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Quelles sont vos motivations ?

Quelles sont vos motivations ?
Chacun de nous a en lui des réserves d'énergie qui ne demandent qu'à s'investir dans les réalisations les plus variées. Ces forces intérieures ressemblent un peu à des ressorts prêts à se détendre. Seulement voilà : les ressorts de motivations sont différents d'une personne à l'autre. Tout le monde n'est pas motivé de la même façon par le sport, la création artistique, le service des autres, l'organisation... En matière de motivation professionnelle, c'est la même chose. Devenir un spécialiste Certains vont aimer se spécialiser dans un secteur ou un type de travail qui les passionnera. Devenir dirigeant Vouloir exercer de hautes responsabilités et être le manager de l'entreprise... Etre indépendant, avoir de l'autonomie Certains vont avoir plus que tout besoin de se sentir libres et autonomes. Trouver un poste stable et sécurisant Pour certains au contraire, il sera primordial d'avoir un travail stable qui leur permette de vivre paisiblement ainsi que leur famille. Related:  apprentissageMotivation

Comprendre ses leviers de motivation •ParcoursduLoupBlanc.com Les leviers de motivation, ces sésames du passage à l’acte Comprendre le processus de la motivation, cette dynamique qui nous met en mouvement (motivation, du latin moveo = mouvoir, bouger), c’est le grand défi de nombreux chercheurs en psychologie depuis les années 1920, et notamment les travaux de Deci et Ryan. Les théories de la motivation sont récentes et les modèles proposés se recoupent, ce qui est une bonne nouvelle ! La motivation : du global au particulier Souvent associée au plaisir, à l’intérêt, la motivation s’étudierait plutôt comme phénomène global ; différents paramètres, obéissant à la singularité de chacun, sont à prendre en compte. Et, pour corser le tout, on ne peut figer les processus de motivation individuelle ni dans le temps (les ressorts de motivation évoluent au fil du temps ), ni dans l’espace (selon le contexte, la motivation peut apparaître ou disparaître. A chacun ses ressorts de motivation Motivation et sentiment de compétence perçue Pour éviter la démotivation

Les vrais ressorts de la motivation La motivation au travail n’a pas disparu, ce sont ses ressorts qui ont évolué. Les gratifications financières perdent de leur pertinence au profit d’une quête de reconnaissance de ses compétences et de réalisation personnelle. Les processus psychologiques qui créent traditionnellement la motivation au travail semblent avoir perdu leur efficacité. Et stimuler la motivation est devenu l’une des préoccupations majeures des cadres et des spécialistes de ressources humaines. L’explication la plus souvent invoquée pour expliquer ce changement est que la population active a évolué et le travail perdu sa « centralité » dans l’échelle des valeurs. De fait, la moitié des personnes interrogées par Les Échos en 2005 ont dit qu’elles cesseraient volontiers de travailler si on leur garantissait leur revenu actuel. Mobiliser les sources de motivation interne Pour mieux la comprendre, il faut analyser les mécanismes traditionnels de la motivation au travail. Pour en savoir plus Claude Lévy-Leboyer

