Entre Zara et H&M, pourquoi Camaïeu séduit les Françaises "Le petit haut vous va trop bien!" Dans le magasin Camaïeu de l'avenue de l'Opéra à Paris, les vendeuses s'affairent. Est-ce parce qu'il pleut ce jour d'avril ou parce que l'explosion de couleurs des dernières collections réveille les vitrines? Dans les allées, les clientes aux petits hauts qui vont "trop bien" se lâchent. Pourtant, en entrant, une impression de fouillis à la Tati vous submerge. ?&tid=geps000146&kwid=1&ap=7&gclid=CjwKCAiA0O7fBRASEiwAYI9QAmroEtiwOgVcUnmDY1TrY0x6MUQsNUAp-6cnUKRrS0JUM9uj8EAPIRoCFekQAvD_BwE&gclsrc=aw Neuvième année de recul pour les ventes... - Textile, habillement Et une de plus qui fait neuf… Pour la neuvième année consécutive, le marché de l’habillement, en France, s’affiche en recul en 2016 : -1,2%, en l’occurrence, pour s’établir à environ 30 milliards d’euros. Le prêt-à-porter féminin, qui pèse plus d’un tiers de ce total, fait moins bien encore : ses ventes sont tombées en 2016 à 10,4 milliards d’euros, selon la Fédération française du prêt-à-porter féminin. Elles ont ainsi connu une baisse de 2,6% en valeur sur l’année, et de 3% en volumes. « Depuis 2008, la diminution est de 18% pour le secteur », explique ainsi François-Marie Grau, délégué général de la Fédération. La prudence est de mise Pour autant, et puisqu’il faut bien se montrer optimiste, on peut espérer que le pire soit enfin derrière. « Le chômage semble vouloir reculer, de même que la croissance repart, avec une attente supérieure à 1 point pour cette année 2017 », insiste Pierre-François Le Louët, président de la Fédération. Deux pôles se détachent ainsi. Source: FFPAPF
Prêt-à-porter féminin : 2017, enfin l'année de la reprise - Actualité : Business (#945051) C'est avec enthousiasme et même « avec joie », selon les mots de son président, Pierre-François Le Louët, que la Fédération française du prêt à porter féminin a publié un bilan annuel en croissance pour le secteur, une première depuis presque dix ans. Dévoilés lors de la conférence annuelle de la fédération, les chiffres de l’année 2017, récoltés par l’IFM et son nouveau partenaire, Kantar WorldPanel, sont en effet enfin positifs et ce sur plusieurs points. La fédération pointe ainsi une croissance de 1,2 % de la consommation de prêt-à-porter féminin dans l'Hexagone, la première hausse en dix ans. En valeur, le montant des dépenses des Françaises de 15 ans et plus pour le prêt-à-porter féminin s’élève ainsi à 12,7 milliards d’euros.Si ce chiffre est en augmentation alors que les prix moyens d’achat reculent de 1,7 % sur la période, c’est parce que le nombre de pièces achetées croît de 2,9 % par rapport à l’année précédente.
Textile/habillement : les ventes ont baissé de 2,9 % en juillet - Actualité : Business (#1009000) Pas d'éclaircie estivale pour les vendeurs de mode français. Après une très légère hausse en juin (+0,2 %), le bilan chiffré du mois de juillet se place totalement dans la lignée négative des six mois précédents : les acteurs du textile/habillement sur le marché national ont ainsi enregistré une baisse de 2,9 % de leur activité par rapport au mois de juillet 2017, relève l’IFM dans sa publication provisoire. Comme souvent, la fortune des distributeurs fut diverse, avec des écarts notables, puisque les e-commerçants et les spécialistes de la vente à distance affichent une croissance de 7 %, quand les chaînes spécialisées (H&M, Promod, Celio…) font face à une chute de 6,3 % de leurs revenus. Complété par ces nouvelles données sur juillet, le cumul des sept premiers mois de l’année 2018 dresse un tableau peu amène : les ventes textile/habillement dans l’Hexagone présentent désormais un repli de l’ordre de 2,3 % par rapport à la même période l’an dernier.
Les enseignes de fringue se font la malle Les clientes sont encore là, mais les rayonnages sont déjà à moitié vides. À quelques jours de la fermeture définitive de sa boutique, Lydie, dionysienne et responsable adjointe du magasin, ne se départit pas de son grand sourire si communicatif. Pourtant le moment est forcément un peu lourd. « Les clientes sont déçues. Et pour acheter aussi, car ce n’est visiblement pas un problème de chiffre d’affaires qui motive la fermeture de la boutique dionysienne. « Camaïeu, c’est une enseigne qui marche fort et la boutique fait de bons chiffres. Mais comme pour Celio avant l’été, et visiblement pour les mêmes raisons, le couperet est tombé en cette rentrée 2018. 10% de vacance commerciale en centre-ville Une défection de plus qui inquiète chez Sergent major, à deux pas de là. « À moyen terme, le risque c’est que les gens se détournent de la rue de la République pour aller dans un endroit où on trouve des vêtements pour toute la famille. Mais tout le monde ne désespère pas non plus. Yann Lalande
Cinq achats solidaires pour soutenir Octobre rose Avec environ 54.000 nouveaux cas chaque année (1), le cancer du sein est le plus répandu des cancers féminins. Depuis 2004, l'association Le Cancer du sein, parlons-en ! a créé l'événement Octobre rose pour sensibiliser la population et faire avancer la recherche scientifique. Désormais le mois d'octobre est signe de lutte contre le cancer du sein dans plus de 70 pays à travers le monde et de nombreuses associations, entreprises et marques s'engagent pour l'occasion. Si certains en profitent pour faire du pinkwashing, d'autres reversent 100% de leurs bénéfices à l'association Le Cancer du sein, parlons-en !. Le coffret Octobre rose de Birchbox Pour la deuxième année consécutive, Birchbox lance un coffret Octobre rose en édition limitée. Un cabas Chantal Thomass pour Kusmi Tea Cette année, la marque française de thé s'associe à Chantal Thomass dans son engagement contre le cancer de sein. Des tee-shirts Ma P'tite Culotte Un tee-shirt vintage chez ba&sh Du rose et du bio chez Camaïeu
Camaïeu rejoint Lafayette Plug and Play Et de 10 ! L’accélérateur Lafayette Plug and Play compte désormais parmi ses partenaires l’enseigne Camaïeu, créée il y a plus de 30 ans et qui dénombre plus de 900 magasins (dont 650 en France) implantés dans 17 pays/territoires. Elle rejoint ainsi Galeries Lafayette, Carrefour, Up Group, Maus Frères (Lacoste, Aigle, Gant, …), C&A, Moët Hennessy, Mediaperformances, Lagardère Travel Retail et Kiabi. Pour rappel, cette structure basée sur l’open innovation accompagne d’un côté les jeunes pousses les plus prometteuses sur la verticale retail, et fournit aux entreprises des solutions pour répondre à leurs problématiques du moment, en lien avec la digitalisation du secteur.