir que dans les livres, les journaux, les médias électroniques, a l`école toute allusion a ce que ce Rabbin dit lui-meme sur le site ou j`ai copié cet article est un tabou qui vous vaudra le titre d`anti-sémite. Le communisme est une affaire de messianisme juif et ils le disent eux-meme. Le Talmud est bien de la synagogue de Satan, héritier de la pensées des Pharisiens et des scribes dénoncées par le Christ. site Israel Machia'h Dès les années 1920, Lénine soutenait les sionistes contre l'impérialisme britannique et français.Des stagiaires ont étés envoyés se former en Union Soviétique par la Haganah (groupe sioniste, ancêtre de l'armée israélienne), vers 1932. «La Révolution bolchevik», déclara un important journal de la communauté juive américaine en 1920, «fut en grande partie le produit de la pensée juive, du mécontentement juif, de l'effort juif pour reconstruire.» Le kibboutz est, par définition : La politique soviétique marqua un grand tournant en 1947. Mr.
ANKH: Egyptologie et Civilisations Africaines Les Découvertes Impossibles - - Accueil Dhimmis and Dhimmitude: The Status of Minorities Under Islamic Rule Banksy Banksy est un artiste d'art urbain qui travaille sous pseudonyme. Son véritable nom et son identité exacte sont inconnus et font toujours l'objet de spéculations. Apparemment britannique et actif depuis les années 1990, il utilise la peinture au pochoir pour faire passer ses messages, qui mêlent souvent politique, humour et poésie. Ses œuvres sont des images humoristiques, parfois combinées à des slogans. Identité contestée Banksy travaille sous un pseudonyme, et sa véritable identité fait l'objet de nombreuses spéculations[2]. Dans une interview de 2003 de The Guardian[3], l'artiste est décrit comme « blanc, 28 ans, débraillé décontracté - jeans, T-shirt, une dent d'argent, chaîne en argent et boucle d'oreille en argent. Le livre Banksy captured, de Steves Lazarides[4], publie de nombreuses photos de Banksy au travail. Selon les principales hypothèses, Banksy pourrait être : Robin Gunningham, né le 28 juillet 1973 à Yate, un graffeur de Bristol. Biographie Début de carrière (1990-2001)
Les chercheurs du Gran Paititi - Thierry Jamin From Kali to Krishna : A love song | Devdutt Published in Speaking Tree, February 05, 2012 In one of the many Tantrik mystic traditions of Bengal, the goddess Kali, often addressed as Tara, is identified with Krishna, locally known as Keshto. Both share the same dark-complexion, Shyam-ranga, and their partners, Shiva in case of Kali, and Radha in case of Krishna, are fair as camphor, Karpura-gaur. The stories that connect these two very distinct traditions – the blood sacrifice demanding Tantrik tradition of Kali and the vegetarian Brahmanical Vaishnava tradition of Krishna – come through in phrases and couplets that make up some of the songs of Baul minstrels and even kitchen tales. They say that Shiva never spoke a single word until Shakti came into his life as Parvati. “When you come to me as Annapoorna, the goddess of food, and feed me and ask for nothing in return, I feel love. Shakti smiled and she offered Shiva a boon for this wonderful anwer. Kali had made the wandering hermit, Shiva, into a rooted hermit, Shankara.
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