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Chat de Schrödinger

Chat de Schrödinger
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mécanique quantique est relativement difficile à concevoir car sa description du monde repose sur des amplitudes de probabilité (fonctions d'onde). Ces fonctions d'ondes peuvent se trouver en combinaison linéaire, donnant lieu à des « états superposés ». Cependant, lors d'une opération dite de « mesure » l'objet quantique sera trouvé dans un état déterminé ; la fonction d'onde donne les probabilités de trouver l'objet dans tel ou tel état. C'est la mesure qui perturbe le système – par effet Compton – et le fait bifurquer d'un état quantique superposé (atome à la fois intact et désintégré par exemple… mais avec une probabilité de désintégration dans un intervalle de temps donné qui, elle, est parfaitement déterminée) vers un état mesuré. « L'expérience »[modifier | modifier le code] Principe[modifier | modifier le code] Une illustration de l'expérience dite du chat de Schrödinger. Pourquoi le chat de Schrödinger ? [modifier | modifier le code]

Liste des créatures légendaires Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette liste regroupe les créatures légendaires, c'est-à-dire des créatures dont l’existence a été l’objet de croyances passées ou actuelles. Leur existence n’a pas été prouvée de manière scientifique. Certaines de ces créatures de légende ont été démontrées comme imaginaires. D’autres sont des créatures issues de diverses religions. Les créatures fictives modernes de la fantasy et de la fiction ne sont pas incluses (voir les listes concernant les créatures de la littérature, de l’audiovisuel, et du jeu de rôle). A[modifier | modifier le code] B[modifier | modifier le code] C[modifier | modifier le code] D[modifier | modifier le code] E[modifier | modifier le code] Un elfe dans le folklore anglais. F[modifier | modifier le code] G[modifier | modifier le code] H[modifier | modifier le code] I[modifier | modifier le code] J[modifier | modifier le code] K[modifier | modifier le code] L[modifier | modifier le code] M[modifier | modifier le code] Cryptozoologie

Théorie des cordes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les niveaux de grossissements : monde macroscopique, monde moléculaire, monde atomique, monde subatomique, monde des cordes. La théorie des cordes est un domaine actif de recherche traitant de l'une des questions de la physique théorique : fournir une description de la gravité quantique c’est-à-dire l’unification de la mécanique quantique et de la théorie de la relativité générale. La principale particularité de la théorie des cordes est que son ambition ne s’arrête pas à cette réconciliation, mais qu’elle prétend réussir à unifier les quatre interactions élémentaires connues, on parle de théorie du tout. La théorie des cordes a obtenu des premiers résultats théoriques partiels. Présentation élémentaire du problème[modifier | modifier le code] Il reste que certains phénomènes nécessiteraient l'utilisation des deux théories. Hypothèses et prédictions[modifier | modifier le code] La théorie repose sur deux hypothèses : Le graviton, boson (c.

Tristan Corbière Le bestiaire des Amours jaunes Le souci majeur de l'exégèse corbiérienne est de mettre en valeur une identité sociale et poétique de Tristan Corbière. Le bestiaire corbiérien des Amours jaunes s'inscrit dans la droite lignée de cette entreprise. 1 — Si « Je est un autre », il serait un animal… La représentation animale liée à un souci esthétique et moral n'est pas nouvelle. 2 — Le crapaud, le chien et la jument Pour commencer, Tristan stigmatise le répertoire traditionnel des métaphores idéales du bestiaire romantique. « Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de la boue… — Horreur ! Lorsque Tristan in-carne son gargarisme de hors-je dans le crapaud, il dit sa condition douloureuse de poète ; dans le chien, sa solitude et ses impuissances d'alcôve, il dit son statut d'homme et d'amant : « Beau chien, quand je te vois caresser ta maîtresse, Je grogne malgré moi — pourquoi ? Tandis que Marcelle, par un jeu de calembours, devient une figure équestre dotée d’un tempérament luxurieux :

Gödel, Escher, Bach Gödel, Escher, Bach: An Eternal Golden Braid (pronounced [ˈɡøːdəl ˈɛʃɐ ˈbax]), also known as GEB, is a 1979 book by Douglas Hofstadter, described by his publishing company as "a metaphorical fugue on minds and machines in the spirit of Lewis Carroll".[1] By exploring common themes in the lives and works of logician Kurt Gödel, artist M. C. Escher and composer Johann Sebastian Bach, GEB expounds concepts fundamental to mathematics, symmetry, and intelligence. Through illustration and analysis, the book discusses how self-reference and formal rules allow systems to acquire meaning despite being made of "meaningless" elements. It also discusses what it means to communicate, how knowledge can be represented and stored, the methods and limitations of symbolic representation, and even the fundamental notion of "meaning" itself. Structure[edit] GEB takes the form of an interweaving of various narratives. Themes[edit] Puzzles[edit] The book is filled with puzzles. Impact[edit] Translation[edit]

