background preloader

Réseaux sociaux (3/3) : ces algorithmes qui nous gouvernent

Réseaux sociaux (3/3) : ces algorithmes qui nous gouvernent
Les 12 et 13 décembre 2011 se tenait à Lyon un colloque universitaire sur les réseaux sociaux organisé par l’Institut rhône-alpin des systèmes complexes. Suite et fin de notre compte rendu… Les algorithmes peuvent-ils se tromper ? Tarleton Gillespie professeur à l’université Cornell devait conclure ces deux jours, mais il n’a pu être présent. Il semblait néanmoins intéressant de jeter un oeil sur son propos qu’il a notamment développé sur CultureDigitally : est-ce que les algorithmes peuvent se tromper ? La réflexion de Tarleton Gillespie prend son origine dans les contestations émises à l’encontre de Twitter, accusé de censurer sa liste de Tendances. Bien sûr, la vigueur et la persistance de la charge de la censure n’est pas surprenante, estime Tarleton Gillespie. Les tendances de Twitter ne sont qu’un de ces outils parmi les plus visibles. Il est essentiel de dépecer les algorithmes, estime Tarleton Gillespie. L’algorithme est sans cesse manipulé. Hubert Guillaud Related:  .caisson test

Réseaux sociaux (2/3) : des outils pour zoomer et dézoomer Par Hubert Guillaud le 04/01/12 | 4 commentaires | 3,022 lectures | Impression Les 12 et 13 décembre 2011 se tenait à Lyon un colloque universitaire sur les réseaux sociaux organisé par l’Institut rhône-alpin des systèmes complexes. Retour sur quelques-unes des présentations. Des outils pour mesurer le réel Pour Alain Barrat, chercheur au Centre de physique théorique de Marseille, les réseaux sociaux en ligne constituent un laboratoire très intéressant qui nous procure de nouvelles données pour faire des études à grande échelle, mais permettent également l’étude de l’évolution temporelle des réseaux (ce qui est plus difficile dans le réel). Après avoir évoqué l’influence de la proximité et de l’homophilie dans les réseaux sociaux de lecteurs, Alain Barrat a évoqué un autre exemple d’étude des relations en face à face développée par le réseau de recherche SocioPatterns. Dynamical Contact Patterns in a Primary School. from SocioPatterns on Vimeo. Hubert Guillaud

Google Gets 200+ IBM Patents, Including One for a 'Semantic Social Network' Google got a late Christmas gift in the form of 217 patents, acquired by way of IBM. While the patents cover a variety of topics, one in particular could give the search giant a new tool for its social network, Google+. The patents cover many different technologies, but they mainly deal with data services like email management, online calendars and transferring web apps between devices. The patent grab, first reported by SEO by the Sea and confirmed to Mashable by Google, potentially serves two purposes: providing avenues to develop new products, and providing ammunition in litigation. The latter reason is undoubtedly the primary one. By shoring up its patent portfolio, Google will be that much stronger when in its defense of Android. On the product development side, it's anyone's guess which of the IBM patents may become future products, but social-media watchers might be interested in U.S. Might we see a Google+ expand its abilities someday with the semantic social network patent?

Réseaux sociaux (1/3) : diviser le monde pour le comprendre Par Hubert Guillaud le 03/01/12 | 9 commentaires | 4,874 lectures | Impression Les 12 et 13 décembre 2011 se tenait à Lyon un colloque universitaire sur les réseaux sociaux organisé par l’Institut rhône-alpin des systèmes complexes. Comme le soulignait Pablo Jensen en introduction, le sujet est plus qu’à la mode. Structurer pour organiser Vincent Blondel de l’université catholique de Louvain, responsable du laboratoire Large Graphs and Networks est un des spécialistes de l’analyse des très grands réseaux. Vincent Blondel a mis au point l’une des nombreuses méthodes d’identification de communautés qui existent (voir l’analyse de Santo Fortunato sur la détection de communauté dans les graphes (.pdf) qui recense et évalue les méthodes existantes), la méthode de Louvain, qui a été implantée depuis dans de nombreux logiciels comme Gephi, NetworkX, et est utilisée par de nombreuses sociétés comme Linked-in. Image : Les bassins téléphoniques en France métropolitaine. Mesurer la cohésion