Tests et questionnaires Au service de la la Nouvelle Terre Questionnaire sur les styles d'apprentissage Inventaire de ses symptômes de stress Le stress psychologique associé aux différents changements de la vie Identifier ses tendances à exprimer, à agir et à inhiber Faire l'inventaire de ses occasions de stress Savez-vous communiquer? Êtes-vous « workaholique » La vision L'alimentation et l'ostéoporose Quel est votre indice de masse corporelle? Questionnaire d'évaluation de l'harmonie sexuelle de votre couple Êtes-vous fidèle? Êtes-vous actif ou passif au lit ? Voici un test très excitant... haut de page Motivation - La théorie des 2 facteurs de Herzberg La théorie des deux facteurs Herzberg distingue deux sortes de besoins : ceux qui sont propres à tous les êtres vivants (facteurs d’hygiènes) et ceux qui sont particuliers à l’homme (facteurs internes). Les premiers (facteurs d’hygiènes) ne sont pas de véritables sources de motivation, mais simplement de satisfaction. Les besoins d’hygiène, dès qu’ils sont pourvus, réduisent l’insatisfaction et ne sont donc plus motivants. Par contre, la non satisfaction de ces besoins peut être source de mécontentement et donc de dé-motivation. Seuls les facteurs internes sont source de motivation. La motivation dans le travail Herzberg préconise sept recommandations comme retirer certains contrôles sans supprimer la vérification ou instituer des auto-contrôles, augmenter l’initiative, réaliser un ensemble plutôt qu’une partie. Les facteurs de motivation Selon Hertzberg- Source Harward Business Review - Janvier 2003 Hersberg vs Maslow Facteurs d’Herzberg versus besoins de Maslow Un modèle remis en cause

L’incongruence de motivation serait à la source du burn-out Une recherche récente met en lumière une cause insoupçonnée d’épuisement professionnel: l’incongruence de motivation. Mauvaise nouvelle pour les vacanciers qui rentrent au travail : le simple repos n’est pas suffisant pour en venir à bout. Publiée en août dans la revue spécialisée Frontiers in Psychology, cette étude conclut que l’écart entre les besoins affectifs d’un travailleur et des conditions de travail qui ne le comblent pas toujours est source d’épuisement professionnel. Au même titre que la surcharge de travail, le manque de reconnaissance et les conflits sociaux, l’incongruence de motivation serait une source importante de stress pouvant mener à un état d’extrême fatigue physique, mentale et émotionnelle. Afin de mieux saisir la nature du problème, les chercheurs proposent une mise en situation. Imaginez un gestionnaire qui doit assurer la direction d’une équipe mais qui n’est guère heureux de figurer à l’avant-scène ou de donner des ordres.

Why You Should Stop Caring What Other People Think (Taming the Mammoth) We made a fancy PDF of this post for printing and offline viewing. Buy it here. Part 1: Meet Your Mammoth The first day I was in second grade, I came to school and noticed that there was a new, very pretty girl in the class—someone who hadn’t been there the previous two years. Her name was Alana and within an hour, she was everything to me. When you’re seven, there aren’t really any actionable steps you can take when you’re in love with someone. But for me, it became suddenly relevant a few months later, when during recess one day, one of the girls in the class started asking each of the boys, “Who do youuu want to marry?” Disaster. I was still new to being a human and didn’t realize that the only socially acceptable answer was, “No one.” The second I answered, the heinous girl ran toward other students, telling each one, “Tim said he wants to marry Alana!” The news quickly got back to Alana herself, who stayed as far away from me as possible for days after. Part 2: Taming the Mammoth No.

Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique. Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage. Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? 2. Stanislas Dehaene écrit : 3. 4.

Connaissance de soi: les valeurs morales Les valeurs morales, ces bons principes qui posent une éducation. Et qui poussent notre égo au complexe de supériorité… L’autre jour dans le bus, deux dames “très bien” (Versailles oblige) papotent. Outre son côté épouvantablement cliché, cette anecdote m’a donné envie de partager cette étude sur les valeurs morales, qui ont une fâcheuse tendance à être davantage ce que nous attendons des autres que ce que nous pratiquons nous-mêmes. Histoire d’éviter les confusions malencontreuses, faisons tout d’abord la distinction entre: Les valeurs motrices*, qui nous poussent à l’action et sont source de motivationLes valeurs morales, qui ont plutôt tendance à régir nos actions, à les contraindre (si nous les appliquons) Ce qui nous concerne aujourd’hui, ce sont bien les principes moraux. Dans ce sondage mené par l’institut TNS Sofres, les personnes interrogées ont pu citer 5 valeurs importantes à leurs yeux. Prenons la gentillesse, par exemple dont nous avons déjà parlé. Les qualités de nos défauts

