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3 sites utiles pour débusquer les fausses informations

3 sites utiles pour débusquer les fausses informations
Mise à jour le septembre 27, 2019 Le web charrie le meilleur comme le pire. Dans la deuxième catégorie, on trouve bien sûr les canulars et les fausses informations. C’est souvent inoffensif mais il vaut mieux avoir de bons réflexes pour ne pas tomber dans le panneau du dernier canular ( ou hoax en anglais) à la mode. Si tout n’a pas la gravité des théories du complot colportées par des groupes bien organisés, les réflexes sont les mêmes. Voici trois sites d’utilité publique qui vont vous aider à démêler le vrai du faux. 1 -Hoaxbuster S’il n’en reste qu’un. Le site propose aussi un moteur de recherche assez efficace pour chasser le dernier ouï-dire dans cette grande malle aux rumeurs. Lien: Hoaxbuster 2 – HoaxKiller Interface minimaliste pour cet autre moteur d’Hoax qui lui aussi tente de lister le plus grand nombre de rumeurs circulant sur le net. Lien: Hoaxkiller 3- Les décodeurs du Monde La presse elle non plus n’est pas à l’abri des canulars et des fausses nouvelles. Lien: Les décodeurs Related:  Ressourcesressources

#Diffamation et Twitter Le réseau social « Twitter » a fêté ses 9 ans le 21 mars dernier. Devenu la référence en matière de médias sociaux, il est aujourd’hui le théâtre d’une multiplication d’actions en diffamation. Twitter n’est pas une zone de non-droit et ses tweets sont, eux aussi, soumis à des règles. Twitter c’est la possibilité de publier gratuitement des messages courts et percutants (tweets) en temps réel (140 caractères/tweets au maximum).Par défaut, ces messages sont lisibles par tous et apparaissent même dans les moteurs de recherche, les faisant ainsi entrer dans la sphère publique. À ce titre, Twitter est soumis aux mêmes règles de diffamation que les autres acteurs d’internet. La Loi sur la liberté de la presse du 29 Juillet 1881 n’est pas seulement applicable à la communication par support papier mais également à celle diffusée sur internet. La loi considère que dans les milieux particuliers de la presse plusieurs personnes sont responsables avant l’auteur même des propos litigieux.

Les démocraties à l'épreuve des infox Programme Les démocraties à l’épreuve de l’Infox 9h15 OuvertureLaurence Engel, présidente de la BnF, Laurent Vallet, président de l’Ina et Martin Ajdari, directeur général des médias et des industries culturelles, ministère de la Culture 9h45 Keynote speech Sommes-nous crédules ? 10h - 11h45 La fabrique des « fausses nouvelles » -10h00 - 10h45 Zoom : fake news, business ou idéologie ? par Sylvain Bourmeau, EHESS -10h45 - 11h15 Zoom : les fermes de Fake news par Jane Lytvynenko, BuzzFeed News -11h15 – 11h45 Zoom : Énoncé faux, effet de l’énoncé par Arnaud Esquerre, sociologue, chargé de recherche au Cnrs, directeur de l’IRIS (Ehess-Cnrs-inserm-Paris 13) 11h45 - 12h45 La circulation des « fausses nouvelles » -11h45 - 12 h15 Zoom : détecter les fausses nouvelles par Denis Teyssou, responsable éditorial du Medialab de l’AFP (projets européens InVID et WeVerify) 14h30 – 19h La lutte contre les « fausses nouvelles » -14h30 – 15h 15 Débat : comment les nations réagissent-elles à la fausse nouvelle ?

2018-3 Ordinateurs et robots apprennent aujourd’hui à prendre des décisions ! Certes, « décider » est un bien grand mot pour des machines qui n’ont pas de conscience et dont le niveau d’« intelligence » n'atteint même pas celui d’une grenouille. Mais les nouvelles évolutions de l’intelligence artificielle (IA) ont de quoi effrayer certains et faire fantasmer d’autres. Entre mythe et réalité, où en est au juste l’état de la recherche dans cette technologie qui bouleverse toutes les autres ? Pour beaucoup, le mot « intelligence » n’est qu’une métaphore, quand il s’agit de machines ou de robots qui sont appelés ‒ nous rassure-t-on ‒ à demeurer de simples et humbles assistants des humains. Il n’en reste pas moins que l’association de ce qu’on appelle l’apprentissage profond des machines (deep learning) et des données de masse (big data) est en train de provoquer non seulement une révolution de l’IA, mais aussi une quatrième révolution industrielle, que nos sociétés ne sont pas prêtes à affronter.

