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Est ce ainsi que les hommes vivent.

Est ce ainsi que les hommes vivent.

Pologne : manif, «lundi noir» et grève des femmes pour défendre le droit à l'IVG «Lundi, je ne vais pas au travail, j’ai pris une journée libre, j’irai manifester contre ce projet. Trop c’est trop», dit à Libération Ola, 30 ans. Catholique et mère d’un garçon de 4 ans, elle voit l’avortement comme un mal mais se dit opposée à sa pénalisation. Elle n’a pas hésité à répondre à ces nombreux appels à la grève lancés sur Facebook : «Mettez-vous en noir, prenez une journée libre au travail. N‘allons pas au travail. L’idée d’une grève des femmes a été lancée la semaine dernière par l’actrice Krystyna Janda, qui s’est inspirée d’un cas similaire en Islande, le 24 octobre 1975. Des milliers de Polonaises, de tous âges, ont décidé de débrayer dans le cadre de ce mouvement lancé après que le Parlement, dominé par les conservateurs de Droit et Justice (PiS), a décidé d’envoyer en commission un projet de loi bannissant totalement l’IVG dans le pays, à une exception près : si la vie de la femme enceinte est en danger immédiat. Ces votes ont fait déborder le vase.

Harcèlement sexuel : "L'impunité, c'est fini" "Nous nous sommes engagées en politique pour des raisons diverses, nous défendons des idées différentes, mais nous partageons la volonté que le sexisme n'ait pas sa place dans notre société. Ce fléau n'est pas propre à notre univers, loin de là, mais le monde politique a un devoir d'exemplarité. Ceux qui écrivent les lois, les votent, sont chargés de les faire appliquer, se doivent de les respecter et donc d'être irréprochables. Il y a eu l'affaire DSK, la tribune des journalistes politiques "Bas les pattes!" et, cette semaine, les témoignages sidérants de quatre femmes politiques accusant Denis Baupin de faits présumés relevant de harcèlement et d'agression sexuelle. "Ce n'est pas aux femmes à s'adapter à ces milieux" Nous avons été ministres, nous sommes ou avons été élues. On ne peut pas dire à une femme, quel que soit son statut, qu'elle soit salariée, étudiante, chômeuse, mère au foyer ou élue, à propos d'une collègue : "À part ses seins magnifiques, elle est comment?" Source: Vide

États-Unis. Mesure anti-avortement signée par Trump : la photo de trop Courrier International et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu. Pour plus d’information, consulter notre politique relative aux cookies.

Christiane Taubira Association Contact - Home «Si vous pouvez rester mince, c’est mieux pour faire l’amour!» - Actu des stars Venant de changer de rédaction en chef, le magazine Gala a décidé de frapper un grand coup. Il a convaincu Marianne James de poser en tenue d’Eve pour en faire la Une du numéro sortant cette semaine avec le titre «Vive les rondes». Marianne James en Une du magazine Gala. La chanteuse explique sa démarche dans un extrait de l’interview publié sur le site Gala.fr: «C’est venu de Gilles-Marie Zimmerman, le photographe. Interviewée en marge du shooting, Marianne James explique que pour elle, «la rondeur peut être très mode, très fashion, très coquine, sans être vulgaire bien évidemment», précisant: «Je n’aurais jamais cru qu’à plus de 40 ans je me balancerais devant un photographe en culotte. Actuellement à l’affiche de la pièce «Les Insatiables», à Paris, l’ex-jurée de «Nouvelle Star» dénonce le fait qu’«il y a une trop grande souffrance chez les femmes rondes, en France en particulier» qui «passent leur vie à se cacher». lessentiel.lu avec 20minutes.ch

« Jeune femme » : sur le chemin de l’émancipation Caméra d’or à Cannes, le premier long-métrage de Léonor Serraille est porté par son héroïne, incarnée par l’actrice Laetitia Dosch. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mathieu Macheret L’avis du « Monde » – à voir Tout commence sur un coup de tête : celui que Paula (Laetitia Dosch) envoie à tout rompre contre la porte trop stoïque d’un appartement clos, avant de s’écrouler au sol. Elle en conservera tout au long du film la marque en haut du front, une petite virgule de sang séché qui signale d’emblée la fêlure de cette héroïne extravagante. Arrive ensuite sa confession face caméra (en fait, face à un médecin), qui nous place dans un rapport frontal à sa démence, légère, à sa ­colère, immense, mais surtout à sa détresse, celle d’une femme qui vient de se faire jeter à la rue par son compagnon, un ­photographe qui lui doit pourtant sa célébrité. Lire la critique parue lors du Festival de Cannes : « Jeune femme », portrait de trentenaire en crise Figures du Paris d’aujourd’hui