How liars create the illusion of truth – Mind Hacks Repetition makes a fact seem more true, regardless of whether it is or not. Understanding this effect can help you avoid falling for propaganda, says psychologist Tom Stafford. “Repeat a lie often enough and it becomes the truth”, is a law of propaganda often attributed to the Nazi Joseph Goebbels. After a break – of minutes or even weeks – the participants do the procedure again, but this time some of the items they rate are new, and some they saw before in the first phase. So, here, captured in the lab, seems to be the source for the saying that if you repeat a lie often enough it becomes the truth. But a reliable effect in the lab isn’t necessarily an important effect on people’s real-world beliefs. One obstacle is what you already know. Recently, a team led by Lisa Fazio of Vanderbilt University set out to test how the illusion of truth effect interacts with our prior knowledge. The next question has to be, why might that be? Once we know about the effect we can guard against it.

Aider les élèves à mémoriser l'orthographe des mots : Orthographe illustrée et comptines orthographiques - Maîtresseuh Il y a des enfants (Dyslexiques, dysorthographiques... ou pas) qui n’arrivent définitivement pas à mémoriser l'orthographe des mots, mêmes des plus fréquents. Deux techniques à tester pour leur venir en aide : L'orthographe illustrée, pour miser sur la mémoire visuelleLes comptines orthographiques, pour miser sur la mémoire auditive L'orthographe, c'est tellement abstrait... pourquoi faut il 2 n à tunnel ? C'est une idée que j'ai découverte grâce à L'orthographe illustrée de Sylvianne Valdois : La méthode visuo-sémantique, cautionnée par la recherche actuelle en neuro-psychologie cognitive, facilite la mémorisation des particularités orthographiques grâce à un moyen mnémotechnique à la fois visuel et sémantique : on mémorise la forme orthographique du mot. C'est une manière assez simple et ludique, qui permet à l'enfant de se créer une bonne image mentale du mot. On peut aussi télécharger gratuitement le mode d'emploi et des planches illustrées en couleur sur le site du CNRS de Grenoble.

Facteurs Psychologiques / La motivation La motivation est d'une importance primordiale, en ce qu'elle détermine l'activité. En tant que paramètre déterminant de l'apprentissage, elle mérite une attention toute particulière de votre part. Elle constitue en somme l'énergie qui fait tourner le moteur, qui va permettre d'engager et de persévérer dans l'effort à long terme que demande l'apprentissage d'une langue. Il faut savoir aussi qu'une motivation "externe" ou "extrinsèque" (réussir un examen, obtenir une bonne note, ou pire ne pas échouer) n'est pas toujours suffisante pour le maintien de l'effort à long terme que nécessite l'apprentissage d'une langue. "intrinsèque", qui trouve justement son origine dans le plaisir, serait la plus forte, en termes d'intensité et de persistance dans l'action. Si la motivation est en partie influencée par le contexte d'enseignement, elle ne peut être que personnelle et individuelle, trouvant l'origine de sa dynamique entre référence au passé et aspirations d'avenir.

Le concept de valeur selon Schwartz Les valeurs sont un concept central dans la vie publique. Pour de nombreux auteurs (Tocqueville, Weber, Durkeim), les valeurs sont fondamentales pour expliquer l’organisation et le changement, au niveau de la société comme à celui des individus. Elles ont joué un rôle important non seulement en sociologie, mais aussi en psychologie, en anthropologie et dans l’ensemble des disciplines connexes. On les utilise pour caractériser les individus ou les sociétés, pour suivre le changement au cours du temps, et pour expliquer les motivations de base qui sous-tendent attitudes et comportements. Beaucoup de conceptions différentes de cet objet de recherche ont alors émergé, mais l’utilisation des valeurs en sciences sociales a souffert de l’absence de consensus concernant la conception des valeurs de base, leur contenu et la structure des relations qu’elles entretiennent les unes avec les autres. Suite : les différentes approches pour l'étude des valeurs

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