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Le web à venir par Tim Berners-Lee

Le web à venir par Tim Berners-Lee

Petite histoire du Web sémantique J'ai écrit le texte de ce billet en guise d'introduction aux technologies du Web sémantique pour le projet de publication selon les règles du Web de données du thésaurus pour l'indexation des archives locales publié par les Archives de France que j'ai mené pour Atos Origin avec le Service Interministériel des Archives de France au printemps 2010 (et sur lequel il faudra que je trouve le temps de revenir sur ce blog pour vous en dire plus...). Claire Sibille, conservateur en chef au SIAF, m'a très gentiment donné l'autorisation de republier ces textes sur mon blog. Je l'en remercie. Il s'agit d'une introduction générale en trois parties dont ce billet est la première : Si le Web sémantique commence à être médiatisé aujourd'hui, ses fondements sont plus anciens, ils remontent aux origines même du Web et ont connu plusieurs évolutions dont l'histoire permet de mieux appréhender les enjeux. Diapo de la présentation de Tim Berners-Lee à WWW94 Le premier « Layer cake »

100 Websites You Should Know and Use In the spring of 2007, Julius Wiedemann, editor in charge at Taschen GmbH, gave a legendary TED University talk: an ultra-fast-moving ride through the “100 websites you should know and use.” Six years later, it remains one of the most viewed TED blog posts ever. Time for an update? To see the original list, click here. And now, the original list from 2007, created by Julius Wiedemann, editor in charge at Taschen GmbH.

Stuart Firestein | Speaker Stuart Firestein teaches students and “citizen scientists” that ignorance is far more important to discovery than knowledge. Why you should listen You’d think that a scientist who studies how the human brain receives and perceives information would be inherently interested in what we know. But Stuart Firestein says he’s far more intrigued by what we don’t. Firestein, who chairs the biological sciences department at Columbia University, teaches a course about how ignorance drives science. What others say L’open data est un facteur essentiel de croissance selon Deloitte L’utilisation de l’Open Data pourrait s’avérer être un facteur déterminant dans le succès ou l’échec de la politique de croissance anglaise selon un rapport du cabinet de consulting Deloitte. Mais bien que cette option accroisse la transparence et rende le gouvernement plus innovant, réactif et informé, il persiste des problématiques liées à la vie privée, souligne le rapport. Computing.co.uk informe les leaders du monde des technologies avec des analyse qui font référence et les aident a prendre des décisions éclairée sur la façon d’utiliser la technologie pour le bénéfice de leurs entreprises, c’est également un lieu de débat et de conversation sur le monde des NTIC. Nicola Brittain a travaillé comme journaliste spécialisée dans la technologie depuis 2004 comme rédactrice en chef du magazine Cable and Satellite. Elle a également passé deux années comme éditrice de la rubrique technologie du magazine Broadcast avant de commencer comme analyste chez Computing.co.uk en octobre 2009.

En 2012 pourra-t-on résister à l'open data ? Le cas de la RATP Le partage de données publiques dans des formats ouverts (open data) a pour objectif de "libérer" les données récoltées ou produites, par les autorités publiques, et de les "rendre", si possible gratuitement, à la société, ses citoyens, associations, entreprises privées et administrations publiques. Après tout ce sont bien nos impôts qui payent tout ou partie de la collecte de ces données pour permettre aux administrations de faire leur travail. Alors pourquoi ne pas les recycler et laisser d'autres avoir de nouvelles idées pour les valoriser. Au sein des villes, ce sujet a été particulièrement présent en 2011 et devrait se poursuivre en 2012 (Entre le web et les territoires les données circulent en masse).Mais ne croyons pas que l'open data ne concerne que les administrations et les villes . Les entreprises sont ou seront aussi touchées. En premier lieu celles a qui une autorité a délégué un service public comme le transport. Alors peut-on résister à l'open data?

AmEx Initiates First Payment SDK MyData : renverser la relation consommateur, concrètement Par Daniel Kaplan le 20/09/11 | 14 commentaires | 5,961 lectures | Impression En 2010, dans l’ouvrage Informatique, Libertés, Identités, nous posions la question : “Que pourrais-je accomplir, moi, si je disposais, sous une forme réellement exploitable, des informations sur mes trajets et mes communications des années passées ? Pas seulement pour contrôler ce que d’autres en font, mais pour les utiliser à mes propres fins ?” Début 2011, en présentant les résultats de l’expédition de la Fing sur la Confiance numérique, nous allions plus loin : “A terme, la règle doit être simple : si vous savez quelque chose sur moi, je dois posséder la même information et pouvoir l’exploiter.” Le 13 avril 2011, le gouvernement britannique a transformé ce qui n’était encore qu’une perspective hétérodoxe, fragilement appuyée sur un projet de recherche américain et une petite communauté d’innovateurs, en un programme d’ampleur nationale : MyData. “Consumer Empowerment” : nous l’avions rêvé, ils le font

The Semantic Web & THE POWER OF PULL » Blog March 25, 2012 The phone is the new platform – everything is converging onto the “smart phone.” Soon, we’ll use our phones to manage our homes, purchase things, board an airplane, sign a document, get into our office buildings, and much much more. And yet today’s phones basically mimic our desktop computers. Do you really want to open a Word or Excel document on your phone? The answer to today’s scalability problems is the personal data locker. Thank you. March 24, 2012 To learn more about the personal-centric and data-centric future, explore these tasty links: Data RepositoriesFactualFreebaseDrawn to ScaleWorld Bank Open DataData.govData.gov.ukOpscodeTheDataHubWeb Data CommonsLinkedData.orgOpenDataRegistry.comNeurocommons.org ProjectsTetherless WebGoogle Cloud Print January 19, 2011 This is to Apple’s board members. Steven JobsWilliam Campbell Arthur Levinson Andrea Jung Ronald Sugar Al Gore Dear Apple Board, Apple needs leadership. Board members, I have written a road map to this future.

The Search For Analysts To Make Sense Of 'Big Data' hide captionDJ Patil explains a visualization of a person's LinkedIn network, where different groups of contacts are illustrated by different colors. Patil developed big data projects for LinkedIn — like algorithms to determine whom you might know. He now recruits mathematicians for a venture capital firm. Joi Ito/Flickr DJ Patil explains a visualization of a person's LinkedIn network, where different groups of contacts are illustrated by different colors. Patil developed big data projects for LinkedIn — like algorithms to determine whom you might know. Second in a two-part series Businesses keep vast troves of data about things like online shopping behavior, or millions of changes in weather patterns, or trillions of financial transactions — information that goes by the generic name of big data. Now, more companies are trying to make sense of what the data can tell them about how to do business better. He compares raw data to clay: shapeless until molded by a gifted mathematician.

"Big data" : un mode de travail collaboratif et agile qui accélère l’évolution des entreprises Autre changement, le temps du "Big Data" est rapide : 5 à 8 semaines pour extraire les données, les analyser, bâtir des modèles fiables et déclencher les premières actions. Tout ceci mit en œuvre pour et par des "task forces" transverses pour réellement permettre le mix d’expériences et de cultures, accroître la diversité et donc la richesse des analyses. Enfin un vrai levier technologique pour l’organisation matricielle qui souffrait depuis ses origines du non-partage ou d’une incompréhension des informations entre des forces issues des "silos" fonctionnels, métiers ou géographiques du passé. Un projet "Big Data" consiste à marier de gros volumes de données détaillées et différentes pour construire en 5 à 8 semaines des modèles d’analyse. Les entreprises peuvent désormais comprendre des phénomènes complexes et surtout faire partager ces analyses pour accroître leur intelligence collective. Des capacités d’analyse inédites qui facilitent le travail collaboratif Une agilité retrouvée

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