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Méthode d'apprentissage cognitif

Méthode d'apprentissage cognitif
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La méthode générale d'apprentissage cognitif s'est peu à peu dégagée des travaux de pédagogues[1] qui remettaient en cause les méthodes d'enseignement traditionnelles, prônaient la participation active et l'implication des participants, ainsi que des approches pédagogiques de psycho-sociologues comme Abraham Maslow, Carl Rogers ou Harold J. Leavitt. La perspective cognitiviste, qui renvoie au terme cognition, c'est-à-dire connaissance dans le sens de processus et de produit, privilégie une approche fonctionnelle d'utilisation des facultés mentales et des connaissance déjà acquises, liées aux stratégies d'assimilation de ces savoirs, au sens large du terme (du savoir pur au savoir-être). Les bases théoriques[modifier | modifier le code] La Pédagogie[modifier | modifier le code] La psychosociologie[modifier | modifier le code] Pédagogie active et apprentissage cognitif[modifier | modifier le code] La Psychopédagogie[modifier | modifier le code] Related:  Neurosciences / Sciences cognitives et éducation

LE CONSTRUCTIVISME Le constructivisme a pris son essor en réaction au behaviorisme qui limitait trop l'apprentissage à l'association stimulus-réponse. L'approche constructiviste de l'apprentissage met l'accent sur l'activité du sujet pour appréhender les phénomènes. La compréhension s'élabore à partir des représentations que le sujet a déjà. Aussi, dans cette perspective, les auteurs parlent de restructuration des informations en regard des réseaux de concepts particuliers à chaque personne. Voir Lasnier (2000) : p.9 Piaget (1896-1980), en réaction aux associationnistes, a développé une théorie du développement de l'intelligence où il a placé le sujet au coeur du processus; il en a fait l'acteur principal. En outre, Piaget (1974) suppose différents niveaux de prise de conscience de la démarche cognitive que le sujet-apprenant mène ou a menée. Piaget a également parlé d'abstraction réfléchissante. Voir Dubé (1990) pp.203-210, Goupil et Lusignan : pp.50-52 Voir Goupil et Lusignan (1993) pp.52-54 Minier (2000)

La réflexivité dans les dispositifs d’accompagnement : implication, engagement ou injonction ? Résumé Les dispositifs d’accompagnement dans le travail social donnent lieu à une activité réflexive au caractère ambigu et contradictoire quand ils touchent à la professionnalisation des accompagnateurs. Outils de responsabilisation et d’autonomisation des acteurs (usagers des services socio-éducatifs), ils produisent en miroir chez les professionnels chargés de leur mise en œuvre des dilemmes que la formation (groupe d’analyse) et la validation de l’expérience (VAE) devraient permettre de dépasser grâce à l’intervention de (méta)accompagnateurs. Or, la complexité des situations à traiter suppose un effort de réflexivité décuplée, sans pouvoir (méthodologies inadaptées, insuffisantes) en assumer tous les effets psychosociologiques (culpabilisation, crise identitaire). Fondé sur une éthique illusoire de la vulnérabilité partagée, l’accompagnement réflexif comme nouveau paradigme marquerait ainsi l’avènement d’une technique réparatrice normative des êtres et des situations. Abstract

documentation La pédagogie actualisante a pour but de favoriser l'actualisation du potentiel humain de chaque apprenant et de chaque apprenante (Landry, 2002, Vienneau et Ferrer, 1999). Son application exige donc des conditions d'apprentissage susceptibles de promouvoir cette actualisation. Le volet de la pédagogie actualisante dont il est ici question, celui de la pédagogie de la maîtrise de l'apprentissage et du dépassement de soi, traite de la mise en oeuvre de certaines de ces conditions. Cette pédagogie exige des croyances positives à l'égard des capacités des apprenants et des apprenantes. Elle se fonde sur la recherche scientifique (Bloom, 1976) qui démontre que le facteur le plus déterminant des apprentissages futurs n'est pas l'intelligence ou la motivation, mais le degré de maîtrise des apprentissages préalables aux apprentissages futurs. L'approche pédagogique privilégiée dans notre conception de la pédagogie de la maîtrise est centrée sur l'apprenant ou l'apprenante. Conclusion