Quantified Self (3/3) : Les tabous de la mesure Par Hubert Guillaud le 15/12/11 | 6 commentaires | 2,785 lectures | Impression L’une des limites du Quantified Self demeure trop souvent, de rester focaliser sur la santé et le sport, notamment parce que les deux secteurs permettent d’enregistrer des données “objectives” : vitesse de course, pulsation cardiaque, localisation, prise médicamenteuse… sont autant d’actions concrètes facilement révélables par les chiffres. En ce sens, le QS demeure une mesure de la performance et de l’amélioration, même si pour cela elle observe également la maladie, la faiblesse et la dégradation. Peut-on tout mesurer de soi ? C’est dans les expériences un peu limites, souvent artistiques, qu’on touche certaines limites de cette généralisation de la mesure, qui semble pourtant n’en avoir pas beaucoup. Image : Giorgo Baresi sur la scène du Quantified Sefl Europe photographié par Sebastiaan ter Burg. C’est le cas par exemple quand elle s’attarde sur des données subjectives par rapport aux données “objectives”.

Gouvernance des systèmes d'information Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La gouvernance du système d’information (Gouvernance SI ou en anglais IS Governance) consiste d'abord à fixer au système d'information des objectifs liés à la stratégie de l'entreprise. Cette démarche permet de définir la manière dont le système d'information contribue à la création de valeur par l'entreprise et précise le rôle des différents acteurs en tenant compte de leurs enjeux de pouvoir. Elle permet de répondre à des questions telles que : la Direction des systèmes d'information est-elle responsable de la mise en œuvre du système d'information ou est-ce le rôle des métiers ou des maîtrise d'ouvrage (MOA) ? Les systèmes d'information "représentent une partie significative de la valeur ajoutée créée par les entreprises et les administrations. En moyenne, ils représentent 15 à 20 % du chiffre d'affaires des entreprises, soit environ 50 % de la valeur ajoutée générée par les entreprises. La création de valeur[modifier | modifier le code]

Les médias sociaux décodés en une page Une infographie de Flowtown qui présente rapidement les plus grands médias sociaux. Flowtown vient de créer cet aide-mémoire qui résume les caractéristiques essentielles des plus importants médias sociaux occidentaux. Vous y trouverez les avantages et les inconvénients de chaque site, ainsi que la façon de vous inscrire et créer votre profile. Pour lire en grand format : Flowtown Pour recevoir gratuitement par courriel les articles aussitôt publiés, cliquez sur le lien suivant et suivez les instructions Abonnement à "173 Sud" par courriel

“Comment vas-tu point d’interrogation” La lecture de la semaine est un article du New York Times, signé Nick Wingfield et il s’intitule : “Le bon vieux temps des malotrus accrochés à leur téléphone portable”. Est-ce que parler au téléphone est la même chose que parler à son téléphone ? se demande pour commencer le journaliste. Le bruit produit par quelqu’un discutant sur un téléphone portable fait partie de la bande-son de notre vie quotidienne, et la plupart d’entre nous a appris à être silencieux – ne pas parler dans les wagons zen des TGV par exemple. Mais les règles de savoir-vivre concernant la manière dont on s’adresse à un téléphone – et plus précisément à un “assistant virtuel” comme le Siri d’Apple, disponible sur le nouvel Iphone 4S – n’existent pas encore, pour le malheur des gens qui sont autour. La commande vocale dans les smartphones est d’abord apparue il y a quelques années quand certains appareils ont permis de faire des recherches sur Internet et quelques autres tâches. Xavier de la Porte

Inférence Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'inférence désigne les actions de mise en relation d'un ensemble de propositions, aboutissant à une démonstration de vérité, de fausseté ou de probabilité, sous la forme d'une proposition appelée conclusion[1]. Dans sa définition classique, l'inférence est une opération logique portant sur des propositions tenues pour vraies (les prémisses) et concluant à la vérité d'une nouvelle proposition en vertu de sa liaison avec les premières. C'est pourquoi l'inférence est souvent réduite à la déduction nécessaire dans laquelle la vérité des prémisses assure totalement la vérité de la conclusion. Exemples[modifier | modifier le code] L'inférence implique le recours à l'interprétation, peu importe qu'il y ait une suggestion. « Imaginez, vous vivez en famille dans une maison. En pensant à la scène, en vous imaginant en situation, il est peu probable que vous ne fassiez pas d'inférence. En pragmatique linguistique[modifier | modifier le code]