13 novembre 2015 : une histoire française L’effroyable carnage de vendredi 13 novembre n’a pas surgi de nulle part. Contrairement aux apparences, la France n’a pas subi l’irruption fortuite et accidentelle d’une violence forgée ailleurs, au loin, hors de portée de notre intelligibilité. Bien au contraire, elle a éprouvé une fois encore le poids de son histoire et des liens indéfectibles qui la relie à "son Proche-Orient". Notre si Proche-Orient "Un si Proche-Orient". Géographiquement, parce que cette région est la porte de l’Orient pour l’Europe, depuis toujours. Historiquement, on a souvent tendance à oublier que le domaine impérial et colonial français ne s’est pas seulement déployé en Afrique du nord et en Afrique de l’ouest, mais également au Proche-Orient. Obsession passéiste de l’historien, simple rappel théorique et rhétorique d’une histoire oubliée par les acteurs locaux ? Responsabilité historique Excuser c’est le contraire. Les maquisards de l'ASL Une histoire française Vincent Lemire Université Paris-Est / Marne-la-Vallée

VIDEO. Le "mot à mot" de Fatou Cissé : Ne dites pas à mes parents que je suis chorégraphe, ils... Mis à jour le 20/11/2015 à 17H55, publié le 20/07/2015 à 18H03 "Le bal du cercle" est une création de la chorégraphe sénégalaise Fatou Cissé qui décline une autorisation faite aux femmes de jouer avec leur désir le temps d'une soirée qui met l'homme à part. Le Tanebeer ("Bal de nuit" en wolof) est traditionnel mais la religion semble aujourd'hui s'inquiéter d'un carnaval qui expose la licence et le sexuel. Ce n'est pas rien de vouloir être la plus belle... ... et de régler ses comptes à la voisine ou à l'autre femme. © Benjamin Hoffman Ya pas d'âge ...

"Dernières nouvelles du cosmos": embarquement immédiat C'est une énigme pour nos esprits cartésiens qui ne raisonnent qu'avec la science et la preuve. Hélène est autiste, elle a trente ans, semble en avoir la moitié, si elle est dans le monde et l'apparence d'un handicap mental, elle rayonne par ce qu'elle exprime, une poésie dont la pertinence et la puissance interroge tranquillement rien moins que l'infini de nos existences. Sa parole et son être sont de l'ordre d'un merveilleux bien réel qui nous invite, stupéfaits, à l'humilité mais aussi l'enthousiasme, nous êtres "normaux". Hélène, qui s'est inventé le (sur)nom de Babouillec est donc autiste, accompagnée depuis toujours par Véronique, sa mère, une mère d'une fraîcheur et d'une disponibilité qui force l'admiration, on devine la patience, ou plutôt le contraire de l'impatience, qui l'anime et qui ont permis à sa fille d'être, étape après étape, à son rythme, à leur rythme à toutes les deux, en effet sans impatience, dans la découverte l'une de l'autre. > extrait: tous les Ciné, cinoche

Les Chahuteuses - La pénétration est souvent au centre de... La France épinglée par Amnesty International pour ses violences policières L'ONG s'alarme dans son rapport annuel des allégations de violences policières et d'usage excessif de la force en France et critique la politique d'expulsion d'immigrés et de demandeurs d'asile. Amnesty International s'alarme dans son rapport annuel des allégations de violences policières et d'usage excessif de la force en France. L'organisation de défense des droits de l'homme critique aussi la supposée légèreté des enquêtes sur les faits impliquant les policiers. "Les procédures disciplinaires et les enquêtes judiciaires sur de tels incidents continuent d'être loin des standards internationaux", lit-on dans le document. Au rayon des soupçons de bavures policières, Amnesty s'intéresse à trois cas qui montrent que les enquêtes sur ces faits sont loin d'être satisfaisantes. L'organisation estime que la mise en place de nouveaux fichiers de police visant des personnes non condamnées laisse craindre une atteinte à la présomption d'innocence.

Les Françaises appelées à cesser le travail lundi 7 novembre à 16h34 Les Françaises sont appelées à cesser toute activité professionnelle lundi 7 novembre à 16h34 et 7,5 secondes. À partir de cette date précise et jusqu'à la fin de l'année 2016, les femmes travailleraient "bénévolement" selon les calculs du collectif Les Glorieuses, qui milite pour défendre l'égalité salariale entre les hommes et les femmes dans l'Hexagone, a relevé France Bleu. Un appel dans toute la France. "Tout travail mérite salaire. Offre valable, toute l'année pour les hommes, uniquement jusqu'au 7 novembre à 16h34 pour les femmes", ironise le collectif qui a lancé un appel à la mobilisation sur Facebook. Si cet appel à arrêter le travail est lancé dans toute la France, des événements sont également organisés à Nantes et à Lyon. Une discrimination salariale.

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