Esprit critique et éducation aux médias : exemples pour les enfants et adolescents L’esprit critique est reconnu comme l’une des compétences clés du XXIe siècle par l’OCDE. Depuis cette reconnaissance, la notion d’« esprit critique » est portée aux nues par les éducateurs et par les politiques. Pourtant, cette notion reste difficile à définir et une éducation à l’esprit critique reste marginale, parce qu’elle n’entre pas dans les programmes et quotas horaires mais également parce que les enseignants se trouvent parfois démunis. Dans leur livre Des têtes bien faites, un collectif de chercheurs en psychologie et en sciences s’efforce de définir l’esprit critique et donne des pistes pour une éducation à l’esprit critique. Ils y rappellent que l’esprit critique est défini selon deux dimensions : l’habilité : la capacité à utiliser les outils de la pensée critique,la disposition :la propension à utiliser spontanément la pensée rationnelle. La pensée critique est multidimensionnelle. L’interprétation L’analyse L’évaluation L’inférence L’explication Les 5W : 5 questions clés Who ?

Juillet - septembre 2017 Médias traditionnels en perte de vitesse, profusion d’informations sans garantie de fiabilité, frontières brouillées entre faits et opinions, éthique professionnelle défaillante… Le journalisme est « sous les feux de la critique », pour reprendre le titre du colloque international qui s’est tenu à l’UNESCO le 23 mars 2017. L’heure est venue de se demander si le quatrième pouvoir constitue encore un pouvoir. Il perd sa crédibilité, il peine à regagner la confiance du public. Les évolutions technologiques, économiques et politiques de cette dernière décennie ont fini par contaminer le champ médiatique mondial. Alors que l’infaux risque de l’emporter sur l’info, le Courrier invite des journalistes et experts d’une dizaine de pays à se prononcer sur le sujet dans son Grand angle, et à proposer des solutions possibles aux problèmes qui menacent aujourd’hui les médias. Jasmina Šopova, Directrice éditoriale

Sur Twitter, une fake news a 70% de chances de plus d'être diffusée qu'une véritable information RAPIDE. Les "fake news" (informations erronées ou volontairement mensongères) se propagent à la vitesse d'une traînée de poudre sur internet. Mais est-il possible de quantifier cette vitesse de propagation et de la comparer à celle de véritables informations ? C'est ce qu'a tenté de faire une équipe de chercheurs du MIT. Selon les chercheurs "les études sur la manière dont se répandent les fausses nouvelles sont souvent limitées de petits échantillons et ne prennent pas en compte deux questions clés : comment elles se diffusent comparativement aux informations véritables, et quels facteurs expliquent ses différences". Dans cette nouvelle étude, les chercheurs se sont intéressés au réseau social Twitter. Une information fausse a 70% de plus de chances d'être propagée Pour éviter tout biais idéologique, ce tri entre les vraies et les fausses nouvelles n'a pas été fait par les chercheurs. Une responsabilité qui incombe aux humains et pas aux bots Comment expliquer cela ? RAPIDE.

Et si le média du futur, c’était Radio France ? Pour Vincent Edin, collaborateur régulier d’Usbek & Rica, la grève qui s'est installée à Radio France est notre affaire à tous. Depuis le 25 novembre, une grève dure s’installe à Radio France dans l’indifférence générale des autres médias, trop heureux de récupérer de l’audience. Parce que notre paysage médiatique a cruellement besoin de l’indépendance d’un pôle vraiment public - la télé publique n’assume plus ses missions depuis longtemps - et parce que, contrairement aux idées reçues, la radio est un média d’avenir Chaque année, quand vient le moment de remplir sa déclaration d’impôts, nombre de Français pestent à l’idée de s’acquitter de 139 euros de redevance pour financer l’audiovisuel public qu’ils assimilent, à tort, à France Télévisions. C’est une question légitime, tant la diversité de l’offre du service public télévisuel apparaît de moins en moins clairement. Sur ces 139 euros de redevance, un peu moins de 25 servent à financer Radio France.

