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Rachel Botsman: À propos de la consommation collaborative

Rachel Botsman: À propos de la consommation collaborative

http://www.ted.com/talks/lang/fr/rachel_botsman_the_case_for_collaborative_consumption.html

Related:  Economie collaborative / P2P economy

La montée de la consommation collaborative « La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs », explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un « mouvement ». Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar).

Ponzi, ou le secret des pyramides, par Ibrahim Warde C’est une arnaque vieille comme la finance. Mais, avant 1920, les promoteurs de chaînes pyramidales faisaient du Ponzi — comme M. Jourdain de la prose — sans le savoir. Carlo Ponzi est né à Parme, en Italie, en 1882. Il débarque aux Etats-Unis en 1903, en pleine ère des « barons voleurs », convaincu comme beaucoup d’immigrés que les rues y sont pavées d’or. Devenu Charles Ponzi, cet adepte du principe de l’enrichissement rapide, mais doué de plus d’imagination que de talent, tente toutes sortes de combines, exerce mille métiers et a souvent maille à partir avec la loi. Pourquoi l'« open source » passe à coté du problème que soulève le logiciel libre - Projet GNU Quand on dit qu'un logiciel est « libre » [free], on entend par là qu'il respecte les libertés essentielles de l'utilisateur : la liberté de l'utiliser, de l'étudier, de le modifier et d'en redistribuer des copies, modifiées ou non. C'est une question de liberté, pas de prix – pensez à « liberté d'expression » et pas à « entrée libre » [think of “free speech”, not “free beer”].1 Ces libertés sont d'une importance vitale.

La régulation de l’économie collaborative en question En septembre, rapporte Ron Lieber pour le New York Times, Nigel Warren a loué la chambre qu’il occupe dans son appartement à New York sur Airbnb pour 100 $ la nuit. Mais à son retour quel ne fut pas sa surprise d’être convoqué par son propriétaire et les agents de la ville de New York pour avoir enfreint plusieurs interdictions et se retrouver condamné pour plus de 40 000 $ d’amendes ! En effet, les lois locales ou votre contrat de location peuvent interdire la sous-location voir la location de courte durée. A New York, par exemple, vous ne pouvez pas louer d’appartements ou de chambres pour moins de 30 jours, sauf si vous vivez dans les locaux en même temps.

Quand les technologies vertes poussent à la consommation, par Cédric Gossart Votre fournisseur d’eau vous propose d’adopter un comportement écologique en passant à la facturation électronique. On économisera ainsi le papier, fait-il valoir. Et puisque, ce faisant, l’entreprise réduira ses frais, elle vous fera profiter de tarifs plus attractifs. L’écologie rejoindrait donc l’économie, pour le plus grand bénéfice de tous !

Consommation collaborative Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La consommation collaborative désigne un modèle économique où l'usage prédomine sur la propriété : l'usage d'un bien, service, privilège, peut être augmenté par le partage, l'échange, le troc, la vente ou la location de celui-ci. Cette optimisation de l'usage est une réaction à la sous-utilisation classique supposée des : biens ;services ;privilèges ; principalement permise par l'échange d'information via Internet et à l'essor, dans un cadre légal, sécurisé, dans la transparence, de cette tendance depuis les années 2000 est donc fortement lié à l'essor des échanges en ligne ; des immenses places de marché, publiques, telles qu'eBay, aux secteurs émergeant de : La consommation collaborative bouscule les anciens modèles économiques en changeant non pas ce que les gens consomment mais la manière dont ils le consomment[1].

Hydrocarbures de schiste : « Monsieur le ministre, ne signez pas ! » Le ministère de l’Ecologie vient de diffuser, ce vendredi 8 novembre, un communiqué de presse aux termes duquel il affirme être contraint par une décision de justice d’accorder dans les jours prochains sept permis à la société Hess Oil pour rechercher un gisement de pétrole de schiste en Seine-et-Marne et dans l’Aisne. Pour Arnaud Gossement et Olivier Meyer, avocats engagés contre des projets de forage, c’est faux. Nous, avocats engagés contre des projets de forages d’hydrocarbures non conventionnels, appelons Philippe Martin, ministre de l’Ecologie, à refuser de signer les arrêtés qui permettraient d’accorder à la société Hess Oil le bénéfice de sept permis exclusifs de recherches.

