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Carte de France de l’Open Data, V4 «

Carte de France de l’Open Data, V4 «
Nous profitons de ce début d’année 2012 pour publier la mise à jour de la carte contributive des initiatives d’ouverture de données publiques en France. La méthodologie évolue La carte des initiatives en matière d’Open Data identifie les projets – en cours ou déjà réalisés – de mise à disposition de données publiques transversales. Les changements La catégorie des collectivités en cours de réflexion sur l’Open Data n’apparaît plus Les annonces du Conseil Général d’Isère ou de Saint-Maur ont démontré que celles-ci n’étaient pas systématiquement suivies de concrétisations. La taille des symboles Au départ de cette réflexion, il s’agissait d’arriver à placer Longjumeau, Coulommiers et Balma sans cacher ni Paris ni Toulouse. Les constats Tout d’abord, nous constatons que notre pari lancé il y a un an est gagné puisque nous avions envisagé qu’en 2012 l’open data : Like this: J'aime chargement…

La quinzaine de l’Open Data #16 Notre sélection sur l’Open Data Carte de France de l’Open Data, V4 Nous profitons de ce début d’année 2012 pour publier la mise à jour de la carte contributive des initiatives d’ouverture de données publiques en France. » Pour lire la suite, rendez-vous sur LiberTic Lancement de la plateforme OpenData pour l’Afrique La Banque africaine de développement (BAD) lance une plateforme OpenData (données ouvertes) pour l’Afrique. » Pour lire la suite, rendez-vous sur Midi Libre Open Data en Auvergne L’Etat, les collectivités et organismes qui en dépendent possèdent un nombre incroyable de données. Malheureusement, si certaines villes et régions ont lancé une démarche ce n’est pas le cas en Auvergne. L’objectif de ce site est d’inciter nos collectivités locales et organismes publics à se lancer dans une démarche d’ouverture des données. » Pour lire la suite, rendez-vous sur Open data en Auvergne Découvrez les Monuments Historiques grâce à l’Open Data ! » Pour lire la suite, rendez-vous sur Blog Antidot

Accueil | LiberTIC European Commission launches Open Data Strategy for Europe The following post is from Jonathan Gray, Community Coordinator at the Open Knowledge Foundation. This morning Neelie Kroes, Vice-President of the European Commission and Commissioner for the Digital Agenda announced a new Open Data Strategy for Europe. I wrote a bit of background on the announcement on Friday for the Guardian Datablog, discussing what this might mean for open data in Europe. There were some great bits and pieces in Neelie Kroes’s talk, including: “The best way to get value from data is to give it away”Exemplars include data.gov.uk, data.gouv.fr, Tim Berners-Lee, the Open Knowledge Foundation, OpenSpending.org and WheelMap“Instead of needing complicated authorisations you will be automatically allowed to reuse the public data you need.” From the press release: > Brussels, 12 December 2011 – The Commission has launched an Open Data Strategy for Europe, which is expected to deliver a €40 billion boost to the EU’s economy each year.

Courir après les policiers municipaux La transparence et l'ouverture des données (Open Data) sont des priorités pour nos administrations. À priori. Nous essayons donc de collecter des données sur les effectifs de police municipale depuis plus de trois mois. Résultat : on est encore (très) loin du compte. Interdit à la police municipale ? Légende de la carte Balise blanche = données par ville Balise bleue = données ou précisions concernant le département Depuis février 2011, la mission gouvernementale Etalab est censée “apporter son appui aux établissements publics administratifs, pour la réutilisation la plus large possible de leurs informations publiques”. Kafka dans la place Au début de l’été, nous avons lancé avec nos amis de La Gazette des communes un projet commun : une carte de France des polices municipales. Et au-delà des simples chiffres bruts, il y avait là une belle matière à analyser en rajoutant des couches de données : Ce projet était, sur le papier, facilement réalisable. Du néant au Graal du .xls

Data.gov Digital Agenda: Turning government data into gold European Commission - Press release Digital Agenda: Turning government data into gold Brussels, 12 December 2011 – The Commission has launched an Open Data Strategy for Europe, which is expected to deliver a €40 billion boost to the EU's economy each year. These actions position the EU as the global leader in the re-use of public sector information. Commission Vice President Neelie Kroes said: "We are sending a strong signal to administrations today. The Commission proposes to update the 2003 Directive on the re-use of public sector information by: Making it a general rule that all documents made accessible by public sector bodies can be re-used for any purpose, commercial or non-commercial, unless protected by third party copyright; Establishing the principle that public bodies should not be allowed to charge more than costs triggered by the individual request for data (marginal costs); in practice this means most data will be offered for free or virtually for free, unless duly justified.