Sept conseils pour ne pas se faire avoir par les représentations graphiques Peut-on avoir confiance dans un « camembert » ? Un axe vertical doit-il forcément commencer à zéro ? A quel point une carte peut-elle être trompeuse ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé La grève des employés de la SNCF est aussi une bataille de communication, dans laquelle chaque élément compte. 1. Ces bâtons, qu’on appelle aussi histogrammes, sont censés représenter des rapports de grandeur. Il aurait fallu privilégier une représentation s’appuyant sur un axe des ordonnées à zéro, comme ici : Ce n’est par ailleurs pas la première fois que le service de communication de la SNCF joue avec la notion d’échelle pour minimiser le taux de participation des grévistes : un communiqué de presse diffusé le 4 avril utilisait les mêmes méthodes aux mêmes fins. Lire aussi cet autre exemple : Air France : pourquoi il faut se méfier des graphiques 2. Sauf que l’axe des ordonnées ne commence pas à zéro, ce qui donne à la « pente » une courbe beaucoup plus forte qu’elle ne l’est en réalité.

Arpanet, l'ancêtre d'internet, a 50 ans Le 29 octobre 1969, il y a maintenant 50 ans, le réseau Arpanet effectuait sa première communication. Les trois dernières lettres de ce premier message, le simple mot "login", mettent plusieurs heures avant de parvenir à destination mais qu'importe, le Advanced Research Projects Agency Network, ou ARPAnet, a rempli sa première mission : des paquets de donnée ont transité avec succès entre l'université de Californie à Los Angeles (UCLA) et l'Institut de recherche de Stanford. L'ancêtre d'internet (qui n'est donc pas le minitel) est né ! Un projet militaire Assez rapidement, l'idée est évoquée de créer non pas un unique ordinateur dédié pour faire transiter les informations, mais un petit réseau d'ordinateurs, les Interfaces Messages Processors (considérés comme les ancêtres des routeurs), qui permettent d'assurer une connexion en réseau. On parle de complexe militaro-scientifico-industriel. Écouter 45 min Qui a inventé Internet ? D'Arpanet à internet

BPI pour les PRO - Éducation aux médias et à l'information La citoyenneté est au centre des grands enjeux sociétaux du 21e siècle. Former des citoyens éclairés, capables de penser et de construire nos sociétés démocratiques, s’avère plus que jamais fondamental dans un monde qui se transforme et se réinvente chaque jour à l’ère de la révolution numérique. Face aux flux d’information et de communication, aux supports démultipliés, à la concentration croissante des médias, les connaissances et les compétences nécessaires à l’évaluation critique de l’information s’élargissent et se complexifient. Vous souhaitez assister à un atelier proposé à la Bpi ? Prochaines dates : jeudi 9 janvier jeudi16 janvier jeudi 23 janvier jeudi 5 mars jeudi 12 mars jeudi 26 mars jeudi 2 avril jeudi 23 avril jeudi 30 avril

[Archives de la parole]. , Fragment des Mémoires du commandant Alfred Dreyfus / Alfred Dreyfus, participant Title : [Archives de la parole]. , Fragment des Mémoires du commandant Alfred Dreyfus / Alfred Dreyfus, participant Author : Dreyfus, Alfred (1859-1935). Auteur du texte Publisher : Université de Paris, Archives de la parole (Paris) Publication date : 1912 Contributor : Dreyfus, Alfred (1859-1935). Subject : enregistrement parlé Relation : Titre d'ensemble : [Archives de la parole]. Type : sound sound Language : french Format : 1 disque monoface : 90 t ; 35 cm 1 disque monoface : 90 t ; 35 cm Format : disc disc Format : multipart/mixed multipart/mixed Description : Enregistrement : Paris, Université de Paris, La Sorbonne, 27-03-1912 Enregistrement : Paris, Université de Paris, La Sorbonne, 27-03-1912 Rights : Public domain Source : Bibliothèque nationale de France, département Audiovisuel, AP-25 Provenance : Bibliothèque nationale de France

7 façons d’intégrer le fact-checking dans un média en ligne Les élections présidentielles américaines et françaises ont été marquées par une explosion de ce que l’on appelle désormais les « fake news ». Face à ce phénomène, le fact-checking est parfois vu par le journaliste comme la solution. La technique journalistique a été adoptée par plusieurs médias en ligne depuis quelques années, d’autres s’y sont mis sur le tard, certains ont arrêté. Nous offrons ici une tentative de typologie de ce que font les médias en termes de fact-checking et parlons des contenus qui revendiquent le fait de déconstruire des rumeurs, donnent des notes, établissent des baromètres, ou rapportent des discours dans le but de pointer leurs incohérences ou les mécanismes de désinformation qui les sous-tendent. Ne rien faire de spécifique Certains ne produisent pas d’articles de fact-checking. La Repubblica (Italie) : le quotidien de centre-gauche La Repubblica, comme une grande partie de la presse italienne, ne fait pas de fact-checking. Fact-checker ponctuellement

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