Liris-3062.pdf Pedagogie de la maitrîse La pédagogie de maîtrise est une stratégie pédagogique, développé par Benjamin Bloom en 1968, qui repose sur l'hypothèse que tout apprenant peut arriver à une maîtrise totale ou du moins de 85 à 90% des notions et des opérations enseignées si on lui laisse suffisamment de temps et qu'on utilise des moyens adéquats. Inspiré sur les travaux des Caroll (1963), Bloom affirme qu'il n'y a pas de bons ou de mauvais étudiants mais plutôt des étudiants qui apprennent plus rapidement ou plus lentement que les autres. Le degré d'apprentissage dépend du temps laissé pour apprendre et cela varie d'un individu à l'autre. La procédure classique de la pédagogie de maîtrise est la suivante : l'enseignement est découpé en une séquence d'unités et les objectifs de chaque unité sont soigneusement définis. A la fin de la séquence des unités d'enseignement, les résultats sont évalués par une épreuve sommative.

Vygotski Idées maîtresses Les capacités d’acquisition sont fortement déterminées par l’hérédité mais cette acquisition dépend également des interactions avec l’environnement social. Vygotski rejoint les conceptions constructivistes (Piaget) de l’apprentissage considérant celui-ci comme une construction active de connaissances, construction qui s’élabore dans le milieu physique mais plus encore peut-être, et ceci le distingue de Piaget, dans le milieu social de l’individu Étude de l’appropriation des outils culturels. Analyse des documents Les extraits notés (1) sont issus du premier document de référence (Unesco- intitulé « Vygotsky 1 ») Ceux notés (2) sont issus du document qui reprend des extraits de différentes sources et intitulé « Vygotsky 2 » Les propos de Vygotski lui-même sont en italique Inné & Acquis ►Langage, hérédité et apprentissage social « … la capacité d’acquisition du langage chez l’enfant est fortement déterminée par l’hérédité. Interactions sociales Les outils culturels

LE SOCIOCONSTRUCTIVISME Le socioconstructivisme qui s'ancre au constructivisme met l'accent sur le rôle des interactions sociales multiples dans la construction des savoirs. Les auteurs parlent de processus interpsychiques et de processus intrapsychiques plutôt que de processus uniquement intrapsychiques. Des auteurs, dont Brown et Campione (1995) soulignent alors l'aspect culturel des savoirs, c'est-à-dire qu'ils sont le fruit des échanges et qu'ils sont partagés. Psychologie sociale génétique Perret-Clermont (1976-79) ainsi que Doise et Mugny (1981) ont étudié le rôle des interactions sociales entre pairs dans le développement de l'intelligence selon une perspective structuraliste piagétienne. Voir Gilly dans Garnier (1989) Gilly et ses collaborateurs (1988) s'intéressent à la construction de compétences liées à des classes de problèmes et à la perspective procédurale adoptée en résolution de problèmes. Voir Gilly, Fraisse, Roux dans Garnier (1989), p.171 * Développement en contexte.

Taxonomie de Bloom Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La roue de la taxonomie de Bloom. La taxonomie de Bloom est un modèle pédagogique proposant une classification des niveaux d'acquisition des connaissances[1]. Description[modifier | modifier le code] La taxonomie organise l'information de façon hiérarchique, de la simple restitution de faits jusqu'à la manipulation complexe des concepts, qui est souvent mise en œuvre par les facultés cognitives dites supérieures[4]. Composition[modifier | modifier le code] La taxonomie des objectifs éducationnels selon Bloom. Elle peut être résumée en six niveaux, chaque niveau supérieur englobant les niveaux précédents. Note: Dans la liste suivante, traduite de l'anglais, certains verbes peuvent se recouper par le sens, le lecteur est invité à consulter des ouvrages de références pour s'assurer du sens exact des verbes. Révision[modifier | modifier le code] Ainsi en 2001 une taxonomie révisée de Bloom a été proposée par plusieurs auteurs dont Lorin W.

LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! La diversité des personnalités et des comportements humains est le produit de la singularité du cerveau de chaque individu. Celle-ci se constitue d’abord à travers les premières étapes de la construction des circuits cérébraux, où des mécanismes intrinsèques mettent en place les circuits nerveux à l’origine d’une vaste palette de comportements instinctifs, que ce soit pour trouver de la nourriture, pour se défendre ou pour s’accoupler. Mais la construction du système nerveux des animaux, et donc aussi de l’être humain, est également influencée par l’expérience. Les interactions avec l’environnement produisent certains patterns d’activité nerveuse qui vont façonner les circuits cérébraux. Les influences du monde extérieur ont une importance tout particulière au début de la vie pendant certaines périodes limitées dans le temps qu’on appelle périodes critiques. Les périodes critiques sont un phénomène général que l’on retrouve dans plusieurs systèmes sensoriels.

