Les enfants terribles de l'éducation populaire, Institut National de la Jeunesse et de l’Education Populaire (Injep) | Éducation populaire, Citoyenneté, Sociologie de la jeunesse
Passées les portes ouvertes sur l’extérieur, on traverse le hall d’accueil pour accéder aux petites salles meublées de bureaux d’école. En fin de journée, ceux-ci sont occupés par les enfants et adolescents habitués de l’aide aux devoirs, épaulés par les bénévoles qui assurent quinze heures de soutien chaque semaine. Nous sommes chez Osmose, association du quartier Villeneuve, à Grenoble. Génération spontanée Parmi ceux qui luttent pour l’émancipation et l’engagement dans la cité, beaucoup, issus de quartiers populaires, ne se reconnaissent aucune filiation avec les mouvements d’éducation populaire. Pourquoi, si les pratiques et les objectifs se rejoignent, ces jeunes associatifs ne revendiquent-ils pas de filiation avec le mouvement de l’éducation populaire ? Même envie d’agir chez Pas à Pas, association née en banlieue grenobloise en 2004 pour combler "le déficit d’implication citoyenne dans les quartiers". Réveiller les anciennes ambitions Héritiers turbulents
Le mythe de la Google Génération
Mis en ligne le lundi 22 septembre 2008. Dans le numéro 155 de sa lettre hebdomadaire d’information "Cyber Europe et International", Lucien Margoulet [1]présente les résultats d’une étude Britannique qui s’est intéressée à la façon dont les jeunes recherchent l’information sur Internet, leur rapidité et leur dextérité qui n’est pas pour autant synonyme d’une plus grande efficacité. "La Google génération est un mythe" selon les auteurs de l’étude. Extrait d’un article (sur le site lci.fr) présentant l’étude : « "La culture de l’information des jeunes ne s’est pas améliorée avec un accès élargi à la technologie", pointe le document. Par ailleurs, ils comprennent mal leurs besoins en informations, d’où une difficulté à mettre en place des "stratégies de recherches efficaces". L’article conclue : Article sur l’étude Etude Britannique Etude qualitative réalisée par l’Injep et Vérès consultants [2] en Seine-St Denis (Pratiques et usages des jeunes en matière d’information - décembre 2006)
Université Permanente et Ouverte du Numérique
Réactions et suggestions du Comité de Réflexion d'ARTESI sur la proposition d'inscrire l'agence dans une logique d'université populaire ARTESI a réuni, le 8 mars 2010, son Comité de Réflexion composé d'une vingtaine de personnalités qualifiées, associé à l’Agence (élus, cadres territoriaux, responsables associatifs, universitaires, représentants d’entreprises…) pour leur présenter le projet de développement d’ARTESI pour la période 2010-2015. Ce projet consiste à inscrire ARTESI dans une logique d'Université Permanente et Ouverte du Numérique (UPON). En élargissant progressivement la présentation de ce projet au-delà du cercle (voir les diapositives de présentation et le commentaire vidéo ci-dessous), nous comptons sur la co-construction et la mutualisation des compétences sur un concept que nous souhaitons ouvert au plus grand nombre sur notre territoire et pourquoi pas, au-delà. Des réactions très positives Des critiques qui peuvent trouver des solutions
Facebook : la mémoire cachée
L'appétit vorace de Facebook pour les données personnelles n'est un secret pour personne. Régulièrement, son estomac numérique gargouille auprès de ses membres pour réclamer son dû. «Donnez-moi votre numéro de mobile, que je puisse renvoyer votre mot de passe en cas d'oubli !» «Expliquez-moi vos opinions politiques, que je puisse mieux cibler mes publicités !» «Dites-moi ce que vous lisez, ce que vous écoutez, ce que vous regardez, ce que vous cuisinez, que vos amis puissent en profiter !» Et la plupart des 800 millions d'inscrits, dociles, jettent leurs gros steaks de vie privée dans la gueule béante du réseau social. Les découvertes du jeune Max Schrems sont effarantes. «Statut : effacé» «Je ne cherche aucun gain financier ou personnel. Dégainant sa directive 95/46/CE qui garantit un tel droit à tout citoyen européen, Max Schrems écrit à Facebook pour réclamer l'accès à l'ensemble des données le concernant, via un formulaire très bien caché sur le site du réseau. «Shadow profiles»