Panorama des médias sociaux 2012 (The english version of this article is here: Social Media Landscape 2012) Il y a quelques années une analyste disait que dans cinq ans, les médias sociaux seront comme l’air (omniprésents). Nous sommes en 2012 et les médias sociaux n’ont jamais occupé une place aussi importante sur le web, à tel point que l’on en vient à se demander dans quelle mesure il est encore pertinent de dissocier les médias sociaux et le web. Pourtant, si l’on s’en tient à la définition que j’ai donnée (“Les médias sociaux désignent un ensemble de services permettant de développer des conversations et des interactions sociales sur internet ou en situation de mobilité”), il existe bien une différence entre un site web classique et les médias sociaux, surtout si l’on étudie de plus près les différents types de médias sociaux. Un écosystème toujours aussi dense Nous retrouvons ainsi au centre de ce schéma trois acteurs qui proposent une large palette de fonctionnalités (Facebook, Twitter et Google+).

Quantified Self (2/3) : Des outils au service de soi Par Hubert Guillaud le 08/12/11 | 7 commentaires | 4,199 lectures | Impression La communauté des quantifiés n’est pas composée que de personnes sensibles à leurs propres mesures. Elle est aussi composée de geeks, de bidouilleurs, de développeurs, d’artisans, de makers, de start-upers et d’industriels qui bricolent ou codent des outils et des services pour faciliter la mesure. Des gens qui, partant le plus souvent de leurs propres besoins, développent des applications ou des prototypes, qu’ils ne cessent de perfectionner, espérant trouver le produit ou le service qui sera adopté par le plus grand nombre, qui fera passer le mouvement de la mesure de la niche des passionnés au plus grand public. Les applications sportives ou de santé ne manquent pas. Reste à trouver le capteur et l’interface qui séduira le plus grand public. La longue traine des outils Image : Rain Ashford sur la scène de la conférence Quantified Self Europe photographiée par Sebastiaan ter Burg. Le Graal de l’agrégation

Sémiologie graphique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sémiologie graphique est une discipline qui s'occupe : de la transcription, dans le système graphique d'un signe, d'un ensemble de données ;du traitement de ces données afin de faire apparaître l'information d'ensemble recherchée;de la construction d'images les mieux adaptées à communiquer cette information. Au sein de la géographie, la sémiologie graphique a trouvé un champ d’application privilégié dans les processus d’élaboration d’un des outils fondamentaux de la géographie : la carte et, par extension, à l’ensemble des techniques qui permettent sa production (SIG et télédétection)et le Design de l'information. Définition de la Graphique[modifier | modifier le code] Les significations que l'homme attribue aux signes peuvent être monosémiques, polysémique ou pansémiques: La Graphique utilise le système monosémique, chaque élément est définie à l'avance. Un système monosémique[modifier | modifier le code] Les variables visuelles - La couleur

Online commenting: the age of rage | Technology | The Observer For a while after his first TV series was broadcast in 2009, comedian Stewart Lee was in the habit of collecting and filing some of the comments that people made about him on web pages and social media sites. He did a 10-minute Google trawl most days for about six months and the resultant collected observations soon ran to dozens of pages. If you read those comments now as a cumulative narrative, you begin to fear for Stewart Lee. This is a small, representative selection: "I hate Stewart Lee with a passion. Lee, a standup comedian who does not shy away from the more grotesque aspects of human behaviour, or always resist dishing out some bile of his own, does not think of himself as naive. Distanced or not, Lee couldn't help but be somewhat unsettled by the rage he seemed to provoke by telling stories and jokes: "When I first realised the extent of this stuff I was shocked," he says. The "40,000 words of hate" have now become "anthropologically amusing" to him, he insists.

Related: