La descente aux Enfers dans La modification de Michel Butor L’écrivain Michel Butor a une relation très forte avec les œuvres d’art, que ça soit littérature, peinture ou musique. La modification de Michel Butor est une œuvre très riche en références à l’art comme les tableaux de célèbres peintres qui illustrent plusieurs périodes de la civilisation humaine et aussi les livres comme l’Enéide de Virgile. Cette richesse en matières d’œuvres d’art et en références mythologiques ajoute une certaine originalité à l’œuvre, les images ajoutent un autre goût au texte qui attire le lecteur et le plongent dans un monde imaginaire. Michel Butor dans cette œuvre, commence par évoquer le tableau du jugement dernier de Michel Ange qui est peint sur le mur de l'autel de la chapelle Sixtine au Vatican sur commande du pape Clément VII. Chaque fois que Léon aperçoit la fumée il entre dans la peau du personnage de rêve, ce personnage est la conscience intérieure qui se réveille au fur et à mesure de la descente pour changer l’avis de Léon.
Cicéron, l’athlète de la parole Cicéron aurait applaudi la leçon. A l’Université de Lausanne (Unil), une vingtaine d’étudiants composent un éloge paradoxal, ce genre que les Romains prisaient: l’éloge du retard, celui de l’ivresse ou de la barbe. Dans un moment, ces latinistes, futurs avocats ou professeurs de littérature, passeront à la déclamation. Ils prononceront leurs discours devant leurs pairs, comme aux Rostres, cette tribune célèbre dans la Rome antique où les ténors de la République s’adressaient aux foules. Cette initiation est l’œuvre de Danielle Van Mal-Maeder, professeure de latin à l’Unil. La déclamation, cet art de se saisir d’un sujet et de le traiter au débotté, est une de ses passions. Le Jupiter de la tribune Cicéron nous parle encore, c’est son miracle par-delà les siècles. La société romaine est régie par la parole, rappelle Danielle Van Mal-Maeder. Le don de l’émotion Sa force? Cicéron est un athlète de la parole, un styliste de l’émotion. Indestructible, Cicéron? Le flambeau cicéronien
Bande dessinée de Thomas Mosdi et Guillaume Sorel. C’est une des plus vieilles séries qui traitent du mythe de l’Appel de Cthulhu dans le paysage franco-belge de la bande dessinée, elle se décompose en cinq tomes qui font la série publiée entre 1991 et 1996, un véritable bijou qui pourtant laisse quelques regrets mais beaucoup de plaisir à la communauté des passionnés du genre. La base de l’histoire tourne autour d’une œuvre d’art, une peinture véritable du nom de l’île des morts qui fut peinte par Arnold Bocklin (1827-1901), un peintre, dessinateur, graphiste et sculpteur suisse qui a laissé une œuvre assez importante dont le tableau qui nous intéresse connu plusieurs versions entre 1880 et 1886. L’originalité du peintre est d’avoir été victime fait étrange, comme de nombreux personnages que nous traitons nous-mêmes dans nos romans, des personnages historiques que nous mettons en scène, d’un accident vasculaire cérébral à la fin des années 1880. entre 1991 et 1996.
Minos, Gustave Doré (1832-1883) Dans la mythologie grecque , Minos ( en grec ancien : Μίνως ,Minos ) était un roi de Crète , fils de Zeus et Europa . Tous les neuf ans, il fait le roi Egée ramasser sept hommes et sept femmes d'être envoyé à Daedalus création », le labyrinthe , Minos, illustration par Gustave Doré pour Dante Alighieri 's Inferno . pour être mangé par le Minotaure . 17e siècle gravure de Scylla tomber en amour avec MinosMinos apparaît dans la littérature grecque comme le roi deCnossos dès Homère l ' Iliade et Odyssée . [ 13 ] Thucydide nous dit Minos était l'homme le plus ancien connu à bâtir une marine.[ 14 ] Il régna sur la Crète et les îles de la Mer Egée trois générations avant la guerre de Troie . Asterios , roi de Crète, a adopté les trois fils de Zeus et d'Europe, Minos, Sarpédon et Rhadamante. Amphora montrant Thésée tuant le Minotaure, 460 av.