Bestiaire. Ambrales Description:Les Ambrales sont des lézards géants, aperçus très rarement en Nodoka. Ils portent, d'après les écrits que l'on a retrouvé, des armures gigantesques. Le plus souvent accompagnés de terribles armes, ils sont sanguinaires et n'ont pour but que de tuer. Les Ambrales portent d'ailleurs les crânes de leurs victimes à leur ceinture, par simple vanité. Localisation: Aucune information à ce sujet. Anges de la Mort Description:L’ange de la mort est issu de plusieurs religions qui, à partir de la mort, en ont fait un ange. Partout en Nodoka. Arachnides Démoniaques Description:Les Arachnides Démoniaques sont pourvues de huit pattes, comme toute araignée, et d'un corps très difforme. Mont de l'Ancien Calydon, Forêt Régionale, Calydon & Pandora. Bayaga l'Indésirable Description:Dans les profondeurs de Olaënya vit une créature légendaire, réputée pour son apparence immonde et son agressivité extraordinaire. Olaënya, Cité de l'Or, Morwën. Centaures Chaberlen l'Effroyable Charetons Galopins

Gödel's incompleteness theorems Gödel's incompleteness theorems are two theorems of mathematical logic that establish inherent limitations of all but the most trivial axiomatic systems capable of doing arithmetic. The theorems, proven by Kurt Gödel in 1931, are important both in mathematical logic and in the philosophy of mathematics. The two results are widely, but not universally, interpreted as showing that Hilbert's program to find a complete and consistent set of axioms for all mathematics is impossible, giving a negative answer to Hilbert's second problem. The first incompleteness theorem states that no consistent system of axioms whose theorems can be listed by an "effective procedure" (i.e., any sort of algorithm) is capable of proving all truths about the relations of the natural numbers (arithmetic). For any such system, there will always be statements about the natural numbers that are true, but that are unprovable within the system. Background[edit] First incompleteness theorem[edit] Diagonalization[edit] B.

Bestiaire En littérature, un bestiaire désigne un manuscrit du Moyen Âge regroupant des fables et des moralités sur les « bêtes », animaux réels ou imaginaires. Par extension, on appelle bestiaire une œuvre consacrée aux bêtes. Par métonymie, le bestiaire d'un auteur ou d'un ensemble d'œuvres désigne les animaux mentionnés par l'auteur ou dans ces œuvres. Origines[modifier | modifier le code] Le Physiologos, qualifié de « bestiaire des bestiaires », est un recueil de brefs récits vraisemblablement rédigé en Égypte probablement dans la région d'Alexandrie[1]. Concernant les oiseaux, des éléments de De avibus de Hugues de Fouilloy sont intégrés à certains bestiaires anglais[2]. Bestiaires médiévaux[modifier | modifier le code] Selon une classification introduite en 1928 par M. le groupe B-Is de la première famille est constitué de manuscrits issus de la version B du Physiologos et d'extraits du chapitre XII des Étymologies d'Isidore de Séville (à l'exception de sept chapitres). Bestiaires

Perth, Western Australia As part of Perth's role as the capital of Western Australia, the state's Parliament and Supreme Court are located within the city, as well as Government House, the residence of the Governor of Western Australia. Perth became known worldwide as the "City of Light" when city residents lit their house lights and streetlights as American astronaut John Glenn passed overhead while orbiting the earth on Friendship 7 in 1962.[10][11] The city repeated the act as Glenn passed overhead on the Space Shuttle in 1998.[12][13] Perth came 9th in the Economist Intelligence Unit's August 2012 list of the world's most liveable cities,[14] and was classified by the Globalization and World Cities Research Network in 2010 as a world city.[15] History[edit] Indigenous history[edit] The area where Perth now stands was called Boorloo by the Aborigines living there in 1827 at the time of their first contact with Europeans. Early European sightings[edit] Swan River Colony[edit] Federation and beyond[edit]

Chat du Cheshire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Cheshire. Description[modifier | modifier le code] Doué pour les conversations philosophiques, le chat use parfois d'une rhétorique débridée voire surréaliste qui trouble Alice. Évocations artistiques[modifier | modifier le code] Musique[modifier | modifier le code] Un album du groupe Blink-182 est nommé Cheshire Cat.Une des chansons du groupe Aerosmith lui rend hommage: Rock in a Hard Place (Cheshire Cat) , sur l'album Rock in a Hard Place.Dans Jigsaw Falling Into Place (In Rainbows) de Radiohead : « The walls are bending shape they got a cheshire cat grin […] »L'album de Nolwenn Leroy Le Cheshire Cat et moi est sorti le 7 décembre 2009. Cinéma / Télévision[modifier | modifier le code] Littérature / Bande dessinée[modifier | modifier le code] Arts graphiques[modifier | modifier le code] Le Chat du Cheshire apparaît dans l'œuvre artistique de M. Jeux vidéos[modifier | modifier le code]

Principe de relativité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le principe de relativité[1] affirme que les lois physiques s'expriment de manière identique dans tous les référentiels inertiels. D'une théorie à l'autre (physique classique, relativité restreinte ou générale), la formulation du principe a évolué et s'accompagne d'autres hypothèses sur l'espace et le temps, sur les vitesses, etc. Certaines de ces hypothèses étaient implicites ou « évidentes » en physique classique, car conformes à toutes les expériences, et elles sont devenues explicites et plus discutées à partir du moment où la relativité restreinte a été formulée. Exemples en physique classique[modifier | modifier le code] Première situation Supposons que dans un train roulant à vitesse constante (sans les accélérations, petites ou grandes, perceptibles dans le cas d'un train réel), un voyageur se tient debout, immobile par rapport à ce train, et tient un objet dans la main. Deuxième situation Conclusion Propriété : soit ( ), alors ( ) et ( ) et

desormais celebre aupres de Mr tout le Monde grace au show Big Bang Theory !! ;-) by julesdownunder Sep 9

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