Combien nous coûte « la grandeur de la France » ? Tel un aristocrate s’accrochant à son titre de noblesse, la France tient beaucoup à son rang et sa notoriété au niveau international. Or cette « grandeur française » a un coût, voire même un surcoût… Voici quelques pistes de réflexion pour concilier grandeur nationale et économies avant d’envisager de rejoindre la liste des 29 pays sans armée. La France, un « grand pays »… dans les discours. « Il y a un pacte 20 fois séculaire entre la grandeur de la France et la liberté dans le monde», proclamait Charles de Gaulle en mars 1941. Grande, la France ? Aujourd’hui, on compte moins de Français que d’habitants de la province de Shandong, au sud de Pékin. La grandeur de la France au révélateur de l’opendata De droite comme de gauche, les gouvernements français se sont succédé depuis la fin de seconde guerre mondiale en conservant l’obsession de la grandeur du pays. L’opendata permettra-t-il de chiffrer les dépenses liées à la grandeur de la France ? Vous êtes plutôt Rafale ou Ipad2 ?

OpenData : La moyenne pour un data.gouv.fr sous formats propriétaires Mise-à-jour du 5/12/11 à 8h40 : Les 500 jeux de données évoqués dans cet article ont apparemment été éclatés en plus de 350 000 notamment en divisant les données de l’INSEE commune par commune, mais notre analyse reste la bonne, série de données par série de données. Alors que Regards Citoyens semble tenu à distance de la sortie du portail data.gouv.fr, nous avons réussi à consulter des documents de travail de la mission ÉtaLab nous permettant d’évaluer le contenu de la plateforme OpenData française qui sera présentée ce lundi matin en conférence de presse. Tout d’abord, Regards Citoyens ne peut que se réjouir de la sortie d’un portail référençant les données publiques librement réutilisables. C’est un effort à notre sens indispensable de l’État pour un renouveau démocratique et citoyen. Moins d’un an après son installation, l’objectif que s’est fixé ÉtaLab est donc globalement atteint. Formats propriétaires : le point noir d’ÉtaLab

Dépenses publiques et transparence Le gouvernement français a ouvert en décembre dernier sa plateforme d’accès aux données d’information publique : data.gouv.fr. Cette initiative inscrit notre pays dans ce mouvement mondial qui reflète depuis quelques années l’évolution de la demande démocratique, une plus grande responsabilisation de ceux qui gouvernent et une plus grande implication des gouvernés. La tendance, qui s’est dessinée avec le développement des usages de l’internet et des technologies d’information et de communication, va très probablement se marquer davantage en temps de récession économique. S’il y a lieu d’encourager une prise de conscience collective et de responsabiliser les citoyens devant la dépense publique, il faut aussi donner à ces derniers les moyens d’évaluer les politiques publiques. Voici quelques écrans du site de l’Oklahoma. Ce site, sur lequel il faut s’inscrire (gratuitement), permet d’interroger de manière très fouillée les dépenses de l’Etat de l’Oklahoma. Claude Sadaj

INRIA ouvre les données brutes de son sondage sur « les Français et le numérique » Initiative suffisamment rare pour être remarquée, INRIA, Institut National de Recherche Informatique et Automatique, ouvre au public les données brutes collectées à l’occasion d’un récent sondage réalisé par TNS SOFRES. Le 8 novembre 2011, INRIA délivrait les résultats de son sondage consacré aux rapports entre les Français et le numérique réalisé par TNS SOFRES. Aujourd’hui les données servant à cette enquête sont désormais accessibles sur Data Publica. Accéder aux données. Élégamment mis en image par les équipes de la société 22 mars (le pendant institutionnel du pure player Owni), INRIA offre via une application ludique une navigation interactive dans les résultats (cliquez sur l’image) L’ensemble des informations a également été mis en forme dans ce très beau travail infographique.

Le citoyen a t-il une place dans l’open data ? « Parmi les promesses soutenues par le mouvement de l’ouverture des données (Open Data), la mise à disposition des données publiques ouvertes serait un concept porteur de nombreux bénéfices pour le citoyen : manne d’informations utiles, lisibilité de l’action publique, accessibilité des services publiques, pouvoir de participation aux débats démocratiques… Pourtant, malgré des initiatives croissantes en France et le lancement d’une plateforme nationale de données publiques, ledit citoyen paraît encore bien éloigné du mouvement et ignore souvent tout de ses principes voire de son existence. Comment expliquer ce paradoxe ? Une donnée n’est pas une information Le discours sur les données publiques soutient la promesse d’un renouvellement du savoir et du pouvoir par l’accès aux données par le plus grand nombre. L’aspect démocratique n’est pas une priorité La promesse de participation démocratique via l’open data est également biaisée. La diffusion au détriment de la participation Like this:

Les images de la BNU et la Licence ouverte Le Conseil d'Administration de la BNU a décidé lors de sa séance du 27 janvier 2012 d'autoriser la libre réutilisation des fichiers images produits par la BNU, en les plaçant sous Licence Ouverte / Open Licence. La réutilisation de ces images est désormais permise dans les conditions précisées dans cette licence ( La réutilisation de l’Information diffusée sous cette licence Le « Producteur » garantit au « Réutilisateur » le droit personnel, non exclusif et gratuit, de réutilisation de « l’Information » soumise à la présente licence, dans le monde entier et pour une durée illimitée, dans les libertés et les conditions exprimées ci-dessous. Vous êtes libre de réutiliser « l’Information » : Sous réserve de : Responsabilité « L’Information » est mise à disposition telle que produite ou reçue par le « Producteur », sans autre garantie expresse ou tacite qui n’est pas prévue par la présente licence. Définitions

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