L’open source : l’esprit du don La propriété intellectuelle libre (open source) ne se limite pas à l’informatique. Plusieurs réalisations de projets en agriculture, production d’énergie ou dans l’industrie prouvent que l’auto-construction, les licences libres et le partage de savoir-faire sont efficaces, moins coûteux et à la portée de tous. “Dis Joseph, cela te dirait qu’on édite un livre et qu’on monte des formations ? ” C’est ainsi qu’un beau jour, au milieu des champs, Fabrice Clerc propose à Joseph Templier de se lancer dans l’écriture d’un guide collectif sur l’auto-construction d’outils pour le maraîchage biologique ; Une aventure de deux ans et demi. Fabrice est technicien en maraîchage et responsable du pôle machinisme de l’Adabio, association pour le développement de l’agriculture biologique dans le sud-est dela France. Diffusion des savoirs par la propriété intellectuelle libre

Agro-industrie bretonne : l'heure de vérité Le Monde.fr | | Par Aurélie Trouvé (économiste et agronome, coprésidente du Conseil scientifique d'Attac) Ces derniers jours, le projet d'écotaxe a essuyé une pluie de critiques, pour beaucoup à juste titre. La gestion serait assurée par un grand conglomérat privé, Ecomouv, qui s'attribuerait près du quart des recettes de la taxe, engrangeant des profits excessivement élevés. Au final, 60% au mieux des recettes bénéficieraient aux modes de transports alternatifs à la route. Les autoroutes seront exemptées de la taxe et donc indirectement favorisées, de même que le transport aérien.

Pourquoi la sharing economy va bouleverser les modèles ? A la veille de LeWeb London 13, Altimeter Group dévoile ses prédictions sur le futur de la sharing economy. Selon une étude réalisée par Altimeter Group, la sharing economy est sur le point de transformer le monde. Si elle n'est pour l'instant que balbutiante et non quantifiable, l'institut d'étude note l'existence d'un échantillon de 200 start-up qui ont reçu 2 milliards de dollars de financements en capital-risque depuis leur création. "Vers une économie circulaire (Vol.2) : opportunités pour le secteur des biens de consommation" - Note de synthèse "Vers une économie circulaire (Vol.2) : opportunités pour le secteur des biens de consommation" - Note de synthèse Le document est disponible en téléchargement au format PDF – cliquer ci-dessous Introduction En janvier 2012, la Fondation Ellen MacArthur publiait un rapport exposant les fondamentaux de l’économie circulaire.

» Vue d’ensemble de l’économie collaborative avec Michel Bauwens - Remix biens communs Entrevue de Michel Bauwens, fondateur de la Fondation P2P. L’entrevue a été réalisée à Montréal le 3 novembre 2012 après la tenue d’une conversation publique « À l’école des Communs » organisée par Communautique et Remix biens communs, en collaboration avec la Chaire Nycole Turmel sur les espaces publics et les innovations politiques de l’UQÀM. TABLE DES MATIÈRES DE L’ENTRETIEN (Pour visionner cette entrevue selon les chapitres du sommaire utiliser youtube en cliquant sur l’icône youtube en bas et à droite de l’écran. Cliquez ensuite dans le sommaire sur le time code qui correspond au chapitre que vous souhaitez voir. ) WikiSpeed: un exemple de production pair à pair - Les conditions d’émergence de nouveaux paradigmes (07:19 minutes) - L’exemple de Wiki speed: La logique de la nouvelle économie (08:49 minutes) - L’open hardware est compétitif dans le système capitaliste (12:58 minutes)

Gaz de schiste, la grande escroquerie, par Nafeez Mosaddeq Ahmed A en croire les titres de la presse américaine prédisant un essor économique dû à la « révolution » des gaz et pétrole de schiste, le pays baignera bientôt dans l’or noir. Le rapport « Perspectives énergétiques mondiales 2012 » de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) annonce en effet qu’à l’horizon 2017 les Etats-Unis raviront à l’Arabie saoudite la place de premier producteur mondial de pétrole et accéderont à une « quasi autosuffisance » en matière énergétique. Selon l’AIE, la hausse programmée de la production d’hydrocarbures, qui passerait de quatre-vingt-quatre millions de barils par jour en 2011 à quatre-vingt-dix-sept en 2035, proviendrait « entièrement des gaz naturels liquides et des ressources non conventionnelles » (essentiellement le gaz et l’huile de schiste), tandis que la production conventionnelle amorcerait son déclin à partir de… 2013. Une chute aussi brutale rend évidemment illusoire tout objectif de rentabilité. De la panacée à la panique

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