7 modèles d'apprentissage Le constructivisme Tout d'abord le modèle constructiviste de jean Piaget. Il convient de le citer en premier car cette théorie est celle qui explique le mieux (malgré quelques imperfections ) le mécanisme de l'apprentissage. Selon J. Piaget, on apprend en agissant sur les choses et les gens qui nous entourent. Dans sa théorie de l'équilibration, Piaget définit l'unité de base de l'apprentissage : le schème. Les schèmes ne sont au début de l'existence d'un individu que de simples réflexes, de simples programmes d'action. Par exemple, le schème de succion ou le schème de préhension. Nous incorporons un peu à la fois de plus en plus d'objets à ces schèmes (prendre le biberon dans sa main, prendre un bout de drap, prendre son jouet...). C'est le mécanisme d'assimilation (incorporation ), qui étend un peu à la fois notre action à un nombre croissant d'objets et de situations , et donc qui étend notre emprise sur le monde. Mais les choses ne se laissent pas prendre n'importe comment. n d'agir

Les 5 grandes théories de l'apprentissage Le béhaviorisme Thorndike et Skinner Edward Lee Thorndike (31 août 1874 - 9 août 1949) est un psychologue américain, précurseur du béhaviorisme. Les 2 lois de l'apprentissage :La loi de l'effet : un comportement suivi d'une récompense sera associé à la situation qui l'a déclenché. Burrhus Frederic Skinner est un psychologue et un penseur américain. Il est l'inventeur d'un dispositif de conditionnement opérant communément appelé boîte de Skinner. (Wikipedia) Gestalt- psychologie et l'école de Wurzburg de la denkpsychologie Wertheimer et Köhler Max Wertheimer (15 avril 1880 - 1943) est un psychologue allemand, l'un des fondateurs de la psychologie de la forme. Les recherches de Max Wertheimer portent à l'époque sur la psychologie criminelle (Stumpf enseigne cette matière et Wertheimer suit également les cours de criminologie de Hans Gross). Wolfgang Köhler (Tallinn, 21 janvier 1887 - 11 juin 1967) est un psychologue allemand et l'un des fondateurs de la psychologie de la forme. Gardner

Jerome Bruner Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jerome Seymour Bruner, né à New York le 1er octobre 1915, est un psychologue américain, dont le travail porte en particulier sur la psychologie de l'éducation. Il fut l’un des premiers découvreurs de « Pensée et langage » de Lev Vygotski et s’est nourri de Piaget et Meyerson. Pour Bruner, la médiation sociale lors des conduites d'enseignement-apprentissage (interaction de tutelle) s'exerce sur un mode communicationnel (dialogique). Interaction de tutelle[modifier | modifier le code] Interactions entre un adulte et un enfant grâce auxquelles l'adulte essaye d'amener l'enfant à résoudre un problème qu'il ne sait résoudre seul. Étayage[modifier | modifier le code] Bruner repère 6 fonctions: L'enrôlementLa réduction des degrés de libertéLe maintien de l'orientationLa signalisation des caractéristiques déterminantesLe contrôle de la frustrationLa démonstration ou présentation de modèles Révolution cognitive[modifier | modifier le code]

Les neuromythes Mémoire malléable ou apprendre en dormant ? « Comment améliorer votre mémoire ? » : cette formule publicitaire fleurit en général à l’approche des examens scolaires ou pour accompagner la vente de produits de parapharmacie censés nous aider à développer nos capacités de mémoire et, par analogie, nos capacités intellectuelles. L’étude des processus mémoriels a montré que la mémoire est composée de plusieurs systèmes et qu’elle n’est pas située à un point unique du cerveau. On sait également qu’elle n’est pas infinie et que la capacité d’oubli est indispensable à une bonne mémorisation. Il existe des techniques pour améliorer sa mémoire mais elles opèrent sur certains types de mémoires seulement et chez certains individus. Le mythe des 10 % d’utilisation du cerveau Les origines de ce mythe restent floues. Le mythe des périodes « critiques » Dire que l’on ne peut plus apprendre certaines choses après un certain âge se révèle aujourd’hui un neuromythe. Le style d’apprentissage VAK

LES TECHNIQUES PEDAGOGIQUES

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